La tour du mort-vivant.

Ssnirr, tu réalises qu'user de la force face au golem n'est pas la bonne solution. Tu encourages donc tes coéquipiers à venir t'aider pour refermer le couvercle du sarcophage sur la créature artificielle en espérant que cela sufisse pour la replonger dans le sommeil d'où vous l'avez tiré.

Airia, le golem te repousse, de nouveau, contre le sarcophage d'en face et tu le sens bien passé. Heureusement, Turial vient à ton aide et te soigne de son mieux tout en disant ce que tous pensent tout bas. Ssnirr envective Turial qu'il juge responsable d'entretenir l'angoisse des autres ce qui lui vaut un regard de reproche du prêtre. Ce dernier choisit de ne pas répliquer, jugeant le moment peu propice pour se quereller.

Tous fondent sur le sarcophage et sur le couvercle pour le remettre en place. La lutte est rude et il vous faut toute l'énergie dont vous êtes capable pour réussir à faire se rallonger le golem avant de replacer le lourd socle de pierre. Tymora vous sourit enfin car, une fois le couvercle replacé, le golem ne cherche plus à sortir et semble se rendormir. Vous restez tout de même quelques instants pour vous assurez qu'il ne vous tend pas un piège et, une fois, certains qu'il est bel et bien retourner au sommeil, vous vous autorisez à souffler. Amalkar, transpirant, vous dit.

- Nous avons eu chaud ! Il s'en est fallut de peu qu'on ne se fasse tous tuer...

Turial, retrouvant toute sa verve, déclare alors.

- Evidemment ! Cela explique pourquoi les autres groupes ne sont jamais revenus. Ils ont tous fait la même erreur que nous en ouvrant les sarcophages.

Jérémy hoche la tête, d'accord avec les dires de son confrère. Il ajoute.

- Sauf le dernier groupe qui a été plus futé que nous en ignorant les sarcophages et en continuant par le portail, là-bas. S'ils sont morts, ce n'est pas le fait des golems.

Borgor lui réplique.

- Ce qui nous laisse présager de ce qui nous attends encore...

Jérémy vous regarde, Amalkar, Airia et Ssnirr avant de demander.

- Que faisons-nous ?

L’effort commun réussissait à maintenir le golem dans son sarcophage sans que ce dernier use de zèle pour pouvoir ressortir. Ceci prouvait au nécromant que ses talents n’auraient pu faire effet, car cette chose était en fait inanimée de conscience, c’était une vulgaire chose; totalement insensible et fortement efficace. Le Yuan-ti ne pouvait réfuter que ce fût une merveilleuse défense et il était déjà à tenter de comprendre comment en fabriquer quand les commentaires fusèrent de toute part.

Reprenant son souffle, Ssnirr jetait un œil vers la Dame Airia et s’approchant lui laissait savoir comment sa constitution était formidable et que sans elle, il crut que ce fut la fin pour elle. Au commentaire de Turial la curiosité emportait le jeune seigneur et il demandait alors… - Où seraient donc les corps des défunts qui auraient succombé aux golems? - À celui de Jérémy il demandait alors… - Rien ne nous dit qu’ils ont tous emprunté le portail… Mais le fait est que le maitre n’est peut-être pas ici, du moins s’il n’a rien sous ou derrière cette statue, il est ailleurs et toute notre stratégie de départ est faussée. Il faut se rendre à l’évidence, il nous manipule comme de simples pantins. – Son faciès n’autorisait pas de découvrir s’il était fâché, outré, désappointé ou autres, mais son physique et ses mouvements saccadés pouvait laisser croire qu’il était secoué par l’échec.

-Pourquoi donc avoir laissé des vampires ici et ensuite des gardiens élémentaux golems, si c’est véritablement des gardiens élémentaux. Pour en être certain, il faudrait ouvrir un autre sarcophage, sinon nous resterons dans l’ignorance. – Son regard ne trahissait pas qu’il avait véritablement l’intention d’ouvrir un autre sarcophage, cependant l’intervention de Borgor mit un frein à son élan de curiosité. La gravité dans la voix de son protégé le fit s’arrêter dans sa soif d’apprendre. Difficile de cacher qu’il était profondément vexé.

Il levait les yeux sur Amalkar et répondit froidement à ce dernier… - Venir ici sans savoir que la mort serait au rendez-vous est une façon peu orthodoxe de rester optimiste sur la suite de l’existence. La mort reste une expérience universelle qui continue de susciter des questions, une réflexion profonde sur la vie et la condition des êtres sur la nature de l'existence. Les aspects biologiques, psychologiques, sociaux et culturels de la mort sont une étude fortement intéressante, la thanatologie restera infiniment incomprise… à moins que… nous trouvions le maitre des lieux pour lui poser plus de questions. Au-delà de l’autolyse, la putréfaction et la squelettisation, les vampires semblent bénéficier d’un traitement hautement différent… nous ne pouvons pas sortir d’ici sans en savoir plus… - Son regard était lointain, déjà dans son laboratoire à tenter mille et une expériences, mais malheureusement il était bien loin du confort de l’étude, il était encore à apprendre, et ce, sans savoir où véritablement aller.

À la question de Jérémy, sa langue fourchue sortie sept fois, question de goûter à chacun des présents, à savoir dans quel état ils se trouvaient. Le goût de la peur était moins présent qu’il l’aurait cru, mais celui de la lassitude commençait à donner l’aigre qui manquait à l’amer de l’échec. Un sourire apparut dans son esprit puis il dit sur un ton neutre…- La nuit approche, donc au lieu de courir et de chercher celui que nous ne trouvons pas, nous pourrions nous reposer et attendre sa venue, nous pourrions en apprendre davantage sur ses allée et venue. – Dans sa glisse latérale, il conclut ses pensées en ajoutant… - Il ne reste plus de vampire, du foin pour se prélasser pour trouver un moyen de prendre le trésor sans que les gardiens interviennent, il y a aussi le portail qui nous mènera, nous ne savons où, ni quand, ce n’est pas mon expédition, alors à vous de choisir. -

D’ici les réponses, il allait proche de la statue pour y déceler un quelconque indice.

Perceeption +5

Jehans a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 20

Ssnirr, à ta question, Turial répond.

- Je suppose que les serviteurs du vampire, quels qu'ils soient, ont nettoyé les lieux afin de ne pas mettre la puce à l'oreille aux prochains visiteurs. En tout cas, c'est ce que je ferais à sa place.

Malgré ton antipathie vis à vis de ce prêtre, tu dois admettre que son raisonnement se tient. Lorsque tu évoques le fait de ne pas savoir si les autres aventuriers ont tous emprunté le portail ou non, Jérémy hausse les épaules.

- En effet, nous ne pouvons pas le savoir. Mais ce que nous savons, c'est qu'il n'y a eu qu'un seul d'entre eux à revenir. Ce qui veut dir que soit les autres sont morts, soit ils croupissent quelque part, soit ils sont devenus des vampires.

L'idée que la maître-vampire ai pu faire des vampires des aventuriers venus profanés son antre te parait peu probable. Bien sûr, tu peux te tromper mais à sa place, ferais-tu offrande de ce don exceptionnel au premier profanateur venu ? Certainement pas. Tu offrirais ce trésor inéstimable à des personnes qui te sont cher ou dont tu as grand besoin. D'ailleurs, la présence des golems prouve plutôt que ton raisonnement est proche de la vérité. Pourquoi des golems plutot que des vampires à sa botte qu'il peut contrôler comme il le veut ? Les golems sont plus limités en matière d'intelligence que des serviteurs humanoïdes. Lorsque tu suggères que le maître-vampire ne soit même pas dans ce lieu, un silence stupéfait s'installe parmi tes coéquipiers. visiblement, aucun d'eux n'avait envisagé cette possibilité. Amalkar est le premier à réagir en disant.

- Espérons que vous vous trompez, car si ce lieu n'est qu'un avant-goût de ce qui nous attend avant de trouver le maître-vampire, cela n'augure rien de bon pour nous.

L'idée d'être manipulé par le seigneur de ce lieu fait frissonner tes compagnons. S'il lui est si facile de faire cela, qu'est ce qui vous attend encore et quelles difficultés allez-vous encore rencontré ? Ta suggestion suivante, sur le fait d'ouvrir un autre sarcophage, fait se cripser tous le monde. Turial réagit promptement en te répondant.

- Vous plaisantez ?!? vous avez vu combien nous avons eu du mal à repoussé celui-ci ? Et je dis bien "repoussé" pas détruit.

Tu vois que les autres semblent tout à fait d'accord avec lui. Lorsque tu pars sur le fait de trouver le maître-vampire afin de lui poser des questions sur la mort et la non-mort, Amalkar te toise, glacial, et réplique.

- Je ne doute pas que le sujet vous passionne, messire, mais ce n'est guère le moment pour demander audience au maître des lieux. Je vous rappelle que nous sommes ici afin de trouver des choses intéressantes en premier lieu et pour voir ce dont il retourne. Notre but est de pouvoir revenir vivant afin de prévoir une expédition plus complète avec les renforts qu'il faut pour être certain d'avoir le dessus.

Ta suggestion de rester ici à attendre la nuit et la venue du maître-vampire fait pousser des exclamations de protestation à tes coéquipiers. L'idée ne les enchantent pas du tout, mais alors pas du tout. Turial, encore lui, te répond.

- Attendre la nuit et la venue du vampire, c'est signé notre arrêt de mort ! Nous ne sommes pas suffisamment préparés ni suffisamment nombreux pour réussir à survivre à cette rencontre.

Il te regarde comme s'il avait un fou devant lui. Il se tourne vers Airia et lui demande.

- Seigneur-Dame, de grâce, faites entendre raison au seigneur Ssnirr qui semble ne pas réaliser la dangerosité de ses propositions.

Airia te fixe alors, semblant peser le pour et le contre, avant de te dire.

- Je ne pense pas comme vous, Seigneur Ssnirr. Rien ne dit que, la nuit venue, d'autres vampires serviteurs du maître des lieux ne viendront pas pour nous attaquer.

Elle désigne le portail, dans la pièce non loin.

- Certes, nous ne savons pas où mène ce portail mais nous savons qu'il va là où d'autres portails se trouvent et qu'à la fin, le dernier nous ramènera à la tour. Sans chercher à affronter les dangers derrière les autres portails, nous pouvons les passer rapidement, ce qui nous donnera un aperçu de ce qui se trouve dans leurs alentours et nous permettra ensuite, une fois de retour chez nous, de préparer soigneusement une expédition bien préparée avec ce qu'il faut de magiciens, prêtres et guerriers aguerris.

La peur...tu sens la peur dans le coeur de chacun mais n'ont-ils pas raison, au fond, de vouloir revenir rapidement chez vous afin de mieux vous préparez ? Les autres aventuriers n'ont-ils pas tenté, comme tu le suggères, de se confronter au maître des lieux pour finalement trouvé la mort ? Le fait qu'un seul réussise à survivre et à revenir vers vous prouve combien chercher à faire face au maître-vampire est une idée quasi-suicidaire. Pendant que les autres continuent à discuter entre eux, tu inspectes la statue pour y déceler un système caché ui permettrait d'ouvrir une pièce ou un couloir secret. Rien, hélas, sauf que...en touchant la surface de la statue, tu sens un froid glacial qui ne devrait pas être présent sur de la pierre normale. Est-ce de la magie ? Et si oui de quelle sorte ?

Le groupe était blesser et fatiguer et passer la nuit dans l'antre des vampires ne lui suggérer pas une bonne idée surtout que des garde surveiller l'entre de la grotte... elle rajouta a ce qu'elle avait déjà expliquer :

Notre mission d'exploration ne servira a rien si nous mourrons tous! Nous avons encore des gars poster a l'entrer de la grotte qu'il faudra prévenir avant d'emprunter le passage ... Nous pouvons aussi essayer de sceller l'entrer de cette pièce pour y coincer le résident des lieux.. Cela nous fera agnier du temps sur notre expéditions.. Mais notre missions est d'avant tout revenir tous en vie.

Visiblement, Ssnirr ne faisait pas l’unanimité auprès des autres. Il écoutait l’ensemble des dires et opinions puis réalisait que la peur les empêchait de rester explorateurs. Toutefois, les propos étaient censés et empreints de cupidité monétaire. Se lassant rapidement des jérémiades il fit un signe d’accord puis allait fouiller auprès de la statue qui certes ne lui apprit rien au sujet d’un possible passage ou ouverture, donc il savait alors que le maitre n’était pas de l’autre côté.

Cela faisait si longtemps qu’il n’avait pas étudié dans son laboratoire qu’il peinait à repartir, ici enfin il y avait tant à étudier que son manque de savoir l’incitait, pendant que les autres s’assoyaient sur leurs peurs, qu’il décidait d’en savoir davantage sur cette froideur.

S’imaginant bien que celle-ci devait provenir des forces du maitre des lieux, tout comme la porte auparavant touchée, le nécromant devait confirmer ses pensées et étudier une dernière fois avant de passer le portail. Surement du type magie nécromantique, mais pendant les tergiversions, il avait encore le loisir de se permettre du savoir.

Avant cela, il répondit à dame Airia... -Donc si vous êtes tous d'accord à passer ce portail, comme vous le dite, il faut faire venir les gardes avec nous, et s'il reste des survivants de la prison, il serait intéressant qu'ils nous accompagnes, car une fois revenu chez nous nous pourrions en apprendre davantage sur eux et l'histoire de ce maitre. -

Puis il commençait son étude.

Art de la magie. +11

Jehans a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 19

Airia, tes paroles trouvent écho auprès de tes coéquipiers qui ne désirent plus qu'une chose : sortir au plus vite de cet antre infernal. Lorsque tu suggères de coincer la porte pour éviter que le vampire ne puisse sortir, tu vois Jérémy grimacer. Amalkar, lui, secoue la tête.

- Hélas, je pense la chose impossible à faire, ma dame. N'oublions pas qu'il peut se transformer en brume et nous n'avons pas le matériel adéquat pour boucher l'entrée.

Turial approuve et renchérit.

- Il faudait apporter du matériel de maçonnerie afin de condamner définitivement cet antre.

Les autres hochent la tête, d'accord avec le prêtre. Amalkar ajoute alors.

- En attendant, Elyrion, allez chercher Benjen, Valkor, Troy et Sagrir. Nous allons vous attendre dans la pièce au portail. Tâchez de voir si vous trouvez les survivants et s'ils veulent nous accompagner.

Tandis qu'Elyrion s'éloigne, Amalkar et les autres rejoignent la pièce au portail tout en restant sur le qui-vive. La nuit n'est pas loin, tous le savent et la peur envahit les esprits. Personne n'ignore que la nuit décuple les forces d'un vampire.

Ssnirr, alors que les autres se regroupent dans la pièce du portail, attendant le retour d'Elyrion, des autres gardes et des survivants acceptant de venir avec vous, tu en profite pour étudier de plus près encore la statue dont la froideur t'intrigue. Utilisant ta compétence d'art de la magie, tu détectes plusieurs auras magiques sur cette statue. La plus importante étant l'illusion. Déjà cette découverte a de quoi crisper. Tu vois également une aura d'abjuration, d'enchantement, invocation, évocation, nécromancie et transumtation. Toutes ces auras sur une seule et même statue te stupéfie. Alors que tu touches à nouveau la statue pour ressentir la froideur qui en émane, celle-ci a soudain un geste rapide. Sa main saisit ton poignet dans un étau qui te semble de fer tant il est puissant. Le visage de la statue bouge lentement et son regard étincelant vient se fixer sur tes yeux. Un mince sourire étire ses lèvres et tu découvres, avec horreur, des canines pointues caractéristiques.

Effaré, tu te rends compte de votre arreur à tous. Ce qui vous avez pris pour une statue est en réalité un vampire ! Les yeux brillants de la créature t'impose le silence et tu sens son esprit puissant chercher à dominer le tien. Sa force psychique est terrible et il va te falloir toute ta volonté pour réussir à lui résister.

(hrp : Ssnirr, un jet de volonté, s'il te plait)

Une fois tous dans la pièce au portail, Jérémy regarde tous le monde avant de demander.

- Où est le seigneur Ssnirr ?

Turial hausse les épaules.

- Sûrement encore en train d'admirer la statue. Il ne va pas tarder à nous rejoindre.

Le jeune seigneur reste un temps à étudier, le temps que les autres puissent se préparer à passer le portail, lui seul contentera sa curiosité et sa soif de savoir. Son étude des arts magique lui révèle, non sans émoi qu’une illusion majeure est en partie la plus importante sur la statue, et ce, sans parler de la panoplie d’autres énergies magiques.

Étant persuadé, à tort qu’il pouvait toucher à la statue, le nécromant réalisait que trop tard sa bévue. Le temps qu’il réalise, l’étau s’était refermé.

Ébaubi de la situation, son esprit fut happé par une force de domination psychique incroyable. Contrairement à ce qu’il aurait cru, la peur ne faisait pas partie de son état présent, c’était la stupéfaction et son émerveillement de voir enfin un être qui pour lui, était une fascination. Se tenait là devant lui, lui tenant le bras un vampire authentique, un mort-vivant d’une puissance encore jamais connu, peut-être même l’originel.

Mais comme tout bon chercheur, il fallait garder la tête sur les épaules si l’on voulait étudier adéquatement et c’est ce que le Yuan-ti tentait de faire…

JDS Volonté +6. (Divers +2 jds Le yuan-ti a un avantage aux jets de sauvegarde contre les sorts et autres effets magiques.
+2 à ses jets de sauvegarde contre pour résister aux effets de sommeil, d'étourdissement, de paralysie, de poison et de maladie)

Jehans a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 8

aux réponse des autres bloquer l'acces de manière définitive n'était pas inutile mais plutôt compliquer dans la mesure ou il n'avaient pas le matérielle pour réaliser celas... Il fallait bien battre en retraite leurs expéditions s'avouerai réussite si il rentrait avec les informations qu'ils avaient acquise.

Il ne fallait pas s'attardait car la nuit approchait est les demon de la nuit sont plus fort dans leurs élément.... Mais Snnir commençait a ce faire attendre et l'avarielle partit le chercher , i fallait restait grouper car les vampire restant pouvait agir plus facilement sur des proie seule et isoler...

Je vais le chercher ! il ne faut pas ce séparer est rester seul !

Puis avançant dans l'autre pièce elle appela :

Seignieur Snnir nous allons partir ou été vous ?!

Ssnirr, tu clignes des yeux avant de te reculer. As-tu rêvé ? Est ce réellement arrivé ? Tu observes la statue mais elle n'a pas bougé. Sacrée illusion ou peut-être un gaz invisible que tu auras déclenché sans t'en rendre compte ? Mystère...

Airia, En revenant dans la pièce aux sarcophages, tu vois Ssnirr à quelques pas à peine de la statue. Il semble l'observer intensément mais dès qu'il t'entend, il tourne sa tête vers toi. L'heure n'est plus à perdre du temps si vous voulez vous en sortir vivant. Il faut partir au plus vite. D'ailleurs, tu vois Elyrion revenir avec enjen, Valkor, Troy et Sagrir ainsi que le gamin qui vous a parlé à votre arrivée dans la salle. Elyrion secoue la tête avant de te dire.

- Aucun autre n'a voulu nous suivre.

Le gamin tire Elyrion par la manche, d'une main, désigne la pièce au portail de l'autre tout en parlant un langage que vous ne comprenez toujours pas. Toutefois, l'air effrayé du bambin ne laisse aucun doute sur le fait qu'il craint l'arrivée imminente des vampires alors que le soleil disparait dehors.

Bien ! ne perdons pas de temps seignieur Snnir quittons cette endroit maudit, nous pourrons un jour revenir bien mieux préparer!

l'expéditions aller bientôt pourvoir partir est rencontrer de nouveaux défit et énigme... et bien sur des danger mais récolter ces informations était vitale mais avant de partir elle demanda tout de même.

Aux vue du trésor de la pièce d'a coter nous pourrions prendre rapidement un objet intéressante et passer le portail avant que les statut s'anime? ou cela vous semble trop dangereux ?

Était-ce l’arrivé de Dame Airia, son manque de peur ou il avait tout simplement été victime d’une illusion majeure, il ne put le savoir sur l’instant, mais il doutait fortement, ce qui faisait grandir sa soif de savoir. Tout comme la porte, le vampire était entré en contact avec lui, il savait que de tous, il était le seul à pouvoir communiquer, mais jusqu’ici, seul le vampire avait communiqué, Ssnirr n’en avait pas eu le loisir… * Est-ce l’effet des magies sur la statue? Amalkar devrait m’aider à élucider ce mystère, ensuite...*

-Oui Dame Airia, nous devons poursuivre l’exploration, la nuit approche et qui sait le temps que cela nous prendra pour sortir des nombreux portails, vous savez que nous ne sortirons pas tous, n’est-ce pas? Vous êtes la seule à qui je fais confiance, ne doutez pas de moi, ni de mes actions, nous allons devoir choisir Dame Airia… nous où eux. –

Il fit une révérence subtile de la tête à la statue puis prit le chemin de l’autre pièce. Une fois qu’il entendit que les autres ne voulaient pas les suivre, le jeune seigneur comprit et respectait leurs décisions et ajoutait… - Laissons-leur des vivres et de l’eau au moins, même s’ils sont condamnés… encore là, nous le saurons lorsque nous reviendrons, n’est-ce pas ? -Il prit une partie de ses propres vivres et les laissait à l’entrée de la cellule puis s’approchait d’Amalkar et dit pour que tous puissent l’entendre…- La statue avait sur elle une aura d'abjuration, d'enchantement, d’invocation, d’évocation, de nécromancie et de transmutation. Elle m’a saisi le bras, enfin, une image en elle, et j’ai senti que celui qui était en elle tentait de me contrôler… il y avait une forte puissance, mais l’arrivé de Dame Airia à fait cesser l’enchantement ou bien…- Il n’était pas difficile de voir que le Yuan-ti cherchait à comprendre puis machinalement il continuait…-J’ai vu ce qui se trouve de l’autre côté et si cela est véridique, nous allons rencontrer le vampire maitre et sa suite d’autres vampires esclave prêts à sortir des sables. Nous arriverons dans une salle d'un temple de Seth en plein désert. Il nous fera une proposition : devenir l'un de ses enfants ou leur servir de nourriture et|Ou… –

Il prit un temps calculé puis ajoutait… - Ce n’est peut-être qu’une illusion qu’il a tenté de me faire voir, mais le sachant, vous en êtes prévenu, reste à vous de vous armer en conséquence. Cependant, sachez qu’un être simple a réussi à sortir d’ici, fou, mais en vie quoique rien ne nous a spécifiez s’il n’avait pas été mordu… - Il semblait réfléchir, mais utilisait son pouvoir de persuasion puis continuait… - Vous allez être confronté à un choix difficile… allons-nous prendre une décision égocentrique ou de groupe, allons-nous agir seul ou ensemble? Tout comme une main, la paume sans ses doigts n’est rien, le pouce sans les autres n’est rien, c’est uni que la main devient le poing, celui qui abattra le véritable adversaire, avec unicité, volonté et détermination. Alors ne soyons pas dupe non plus, il tentera de nous diviser… n’oubliez pas qu’en faisant une proposition, lui aussi doute, car en véritable maitre, il n’aurait pas proposé, il aurait pris ce qu’il veut, sans demander de choisir, donc il a une faiblesse et c’est elle qu’il faut toucher. C’est à nous d’utiliser son doute contre lui. Il est confiant que vous refuserez et… que j’accepterai, car je suis un nécromant, il ira possiblement jusqu’à m’offrir que vous deveniez mes esclaves, se sera là, si nous réussissons à jouer le jeu et que vous acceptiez, le moment où NOUS aurons percé sa défense et que je pourrai m’approcher de lui pour tenter l’impensable. Souvenez-vous lorsque j’ai utilisé l’artefact, plusieurs vampires ont été décimés… je l’utiliserai à ce moment précis et vous ferez tout ce qui est en votre pouvoir pour abattre son règne. –

Il regardait le jeune enfant qui lui rappelait ceux de son fief puis mit sa main sur le pendentif et intérieurement il savait que son amour pour Mérésankh n’y était pas pour rien dans la puissance de l’objet, c’était la lumière qu’il faisait naitre l’arme ultime. De sa rêverie passagère, il revint encore plus persuadé…- Je crains que nous n’ayons d’autre choix que de rester unis et confiant l’un aux autres, faisons qu’un et nous vaincrons. –Il prit une pose qui serait possiblement sa dernière, il savait que leur chance était faible, mais intérieurement il savait qu’ils devaient faire face à l’adversité. Là devant le portail il attendait leurs décisions. Il mit sa main gauche sur l’épaule de Borgor puis lui dit protecteur…- Ais confiance Borgor, je te protègerai, tu as déjà pris un choix qui ta sauvée la vie, tu auras encore un choix à faire, comme nous tous. – Que décideraient de faire les autres? Il ne pouvait savoir. Avait-il été assez convaincant? Seul l'avenir proche lui dirait ou la mort. L'avenir n'existait pas encore et la mort était certaine et immuable, peut-être même leur sauf-conduit, l’éternité… Peu importait sur l’instant, il fallait tromper pour vaincre.

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Jehans a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 15

Airia, alors que tu demandes à Ssnirr s'il serait possible d'emporter un petit quelque chose de la pièce aux sarcophages avant que les statues ne se mettent en branle, le yuan-ti te répond de façon surprenante. Loin de vouloir partir pour aller chercher du renfort, il propose une autre stratégie. Rejoignant les autres de vos compagnons dans la salle du portail, Ssnirr explique le contact qu'il a eu avec le vampire via la statue de la salle voisine. Il vous dévoile alors son plan qui consiste à accepter, du moins en apparence, la proposition du vampire puis, au moment où il sera en confiance, d'attaquer pour l'occire. Les autres écoutent avant de se regarder les uns, les autres, indécis sur ce qu'ils doivent en penser. Il est clair que Jérémy n'adhère pas du tout à ce plan vu le regard éffaré qu'il lance à Ssnirr. Turial frémit et vous regarde tous avec inquiétude. Pas besoin d'être télépathe pour comprendre qu'il a trop peur pour sa vie pour la risquer ainsi. Cela annonce une désertion au mieux ou une trahison au pire.

Amalkar réfléchit au pour et au contre de cette proposition risquée tandis que vos gardes, eux, secouent la tête, conscients du caractère suicidaire de ce plan. Le propre garde du corps de Ssnirr semble, lui-aussi, très dibutatif face à cette opération qu'il trouve totalement irréaliste. D'ailleurs, tu vois que chacun va s'exprimer sur le sujet...

Ssnirr, Jérémy te fixe d'un air éffaré après avoir entendu ta proposition. Il secoue la tête avant de te répondre.

- Et les vampires esclaves qui vont surgir du sable, vous en faîtes quoi ? Savez-vous combien ils sont ? Seront-nous assez nombreux pour les tenir à distance, le temps que vous réussissiez à utiliser votre artefact ? Vu le mal que nous avons tous eu à nous débarassez des quelques vampires qu'il y avait ici, je n'ose imaginer si les prochains sont plus nombreux encore...

Il désigne ton pendentif et demande.

- Et votre artefact, vous êtes certains de pouvoir l'enclencher le moment venu ?

Il lève la main en signe d'apaisement.

- Loin de moi l'idée de remettre vos compétences en question mais vous sembliez...comment dire...assez surpris vous-même lorsque votre pendentif s'est activé tout à l'heure. D'où ma question.

Turial, lui, fronce les sourcils et demande.

- Et qui vous dit que le vampire ne vous a pas manipulé pour vous faire voir ce qu'il voulait ? Cela serait bien dans les méthodes malfaisantes de ce genre de créature, non ?

Il tique sur le fait que tu sois un nécromant et ajoute.

- Et puis votre statut de nécromant vous incite à vouloir approcher cette créature morte-vivante plus que n'importe lequel d'entre nous... mais est ce vraiment pour la détruire ou, au contraire, ne désirez-vous pas plutôt la capturer afin de pouvoir l'étudier et lui voler ses pouvoirs ?

Ses questions jettent un froid et tu sens la tension grimper d'un cran parmi tes coéquipiers. Décidément, ce prêtre est une vraie plaie. Ses paroles ont le chic pour envenimer la situation à chaque fois. Amalkar, lui, semble indécis mais réfléchit sérieusement à ta proposition. Il hoche la tête et désigne Jérémy avant de dire.

- Il est certain que Jérémy n'a pas tord en disant qu'il nous faudrait savoir combien de vampires-esclaves possède leur maître avant de nous aventurer jusqu'à lui. Au vu de votre vision, pouvez-vous déterminer leur nombre, même à peu près ? S'ils sont trop nombreux, mieux vaudrait revenir avec du renfort. Nous aurions un avantage certain en sachant d'avance leur nombre et en pouvant nous préparer au combat à venir. S'ils ne sont pas nombreux, par contre, nous pourrions peut-être tenter votre plan. C'est une occasion unique d'approche le maître d'assez près pour pouvoir l'occire. Lui détruit, peut-être que ses esclaves senfuiront ou, du moins, seront suffisamment déstabilisés pour ne pas attaquer sur le champ nous laissant une belle ouverture pour les détruire.

Turial, persifle.

- Cela fait beaucoup de si, je trouve...

Une nouvelle fois, l'intervention du prêtre, plombe le peu d'espoir qu'Amalkar apportait. Les gardes, eux, sont tout à fait conscients d'être ceux qui seront en première ligne si ton plan est mis à exécution et cela ne les enchantent pas du tout. Se retrouver nez à nez avec des vampires, encore, ne leur laisse que peu de chance de vaincre...surtout après la dernière phrase de Turial qui met le doigt sur les variables très aléatoires de ta proposition. Ils secouent la tête, peu enclin à accepter mais ne disent rien. Ils te regardent avant de regarder Airia afin de savoir ce que va répondre la dame. Enfin, Borgor s'exprime et lui aussi ne semble pas convaincu par ton idée. Il grimace avant de dire.

- J'trouve que ça sent plutôt le piège, c'te vision que vous avez eu. Une manipulation...vous faire croire à sa "faiblesse" pour mieux nous attirer tous à lui plutôt que de nous laisser repartir pour aller chercher du renfort. Il ne reste que peu de temps avant le coucher du soleil, faut pas rester là sinon, ils seront tous beaucoup plus forts !

Un silence de mort suit les paroles du gobelours. Tous les regards convergent vers toi et Airia. Vous êtes, semble t-il, les seuls à pouvoir décider de la suite des événements, aux yeux de vos compagnons d'aventure...

Le jeune seigneur vit rapidement que son offre n’avait pas fait l’unanimité. C’était comprenable et légitime. Il continuait d’écouter les dires de chacun puis à la fin il dit sur un ton neutre… -Vous parlez de revenir avec du renfort, n’avez-vous pas remarqué qu’il y a qu’un chemin? Celui d’emprunter les portails l’un après les autres, donc, nous allons le rencontrer ce fameux vampire, que vous le vouliez ou pas, et ce, avant même que nous sortions d’ici. Vous saviez très bien dans quel guêpier vous avanciez, sachant très bien que de toutes les expéditions ici, seul un être en ait sorti et à moitié fou. Vous saviez que c’était du suicide, mais vous y êtes tous, et ce, de votre plein gré. Souhaitons de par vos dire qu’il y ait une possibilité que nous ne croisions pas le maitre des lieux, ce serait d’après vous tous, notre seule chance de s’en sortir. -

Il les regardait les uns après les autres puis toujours sur le même ton neutre.-Vos paroles ont apporté des éclaircis, il est vrai que ce que j’ai vu peu ne pas être la réalité, en fait cela ne l’est pas, c’est certain, c’était une vision d’illusion et il est encore vrai que j’ai basé mon plan sur cette vision uniquement, sans connaitre le nombre exact de vampire esclaves, j’en ai aucune idée du nombre. Il est aussi vrai que mon médaillon, je l’utilisais pour la première fois je ne sais pas du tout s’il fonctionnera encore, mais j’en suis persuadé, car j’y ai mis tout l’amour que je ressens pour celle qui me l’a offert, tout comme vous les prêtres vous faite avec votre foi envers votre dieu. Il est certain que le vampire m’a manipulé, ça force dépasse l’entendement, mais nous restons maitres de nos volontés, il faut garder la foi, elle est et restera notre salut. Toujours aussi vrai que j’aimerai, au contraire de vous tous, au lieu d’avoir des richesses pécuniaires du trésor d’à côté, un sujet d’étude, donc oui, je suis venu ici dans l’intention de pouvoir rapporter un vampire pour mes études, toutefois, il serait préférable qu’il reste ici et que je puisse venir ici l’étudier pour ne pas mettre mes sujets en danger, mais la tour n'est pas sur mon fief. - Il prit un temps puis terminait avec un peu d’ironie…

-Étant donné que vous voulez tous partir au plus vite, et que vous n’avez aucun plan, allons-y! Car nous sommes devant la réalité que nous n’avons aucune idée de ce qui se trouve de l’autre côté, nous ne savons aucunement combien de portail il peut y avoir avant de sortir d’ici, nous ne savons rien, donc improvisons, l’impro à toujours eu du bon et à l’avantage d’être créatif. - Dit-il en passant le portail sans plus attendre. Pour le Yuan-ti qu’ils ne sortent pas d’ici lui était un peu égal, fâcheux, car à vrai dire il avait accepté cette expédition surtout pour tenter d’être allié avec les fiefs voisins, mais c’était encore possible, car il n’avait pas vraiment de mésentente, juste des désaccords sur la façon de faire devant le danger. Il tenait aussi beaucoup à Dame Airia, elle était pour lui son contraire, elle était un être de lumière, elle avait de façon presque innée celle-ci, ce qui était un phare pour le nécromant. Il était aussi fortement attaché à ses sujets et il ferait tout pour retourner les aider à prospérer. Il avait aussi Mérésankh, il ne pouvait pas ne pas sortir d’ici, il devait la revoir, car étrangement, tout ce qui était ici venait de chez elle, c’était son monde, les terres mêmes de sa naissance… Oui, il fallait qu’ils vainquent ce vampire, coute que coute.

Airia semble indécise sur la conduite à suivre mais Ssnirr décide pour elle en passant soudain le portail. Suivant le mouvement, elle fait de même et tous vous retrouvez dehors, dans une oasis différente où se trouve un palais mulhorandi de toute beauté. Autour de ce dernier, un village désert...désert ? Non pas exactement. En fait, en y regardant de plus près, les maisons sont toutes occupées mais les gens sont déjà rentrés chez eux et les lampes à huile commencent à s'allumer tandis que le soleil, plonge à l'horizon. Soudain, Aira voit, entre les palmiers, un portail. Elle le désigne aussitôt en chuchotant.

- Regardez, un autre portail, empruntons-le rapidement.

Tous semblent d'accord avec elle et s'empressent de se diriger vers le nouveau portail.

Ssnirr, tandis que les autres vont vers le portail, tu regardes le palais et tu distingues des gardes armés sur l'escalier qui grimpe jusqu'à l'entrée. Il fait encore jour, même s'il décline rapidement maintenant, ce qui prouve que les gardes sont mortels. Tu supposes qu'ils gardent l'antre de leur maître vampire. Tu observes également une zone de sable entre le palais et les premières habitations du village. Une zone de sable comme dans ta vision. Tu supposes donc que les "enfants" du vampire doivent être là, prêts à agir au moindre signe d'un intrus tentant d'entrer discrètement. Y a t-il un autre portail dans le palais ? C'est fort possible et cela expliquerait, en partie, pourquoi le survivant a réussi à s'échapper. Les autres aventuriers ont dû vouloir entrer dans le palais pour le piller et se retrouver nez à nez avec les vampires des sables. Seul l'un d'entre eux a réussi à s'enfuir par le portail où se dirigent tes coéquipiers. A moins que cela soit un piège ?

*La vision était donc réelle et véritable, du moins en partie. * Se dit-il réalisant que la scène était la même que dans la vision que lui avait offert le maitre vampire. Son glissement sur le sable avait ralenti réalisant que ce nouveau portail où se dirigeaient les autres pouvait être un piège.

À quoi bon leur donner son impression, ils passeront quand même tergiversant milles excuses et accusant que le temps leur manque avant que le soleil ne disparaisse. Réalisant cette vérité, Ssnirr les laissait aller sans les retenir d’entrer dans le portail. Si c’était un piège, alors ils feraient face au maitre vampire une fois pour toutes et cela bouclerait cette aventure avec eux, lui n’aurait possiblement pas d’autre choix que de tenter de les aider et finirait surement à accepter l’offre du maitre vampire pour poursuivre son œuvre d’étude, mais cette pensée venait encore une fois lui pincer les tripes. Le jeune seigneur réalisait encore une fois qu’il ne pouvait trahir son allégeance qu’il avait faite au baron et que ses sujets avaient besoin de lui et fatalement que lui avait besoin d’eux… Ssnirr avait de l’amour, il tenait à eux et voulait ce qu’il y avait de meilleur pour ce qu’il désignait ses proches, il ne pouvait pas les abandonner; il lui fallait trouver la volonté de ne pas les abandonner et de vaincre à tout prix, le maitre vampire.
Ces avec cette pensée constructive qu’il suivit le groupe et passait donc le portail qui s’ouvrait devant eux. Juste avant de passer, il tournait la tête pour observer encore la beauté de ce lieu qui inévitablement l’envoyait valser auprès de Mérésankh.

Il passait donc le portail avec un véritable sentiment d’amour, de lumière et de félicité.

Airia répondu a Snnir

Je vous fait confiance Seigneur Snnir ! Vous avez déjà prouvez votre force et vos compétence ! Et je vous respecte d'égale a égale ! lui dire cela en toute franchise était comme une trahison envers certain de son peuple qui mépriser les terrestre. Elle reconnaissait le savoir et les connaissance qui lui manquait .

Une fois le portail passé elle remarqua rapidement le prochain portail mais cela semblé trop simple.... peut être un piège mit par le maitre des lieux... Elle répliqua :

Avant d'agir trop vite je propose de ce renseigner sur la population locale, il ont surement des informations importante a transmettre... Laisser un portail si prêt de la sortie me semble trop évident...

Airia, ton intervention alors que tous se dirigent vers le portail est accueillie fraîchement par tes coéquipiers. Turial te lance un regard de reproche, jugeant sans doute que tu t'amuse à jouer avec la vie des autres et surtout avec la sienne. Amalkar grimace, partagé avec l'envie de fuir le plus vite possible et la convoitise du trésor qu'il pourrait ramener. Jérémy secoue la tête, réprobateur tandis que les guerriers, eux, regardent le soleil plongé avec appréhension, sachant que la nuit apporte un regain de puissance aux êtres de la nuit. Le silence de Ssnirr vaut comme acceptation et c'est le coeur lourd de crainte que le groupe s'immobilise. Tous regardent le portail avec regret avant de se diriger vers la masure la plus proche de vous.

Ssnirr, alors que tu suis les autres, dépité à l'idée de partir ainsi, tu vois Airia prendre la parole pour demander à rester afin d'obtenir des informations sur la population locale et, sans doute aussi, sur le maître des lieux et ses sbires. Tu perçois la réticence de tes coéquipiers et tu les voient tous te regarder, attendant de voir ta réaction. Ton silence est interprêté comme approuvant la demande d'Airia et tous baissent la tête, effrayés, mais résolus à obéir...quoique, l'espace d'un instant, tu crois que Turial va courir et traverser le portail, vous abandonnant à votre triste sort. Mais non, le prêtre, même si l'envie ne lui manque pas, reste...certainement arrêté par ce qu'il lui arriverait si vous reveniez sains et saufs de votre aventure. L'idée de finir pendu pour trahison voire pire a eu raison de son envie de fuir...du moins, pour le moment.

Les maisons sont toutes construites sur le même modèle : de plein pied, en briques crues blanchies à la chaux, elles possèdent toutes des fenètres en hauteurs et une porte en bois. Un muret encadre l'arrière de la maison où se trouve une cour, le four et la cuisine, couverte par un auvent de roseaux. Dans la cour, un escalier, collé à la maison, grimpe jusqu'au toit en terrasse. Elyrion s'avance et frappe à la porte, les autres derrière lui, prêts à réagir au moindre signe de danger. La porte s'ouvre sur un vieil homme au regard inquiet. Votre vue semble le rassurer et le surprendre en même temps. Il sort la tête dehors, regarde à droite et à gauche avant de parler mais vous ne comprenez pas ce qu'il dit...toutefois, son geste est assez parlant pour vous faire saisi qu'il veut que vous entriez rapidement.

La pièce où vous arrivez est de taille moyenne. Sur le côté gauche, une porte et un peu plus loin un renfoncement avec trois marches donnant sur un autel derrière lequel se tient un bloc de pierre. Sur le bloc est posée une stèle gravée de plusieurs personnages féminins et masculins. Sur l'autel, un brûle-parfum et un plat en terre cuite vide. Sur le côté droit de la pièce, un escalier descend vers un sous-sol et à côté de lui, un couloir. La pièce est décorée simplement avec des banquettes en bois agrémentées de coussins et une table basse. Un meuble de rangement près de l'escalier descendant termine le mobilier qui habille le lieu. Le vieil homme vous invite, d'un geste explicite, à vous assoir sur les banquettes et vous parle, une nouvelle fois dans cette langue que vous ne comprenez pas. Amalkar, sourit avant de lui répondre en langue commune.

- Nous ne comprenons pas votre langue mais merci de votre accueil.

Le vieil homme hoche alors la tête et lui répond dans un commun un peu hésitant.

- Je comprends votre langue, pour ma part, soyez le bienvenu chez moi, je suis Keb.

Il vous observe tous avant de poursuivre, l'air grave.

- Je suppose que vous êtes des aventuriers.

Il secoue la tête.

- Vous devriez passé le portail non loin afin de retourner chez vous car seule la mort vous attend ici.

Il jette un regard vers la fenètre haute de sa maison pour constater la tombée de la nuit.

- Il ne vous reste que peu de temps avant la venue de la patrouille...

Il allait passer le portail quand soudain Dame Airia apportait un point intéressant, celui d’aller s’informer auprès des villageois. Funambulesque idée. * Pourquoi pas, après tout il nous reste encore quelques respirations avant que le soleil se couche. * Se dit-il détendu et avec le même état d’esprit que lorsqu’il allait passer le portail. Il la remerciait de sa confiance avec un abaissement de la tête légèrement incliné vers la droite.

Lorsqu’ils arrivèrent auprès de l’une des maisons un vieil homme les invites, naturellement il parle la langue locale puis après l’intervention d’Amalkar, le vieil homme finit par leur parler dans le commun hésitant.

Ssnirr n’hésitant plus voyant la nuit approchée et leur chance de survie diminuer… -Que les armes restent au fourreau entre nous cher Keb, je me présente, Ssnirr. Oui, nous sommes des aventuriers, explorateurs et pour moi chercheur. La mort attendra encore un peu, semble-t-il, car nous avons avec nous des personnes qui avaient été emprisonnées pour nourrir les crocs longs. Si vous vouliez bien les prendre chez vous pour cette nuit, question que nous ne les ayons pas sorties pour rien, nous vous serions grandement reconnaissant. Aussi vous auriez l'amabilité de leurs demander s'ils veulent continuer de nous suivre ou rester ici? Merci. – Chaque parole les approchait de la nuit encore un peu plus et ils avaient pris l’effronterie de venir poser des questions, donc il fallait les poser et le jeune seigneur commençait…

-Il y a combien de dents longues qui rôde et depuis quand le maitre des dents longues est-il en place, à tout hasard, serait-il accompagné dans son temple? Pour votre peuple, serait-il soulageant de le voir à tout jamais disparut? - C’était pour lui les questions qui lui étaient venues.

Restait maintenant le tour de Dame Airia de poser les questions qui lui brulaient les lèvres. Pendant la réponse suivie des autres questions, Ssnirr sortit son sablier et évaluait le temps que cela prendrait pour parcourir le chemin jusqu’au portail avant que le soleil se cache et puisse faire apparaitre la mort; le temps est égal à la distance multipliée par 60 et divisé par la vitesse de déplacement, donc… la distance est d’environs…

Ssnirr, à ta demande d'offrir l'asile au seul rescapé qui a accepté de vous suivre, l'enfant, le vieux Geb hoche la tête.

- Bien sûr, il est le bienvenu.

A ta question sur le nombre de vampires présents, le vieux te répond.

- Ils sont 6 à être cachés sous le sable de chaque côté du palais ainsi que devant et derrière...soit 24 en tout à l'extérieur. A l'intérieur, je sais juste qu'il y a l'intendant mais y en a peut-être d'autres...

Il secoue la tête.

- Je n'en sais pas plus.

Pour répondre à tes autres questions, Geb ajoute.

- Depuis quand ? Il était déjà là à ma naissance, il y a 70 ans. Ma mère m'a toujours dit qu'il était déjà présent à l'époque où mon arrière grand-mère était enfant.

Il réfléchit et te dit.

- A part l'intendant qui fait partie de ses enfants, les autres sont mortels. Il doit y avoir une trentaine de gardes et une une soixantaine de serviteurs...enfin, je ne fais que le supposer car je ne travaille pas au palais.

Enfin, à ta dernière question, il n'hésite pas et déclare.

- Nous ne pourrions que louer les dieux si nous étions enfin débarrassés du joug de cette engeance d'Apophis !

Il vous regarde, l'air désabusé.

- Hélas, vous n'êtes clairement pas suffisamment nombreux pour lutter contre notre bourreau. Il vous faudrait du renfort. Les derniers à avoir tenté d'éliminer notre tortionnaire sont morts...sauf un que l'un des villageois à aider à fuir. Il l'a payé de sa vie.

Bien sûr, Turial te lance un regard entendu face aux dernières phrases du vieux. Il réplique aussitôt.

- La voix de la sagesse...

Il tourne son regard vers Airia pour savoir ce qu'elle pense de tout cela.

Décidément, Ssnirr était confus, il avait cru avoir avec eux plus qu’un seul prisonnier que le jeune enfant et à la réponse de Geb le jeune seigneur réalisait qu’il serait plus judicieux de le garder avec lui. Des idées de grandeur de former une famille avec Mérésankh lui venaient subitement, ils pourraient l’adopter… Il divaguait quelque peu et revint aux réponses intéressantes qu’ils reçurent tout en continuant de calculer le temps précieux qui s’égrenait que trop rapidement.

Toutes ses réponses apportaient son lot d’intéressement et faisaient en sorte qu’un branle-bas se mettait en ordre dans les pensées du Yuan-ti. À la réplique de Turial, Ssnirr qui ne pouvait sourire, sortit la langue plusieurs fois avant de dire sèchement… - Que je suivrai, hélas…-

Puis se tournait vers Dame Airia attendant avec patience ce qu’elle avait à demander. Les rayons du soleil se faisaient de moins en moins chaud et la brise froide du désert rampait, sournoise laissant ici et là quelques frissons parcourir les peurs enfouies.

Venir prendre des informations auprés des habitant était vital. Airia est les autres partirent donc dans la premier maison avoisinante. Un certain Keb leurs ouvrit la porte il ,ne manquait plus que a lui posait des question crucial avant de repartir...

Snnir prit la parole et Airia écouta les retours des questions

Occire ce vampire était une mission de choix mais comme Keb la souligner il était bien trop peut préparer est nombreux pour l'affronter...Elle répondit a Keb

Nous sommes effectivement pas assez nombreux pour mener un assaut direct contre cette Apophis, Nous sommes surtout la en éclaireurs et en récolte d'informations pour nous préparer a revenir ! Car oui nous reviendrons et vous libérons de ce vampire !

Prenant quelque instant elle ajouta

Il faudra vous tenir prés et préparer possiblement une rébellion avec des gens de confiance le temps que nous revenions... tout informations a nous transmettre sur le lieux , nombre d'ennemies , capacité, arme sera d'autant plus de réussite de gagniez la combat.

L'avariell tentait de redonner espoir a Keb pour que un vent nouveaux ce lève

Airia, Geb t'écoute avant de hocher la tête.

- Oui, je vais faire circuler l'information discrètement de votre prochain retour avec des renforts. Les autres villageois et moi-même allons glaner le plus d'informations possibles pour vous. Dès que vous reviendrez, je vous dirais tout ce que l'on a pu récolter.

Il désigne le gamin du doigt.

- Vous laissez le petit avec moi ? Je le cacherais bien, ne craignez rien.

Par contre, il ajoute.

- Mais pour ce qui est de se rebeller...

Il secoue la tête.

- Comment voulez-vous que nous fassions ? Nous sommes de pauvres villageois avec peu de moyens et face aux engeances d'Apophis, nous ne faisons pas le poids. Nous dressez contre eux, physiquement j'entends, c'est notre mort assurée.

Le vieux n'a pas tord, les villagois n'ont rien de combattants et leur demander de se rebeller déclencherait l'ire du maître-vampire qui n'hésitera pas à trucider les séditieux sans pitié. Par contre, récolter des infos pour vous aidez dans votre combat est à leur portée et a moins de risques de les faire mourir.

Ssnirr, la mort dans l'âme, tu te range à la décision de tous de repartir chercher du renfort avant de revenir au plus vite. Dès votre retour, il vous faudra faire un conseil de guerre afin de voir ensemble les détails logistiques de votre projet. Le temps joue contre vous encore plus que maintenant car chaque minute qui passe laisse le temps au maître-vampire de réagir et de s'organiser. Tu regardes le gamin et, soudain, tu imagines une famille avec ta bien-aîmée et lui en tant que fils adoptif. Quelle serait belle, cette famille, et l'enfant ne serait pas dépaysé par les us et coutumes de ta belle puisqu'il est natif de la Mulhorande, tout comme Mérésankh. Hélas, la vision s'estompe face à la dure réalité qui revient au galop. Cette belle histoire devra attendre pour avoir une chance de se contrétiser...

Geb vous guide rapidement vers le portail et vous laisse à quelques mètres de là en vous souhaitant bonne chance. Il court, alors que la nuit assombrit les devantures des maisons. Il a juste le temps de rentrer chez lui avant que le dernier rayon du soleil ne disparaisse. Au même moment, vous passez tous le portail pou vous retrouvez dans la tour du mage. Aussitôt, Amalkar se tourne vers vous et vous dit.

- Il nous faut réunir le plus de force possible pour retourner au plus vite au palais du vampire. Seigneur-dame Airia, seigneur Ssnirr, je vous laisse regagner vos fiefs afin de lever une troupe, je fais de même de mon côté.

Jérémy suggère.

- Je pense qu'il faudrait au moins une centaine d'hommes pour venir à bout des vampires avec une chance de s'en sortir sans trop de casse.

Il vous regarde et demande.

- Pensez-vous que la seigneur-dame Mérésankh accepterait de fournir une aide ?

Amalkar grimace, visiblement pas ravi à l'idée de devoir partager avec un seigneur supplémentaire une part du butin que vous pourriez trouver. Mais il ne proteste pas, sachant que le prêtre a raison et que l'union fera votre force. Le magicien vous propose deux jours de délai...ce qui est dramatiquement peu mais vous comprenez que, vu l'urgence, vous ne pouvez vous permettre de traîner. Jérémy demande alors.

- Qui connait le mieux la seigneur-dame Mérésankh pour pouvoir aller lui transmettre notre demande ?

L’esprit logique de Ssnirr faisait des scénarios sur les possibilités de leur réussite, mais tous revenaient au même point, l’échec. Ils étaient trop peu et n’étaient visiblement pas amplement préparés pour une attaque de front d’une telle ampleur. Quand il entendit le mot rébellion, le jeune seigneur sorti prestement de ses calculs puis dit sur un ton sec et bas…

-Il ne faut vraiment pas que l’engeance puisse avoir connaissance que nous reviendrons, il ne doit pas se douter de quoi que ce soit. –

Pragmatique, il saluait de remerciement Geb puis allait au portail pour passer. Une fois de l’autre côté il fut heureux de constater qu’ils revenaient à la tour. La boucle était donc fermée et il avait une hâte d’étudier le temps et de se permettre quelque études, mail Amalkar présentait un nuage.
À la suite des dires d’Amalkar et de Jérémy le jeune seigneur sortit sa langue quelques fois avant de dire…

-Une centaine d’hommes contre 120… quoique 60 sont des serviteurs, peut-être comprendront-ils que nous venons les libérer, il va falloir les convaincre… Dame Mérésankh, j’irai personnellement la rencontrer, mais je crains que deux jours soient un peu précipités, nous seigneur, devons organiser un conseil, faire préparer une troupe, réorganiser les équipes de travail aux champs, à la mine, sur les rondes de surveillance, la faille, les tribus des montagnes, les constructions… bref vous comprenez que deux jours c’est rapide, de plus il me faut aller chez Dame Mérésankh, juste là il faut compter une bonne journée sans parler que si elle offre une troupe, il va leur falloir traverser mon fief pour venir jusqu’ici ce qui prendra deux jours minimum. –

Il réfléchissait puis ajoutait… - Le baron devrait être informé de la menace qui plane de cette tour, si nous échouons dans la tentative d’élimination de l’engeance, ce dernier voudra se venger et viendra sur les terres du baron, par notre faute, vos cupidités, et ma soif de savoir… il doit impérativement être au courant que nous allons tenter d’éliminer un vampire et sa troupe. Ou vous préférer taire cet acte?-

La question était à double tranchant et c’était le moment où Ssnirr voulait voir la loyauté d’Amalkar, et de Dame Airia. Choisiraient-ils de taire l’acte ou prestement ils choisiraient d’en faire part au Baron.

Le Yuan-ti en lui était heureux, il mettait ses voisins devant un choix crucial, loyauté ou trahison.

Ssnirr, à tes propos concernant le quotidien d'un seigneur et le temps trop court qu'Amalkar demande, le magicien tique et te répond.

- Votre quotidien de seigneur peut attendre quelques jours, seigneur Ssnirr, ce qui n'est pas le cas de notre affaire en cours. Dois-je vous rappeler que le maître-vampire n'attendra pas sagement notre retour avant de se préparer ?

Il ajoute.

- Et puis, n'avez-vous pas dit qu'il avait tenté de vous dominer mentalement ? Avez-vous pensé qu'il pourrait avoir perçu nos intentions ? Dans ce cas, le temps joue contre nous et plus nous attendrons, plus nous lui laisserons le temps de s'organiser. Non, je reste persuadé que notre meilleur chance contre cette vile créature est d'y retourner rapidement avec des troupes.

Conciliant, il poursuit.

- Certes deux jours paraissent fort courts, vous n'avez pas tord. Disons quatre mais pas plus.

A ta question de savoir s'il fallait prévenir le baron ou pas, Amalkar répond aussitôt.

- Non, mieux vaut régler le souci nous-mêmes.

Il hausse un sourcil ironique avant d'ajouter.

- Quant à parler de notre cupidité...elle est la même que la vôtre, seigneur Ssnirr, même si vous préférez l'emballer sous le dénominatif de "soif du savoir". Je laisserais des consignes à mes gens afin qu'ils préviennent le baron, en dernier recours, si nous ne revenons pas d'ici un temps donné.

Il lorgne du côté d'Airia afin de voir si sa proposition lui parait plus intéressante que la tienne...

La prise d'information de la population local s'avéra très utiles, de potentiel alliées pour défaire le mal était déja sur place il fallait maintenant ce préparer et agir vite. De retour en pays "allier" via le portail chacun devait partir et revenir avec des troupe plus conséquente. Airia expliqua son point de vue:

De mon point de vue il nous faut prévenir le baron nous avons déjà du affronter les hordes souterraines et nous voila avec une menaces de mort vivant a ne pas prendre a la légèreté, si le maitre a bien pu accéder aux pensé voir souvenir du Seignieur Snniir il a vue qu'il y avait pas mal de chaire fraiche et bon vivant de notre coter, ce qui l'intéressera plus a vouloir nous envahir... avoir les troupe du baron renforcera nos chances de victoire car si nous y allons trop peux nous ne ferons que renforcer le camps ennemie .

Notre prochaine expéditions devra contenir prêtre ,eaux bénites, est des gens compétent dans leur domaine ... faire rentrer une arme dans la grotte d'arriver ne sera pas facile... il faudra nous assurer dans prendre contrôle totalement pour lancer une offensive rapide et efficace.

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