La tour du mort-vivant.

Lorsque Amalkar voit arriver Airia, il la salue d'un bref signe de tête.

- La bonne rencontre, dame-seigneur Airia. J'espère que vous avez fait bon voyage. Je vous propose de déjeuner avant d'entrer dans la tour. Cela nous permettra de prendre des forces.

Les hommes finissent de préparer le repas tandis qu'Amalkar vous demande.

- Avez-vous une idée, un plan pour entrer dans la tour ?

Il vous regarde, tour à tour, attendant de savoir si vous avez réfléchi à un plan d'action...

Ssnirr perçoit une partie des fourberies d’Amalkar, cependant il n’en laisse rien savoir ses doutes, restant comme le veut sa physionomie faciale, sans émotion et de marbre. Son regard ne quitte pas le mage pour un instant puis laissant sa longue langue fourchue humer les présents il laisse savoir alors qu’il est déçu du peu d'information reçu, sans plus en ajouter. Dans l’attente il fait le tour de la tour cherchant un moindre signe quelconque de magie sur celle-ci, ainsi qu'une étude d'un possible décryptage.

Voyant au loin la Dame seigneur Airia accompagné de Borgor il se sent fortement soulagé. Le Yuan-ti est fortement heureux et spécialement encouragé à féliciter son garde du corps. Il prend le temps de se signer en politesse auprès de la Dame seigneur puis s’approche de Borgor en lui mettant sa main droite sur l’épaule et le remercie avec honneur d’avoir réalisé ce qu’il lui avait demandé et l’invite à lui dire comment le chemin s’était passé pendant qu’Amalkar pose sa question.

Se retournant vers l’ensemble il fait savoir qu’il est d’accord pour prendre une bouche avant toute autre chose et en profite pour demander à Airia… -Chère Dame seigneur Airia, j’espère que vous profitez bien du trophée d’Outreterre. Plus tard j’aurai à vous parler en tête à tête à ce propos, mais pour l’instant, avant même d’élaborer ou de divulguer un plan, j’aimerais vous demandez ce que vous savez sur cette tour du mort-vivant, car il semble que notre commanditaire en savent trop peu pour que je puisse confirmer, pour l’instant, mon entrée en celle-ci.-

Il n’y avait aucune pointe d’agressivité et encore moins d’entre phrase, il disait simplement la vérité le plus franchement possible pour justement, éloigner toute confusion possible. Il enroulait le bas de son corps confortablement abaissait le haut, déposait sa lance au sol et se détendit pour la conversation, dans l’attente de la réponse.

Art de la magie. pour voir, percevoir apprendre la magie qui peut y avoir sur la tour, l'entrées et ses alentours. +11

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Décryptage sur une possible inscription codé quelque part sur la tour. +10

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Airia réussi a baratiner et flatter l'égos du père turial pour qu'il accepte de ce joindre a l'expéditions...Avec lui, la survie de l'expédition venait d'être augmenter renforcer, elle pourrait aussi ainsi l'observer et voir de quoi il est capable....Mais les choses allant de bon train, le temps qu'il aille ce préparer , son hérault Olara revenait de sa mission avec pour le grand étonnement de la seignieures un gobelours...

Celui-ci n'était pas hostile, elle appris qu'il était le garde personnelle du seigneur Snnirr et qu'il allait l'accompagner pour le rendez vous de la tour du mage... Récupérant ses affaire et suivit de son escorte de garde et du Père Turial elle ce dirigea en route pour la tour avec Borgor...

Arriver a la tour elle adresse un large sourire a Snnirr qui a accepter de ce joindre a l'expéditions et a ses questions elle lui répondit:

Pour ce qui est du trophée, je vous acceuillerait avec plaisir sur mais terre pour en parlait. Du peut que j'en sais, cette tour abriter Eliazar Mortelune, il était un mage qui menait des expérience sur des cadavre...Un nécromancien... peut être l'un de vos confrère... cette phrase n'avait pas pour bute d'énerver ou d'insulter Snnirr met plutôt de montrer qu'il pouvait mètre ses talent et connaissant magique qui serait d'une grande aide elle poursuivit C'est pourquoi votre expertise et connaissance magie seront crucial pour cette expéditions Répondant en tout sérénité et franchise au seigneur Snnirr elle n'avait aucun grief contre lui.

Ssnirr, ta détection de la magie t'apprend qu'il n'y a plus d'auras magiques. Une vague réminescence te fait comprendre qu'il y a bien eu des sortilèges dans le passé, sans doute pour défendre l'entrée de la tour, mais qu'il y a longtemps qu'ils ont été dissipés. Tu refais le tour de la bâtisse pour tenter de découvrir des inscriptions cryptées mais tu ne trouve rien. L'arrivée d'Airia, accompagnée de Borgor, de quatre hommes d'armes et d'un prêtre met fin à tes investigations du moment. Les quatre gardes humains d'Airia ont tous dans la trentaine. Le prêtre, humain lui-aussi, a dans les 60 ans, des cheveux courts gris et des yeux noirs. Il porte un symbole d'Ilmater.

Autant les hommes d'armes te semblent corrects, autant le prêtre te fait mauvaise impression. Il a un regard chafouin qui ne correspond guère à l'idée que l'on se fait d'un prêtre du dieu qui pleure. Son attitude, hautaine, surprend également. Quel personnage bizarre...Les quatre hommes d'Aria se nomment :

- Gervik Pattedours
- Jarod Terrecolline
- Troy Sombrepic
- Sagrir Encrenoire

Le prêtre à l'air sournois s'appelle Turial Eauvive. Hélas, à ta question concernant d'éventuelles connaissances qu'Airia pourrait avoir sur la tour et son propriétaire, sa réponse négative ne t'apporte aucune informations nouvelles. Tu sembles en savoir plus que les autres, grâce au vieux Sineril, sur le sujet. A toi de voir si tu partages ce que tu sais avec les autres ou si tu gardes ce que tu sais pour toi...

Airia, tu arrives au campement de base qu'a préparé Amalkar. Ce dernier a à ses côtés trois hommes d'armes humains approchant tous la quarantaine et un semi-elfe de lune de 50 ans aux cheveux et yeux noirs. Le semi-elfe porte un symbole de Tyr autour du cou. Ssnirr se tient près d'eux et du feu. Borgor s'approche et salue d'un signe de tête son seigneur avant de se positionner à ses côtés afin de reprendre sa fonction de garde du corps. Personne n'ayant répondu à Amalkar concernant un éventuel plan d'action, le mage en déduit que vous n'en avez aucun. Il propose alors tout simplement.

- Bien, finissons de nous restaurez et allons-y !

Votre équipe d'exploration se compose donc de :

- Amalkar Sombremage
- Elyrion Peaudacier
- Valkor Fertour
- Benjen Lamefeu
- Jérémy Fleurdelune, prêtre-abbé de Tyr

- Airia
- Gervik Pattedours
- Jarod Terrecolline
- Troy Sombrepic
- Sagrir Encrenoire
- Turial Eauvive, prêtre-abbé d'Ilmater

- Ssnirr
- Borgor

Une fois le repas terminé et le campement rangé, vous vous dirigez tous vers l'entrée de la tour. Amalkar regarde la porte et hoche la tête.

- Bien, il n'y a plus de magie sur la porte d'entrée. Rien d'étonnant au vu du nombre d'aventuriers qui sont venus ici.

Il fait signe à Elyrion qui s'approche et ouvre la porte. Cette dernière donne sur une pièce ronde vide. Quelques morceaux de bois épars prouvent qu'il devait y avoir du mobilier ici mais qu'il a depuis longtemps disparu. Un escalier monte aux étages et vous l'empruntez pour vous rendre au premier étage. Au milieu de la montée des escaliers, un portail magique empêche d'aller plus haut. Voilà, le premier des portails dont a parlé le survivant de la tour. De l'autre côté du portail, un paysage désertique se laisse découvrir avec des dunes de sable blond à perte de vue. Amalkar grimace mais tapote sa gourde.

- L'idée de cuire au soleil ne m'emballe pas mais nous ne pouvons pas faire autrement que de passer ce portail comme l'a fait la dernière équipe d'exploration. Heureusement, nous avons de l'eau et des prêtres qui pourront nous en fournir au besoin.

Il se tourne vers ses hommes.

- Passez devant !

Elyrion et Valkor obéissent et traversent le portail. Vous les voyez distinctement de l'autre côté mais eux, par contre, semblent soudain perplexe et semblent chercher quelque chose. Jérémy, le prêtre de Tyr sourit avant de hocher la tête et de dire.

- Evidemment...ce portail n'a qu'un sens, ce qui fait qu'une fois passé, il n'apparait pas de l'autre côté. Il faudra trouver le portail de sortie pour revenir dans la tour.

Amalkar s'étonne.

- Vous vous y connaissez bien en portail pour un prêtre.

Le semi-elfe sourit de nouveau.

- En effet, j'ai de nombreux mages dans ma famille...ceci explique cela.

Chacun passe le portail et la chaleur vous saisit alors dès votre arrivée. Elle est étouffante mais, heureusement, en tournant la tête, vous apercevez, à moins d'un kilomètre de là une oasis. Les hommes respirent, heureux de voir qu'il y a de l'eau et de la fraîcheur dans cette fournaise. Amalkar propose de rejoindre l'oasis.

- Soyons prudents et aménageons un campement de base ici avant de nous aventurez plus loin.

Il se tourne vers vous deux.

- Vous êtes d'accord ?

Ssnirr n’est pas satisfait, il sent qu’il a manqué quelque chose sur la tour, mais l’arrivé de la dame seigneur Airia ainsi que l’impatience du mage fait en sorte qu’il ne peut revérifier la tour, ni étudier plus amplement son livre sur les portails. Il n’aime vraiment pas la procédure que prend l’aventure, car il se retrouve seul avec Borgor avec une dame-seigneur meurtrière qui peut avoir pris un accord avec le mage d’un seigneur voisin; se retrouvant à deux fiefs contre un, pire encore, ils sont deux contre 11. Le yuan-ti semble soupçonneux, cependant sa physionomie faciale ne permet à personne de s’en apercevoir.
De plus, la réponse de la dame-seigneur Airia ne lui plait pas du tout, elle semble ne pas comprendre où il voulait en venir en l’invitant à parler du trophée. C’était pourtant simple, il voulait juste s’éloigner avec elle pour la mettre au courant de ce qu’il savait sans partager avec le mage. Plus encore, elle dévoile devant tous qu’il est un nécromant tout comme Eliazar Mortelune. Ceci conclu son doute, Ssnirr n’a aucun allié devant lui, au contraire ça sent le rets à pleine langue. Sa langue sort à quelque reprise avant de répondre… - Je vous trouve tous très presser d’aller dans cette tour sans en savoir plus, la sagesse vous manque, c’est très dommage. L’appât du gain vous aveugle, cette tour à consumé plus de vivant que dans l’un de vos hameaux et vous vous jetez tête première à l’intérieur. - Voyant qu’il n’a aucune réaction ni de la dame-seigneur et du mage il ajoute pour parfaire Borgor et lui démontrer qui est réellement son seigneur… - Dans l'obscurité de l'ignorance, le manque de sagesse se fait sentir comme une brume épaisse, obscurcissant le chemin de l'évolution. C'est une lacune qui se révèle dans les choix impulsifs, les paroles blessantes et les actions regrettables. Votre absence de discernement, de compréhension profonde et de perspective éclairée qui va vous conduire souvent à errer dans les méandres de la confusion et de la souffrance.
Votre manque de sagesse est comme un aveuglement de l'esprit, vous empêchant de voir au-delà de vos propres intérêts égoïstes et de vos préjugés. Il vous rend vulnérables aux illusions et aux tromperies, vous éloignant de la vérité et de la réalité. Il vous pousse à agir de manière impulsive et irréfléchie, souvent au détriment de vous-mêmes et surtout, tout comme vous le démontrez, des autres.
La sagesse m’enseigne la patience, la tolérance et l'humilité. Elle me permet de voir les défis comme des opportunités de croissance, les erreurs comme des leçons précieuses, et les autres comme des compagnons de voyage sur le chemin de la vie. Elle me donne le courage de faire face aux difficultés avec calme et résilience, sachant que chaque obstacle est une occasion de m’élever plus haut.
Votre prestance me laisse douter de la réussite de cette mission, je tenais à vous le dire, simplement. -

Sans en dire plus et faisant signe à son garde du corps, il s’éloigne avec ce dernier derrière la tour démontrant ainsi qu’ils allaient l’inspecter une dernière fois, pendant que les imprudents finissent de manger et ranger, puis une fois certain qu’aucune oreille n’est à l’écoute, il s’approche de l’oreille de Borgor et lui dit dans un presque silence. . -Je n’ai confiance en aucune personne ici, mise à part toi, nous sommes que deux contre eux, reste alerte en tout temps. Prends ceci, manges-en régulièrement et n’en donne à personne, nous aurons possiblement à faire à des vampires à l’intérieur de cette tour. Je te protège et tu en fais de même pour moi, ensemble, nous sortirons vainqueurs Borgor, j’ai confiance. – Dit-il en lui donnant de l’ail et en lui mettant quelques gousses dans son sac puis il revient de l’autre côté de la tour comme s’il avait fait un dernier tour d’inspection avant d’entrer.

Revenant auprès du groupe, il les suit sans dire mot. Une fois devant le portail il les laisse tous passer, restant seul avec Borgor devant le portail à l’extérieur de celui-ci et empêchant ce denier de passer. Une idée yuan-ti germe en lui rapidement, lui donnant ainsi la solution à ses problèmes de voisin de fief; ils sont tous passés dans le portail, alors juste à détruire la tour et d’une pierre trois coups, le problème des deux fiefs est réglé ainsi que celui des vampires. Une vague de bonheur le remplit d’un sentiment vainqueur, cependant Ssnirr a choisi une voie différente et doit rester dans celle qu’il à choisie pour son fief. Il sortit deux sabliers de son sac et dits à Borgor… - Ne passe pas Borgor, il me faut vérifier et étudier. La lecture d’un manuscrit disait que le temps passait moins vite une fois le portail passé, il faut m’en assurer et tenter de calculer le temps de ce côté-ci et celui qu’ils auront passé de l’autre côté. Ils semblent vouloir joindre cette oasis à moins d’un kilomètre, à vitesse normale dans le sable cela devrait leur prendre la moitié d’un sablier d’une demi-heure, peut-être un peu moins. Lorsqu’ils auront atteint l’oasis, nous passerons le portail et je ferai là même chose avec le deuxième sablier pour comparer le temps. Si mes soupçons sont bons, le leur devrait avoir pris plus de sable que le nôtre. Je pourrai alors calculer exactement la différence de temps et compléter ce livre sur les portails. - Son côté étude prenait le dessus sur celui du yuan-ti et il savait pertinemment que seul l’avenir lui démontrerait laquelle des deux voies était la meilleure, encore là, ses études prédominaient sur le pouvoir, il avait donc en parti sa réponse.

Du moment qu’ils furent persuadés que le jeune seigneur et son garde du corps ne passeraient pas, le groupe partirait vers l’oasis et Ssnirr renverserait le sablier pour ainsi calculer le temps.

Art de la magie sur le portail pour en déceller le degré et la possibilité de le détruire. +11

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Décryptage autour du portage pour y comprendre un code. +10

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Le seigneur Snnirr ne semblait pas emballer du au maigre information recueillit ses paroles montraient une certaines réticence et remontrance de l'aspect active de l'expédition... Laissant passer tout le monde elle attendit qu'il ne reste que Snnirr et Borgor pour s'adresser aux seigneur :

Je tiens a vous remercier personnellement de votre venue et de votre aide, j'ai cru bon de vous proposer cette expédition car vous êtes la personne la plus apte a nous fournir des solutions a ce qui nous allons nous confronter.... Je ne tien pas a passer pour une personne avide et cupide d'argent mais ils en faut pour régler nos compte qui sont dans le rouge....

Si je vous confi ceci c'est que j'ai confiance en vous, Mes gens n'ont pas a souffrir de règle et de loi qui ont était dicter auparavant ni de personne scrupuleuse qui sont dans mon entourage et qui me trahirait dans le dos d'ailleurs faite attention aux père Turiel je le garde a l'œil...

puis d'une politesse elle entra dans le portail

Le portail passer un changement radical eu lieu, la température ,le paysage avait bien changer d'où il venait. Airia s'envola a quelque metre pour observer les horizon mais seul l'oasis aux loin semblait sortir du lot... La chaleur étouffante sera plus simple a supporter sous l'ombre de palmier et d'eau fraiche..

Airia répondit:

Oui dirigeons nous la bas mais nous devrons redoubler de prudence les monstre des environs nous verrons venirs

Les mots de la Dame-Airia vinrent consolider l’alliance, même si le Yuan-ti restait soupçonneux, il la savait combattante et à son souvenir, loyal à ses promesses. En guise d’accord, Ssnirr dit simplement en lui remettant des gousses d’ail… - Nous aurons affaire à des vampires, mangez-en et garder des gousses sur vous, les symboles religieux les ralentissent, ils n'aiment pas les miroirs, un pieu au cœur les arrête, mais il faut couper la tête et les brûler pour les tuer, ils doivent dormir dans la terre de leur sépulture et n'aiment vraiment pas l'eau. Ne dites rien au mage et à sa troupe, je suspecte qu’il en sait plus qu’il ne veut le dire, pourquoi est ma question que je cherche. - Il lui expliquait ensuite le pourquoi de son retard à passer, c’était le fruit de ses études qui le demandait et lui demandait d’en avertir les autres.
Une fois qu’elle fut passée dans le portail, il dit à Borgor… - Nous avons au moins une alliance, mais restons tout de même prudents, tout ceci peut être une ruse pour mieux nous contrôler. Dame Airia s'est montré loyal envers nous en Outreterre, j'ose croire qu'elle ne nous fera pas de coup fourré. –

Une fois ses calculs faits il passait le portail et retournait l’autre sablier et se dirigeait vers l’oasis.

Ssnirr, comme s'il lisait dans tes pensées, Borgor te chuchote alors que les autres sont en train de passer.

- Si vous détruisiez cette tour, une fois qu'ils seront tous passés, vous vous débarrasseriez de vos adversaires, non ?

Il est vrai que l'idée est séduisante, tentante même mais cela serait oublier bien vite qu'Amalkar est un magicien et qu'il pourrait-être capable de revenir sur Faérûn d'une autre façon que celle des portails de la tour. Qu'adviendrait-il alors ? Airia et le seigneur Mereden en réfererait au baron qui, au mieux, te dépouillerait de tes titres et d'exilerait honteusement ou, au pire, te ferait exécuter pour trahison. Non, cette méthode n'est pas la bonne. Ton raisonnement semble juste lorsque tu vois Airia attendre pour passer afin de pouvoir te parler en toute discrétion. Une fois votre dialogue terminé, elle passe le portail et Borgor, allant encore une fois dans ton sens sans que vous vous soyez concerter, te dit.

- J'ai pas confiance en cette elfette volante...faut pas faire confiance aux elfes, ce sont des sournois !

La réflexion basique du gobelours est amusante mais pas dénuée d'une certaine logique. Il est vrai que les elfes sont une race qui a tendance à prendre les autres races de haut et à les traiter comme des enfants, au mieux, des sauvages incultes au pire. L'avenir te dira, sans doute, si ta méfiance envers Airia a vraiment raison d'être ou pas. Tu finis tes calculs avant de passer le portail, suivi de ton garde du corps. Ce dernier, reste sur qui-vive, bien conscient que, comme tu l'as si bien dit, vous êtes deux face aux autres.

Airia, tu attends que les autres soient passés pour discuter en toute discrétion avec Ssnirr. Il t'apprend ainsi ce qu'il a obtenu comme informations concernant la tour et ses occupants. Des vampires ! voilà donc ce qui vous attend. Heureusement, Ssnir, prévoyant, a emporté de petites choses qui peuvent aider tel que de l'ail. Quand le Yuan-ti te demande de ne rien dire aux autres, il est évident qu'il n'a pas pensé au facteur "odeur" de votre secret. L'ail, loin d'être inodore, possède un fumet bien reconnaissable qu'il sera difficile de cacher aux autres. Enfin, peut-être que le vent sec du désert vous aidera en ce sens...à voir. A ton arrivée de l'autre côté du portail, le regard hautement soupçonneux d'Amalkar te montre le peu de confiance qu'il a en toi. Il fronce les sourcils et demande.

- Eh bien ? Que faisiez-vous de l'autre côté ? Et où est le seigneur Ssnirr ?

Lorsque tu expliques qu'il fait des calculs pour connaître la différence de temps entre les plans, il hoche la tête avant de lever les yeux au ciel.

- Est ce vraiment le moment pour faire des études scientifiques ?

Il secoue la tête et part vers l'oasis sans plus attendre.

La fraîcheur de ce petit coin de paradis au milieu de la fournaise est une bénédiction. Les arbres prodiguent une ombre bienfaisante tandis qu'une petite chute d'eau sortant d'un rocher vient alimenter une pièce d'eau de la taille d'un petit lac. Des fougères, buissons et autres plantes vertes ou fleuries viennent terminer le charmant tableau des lieux. Des chants d'oiseaux, des bruissements dans les fourrés prouvent que la vie animale est bien présente mais il n'y a aucune trace de présence humaine ou de race intelligente. Amalkar semble suspicieux.

- Bizarre qu'aucune trace d'une présence de bédouins ne soit visible. Un tel lieu dans un océan de sable devrait être peuplé ou du moins porter des traces de passage de tribus itinérantes, non ?

Son raisonnement est plutôt logique et vous faites le tour de l'oasis afin de trouver des traces de civilisation, aussi rudimentaire soit-elle. C'est alors que Ssnirr et Borgor arrivent à leur tour pour découvrir ce petit paradis. Soudain, Jarod Terrecolline, l'un des hommes d'Airia, vous appelle tous.

- Venez voir !

En vous approchant, vous découvrez tous un amas rocheux dans lequel a été construit une porte. Des petites gravures de différentes formes décorent le linteau tandis que de chaque côté de la porte se trouve des sculptures représentant un chacal sur lequel se tient une chouette effraie et un rat des sables portant sur son dos un scorpion. La pierre blanche qui forme le linteau et la porte sont en calcaire tout comme un cercle de la taille d'un poing humain qui se trouve là où devrait se trouver une serrure. Le cercle est un peu enfoncé et possède des bords pointus par intermittence. Amalkar le détaille un peu avant de dire.

- On dirait la stylisation d'un soleil...

Sans rien toucher, Amalkar étudie magiquement la porte avant de hocher la tête.

- Il n'y a pas de magie protectrice sur cette porte ni même de pièges magiques...étonnant.

Il étudie la pierre mais fait la grimace. Il vous demande.

- L'un de vous s'y connait-il en architecture ? Histoire de savoir si cette structure est ancienne ou pas. Avec ce vent sec chaud, il est difficile de donner un âge à cette ouvrage...

Il montre également les petites gravures tout dans le linteau.

- Et ceci, cela vous dit-il quelque chose ?

Les hommes d'Amalkar et Airia surveillent les environs mais les gazouillis des oiseaux sont une assurance que, pour l'heure, il n'y a pas de danger immédiat autour de vous.

Airia comprend bien vite parles informations de Snnir que Amalkar ne lui a pas tout dit elle s'interroger tout de même sur les vampires il fesait beau est chaud dans cette régions mais ils agirait peut être a la nuit tomber...Son présent quelque peut odorant restait un moyen de défense contre les enemies des lieux est donc un véritable allié sur qui ce reposer.

Amalkar a ces propos soupçonneux, lui, ne semblait pas souder... a l'expéditions. il ne fallait déjà créer de dissension cela ruinerait la réussite de la mission.

L'oasis apporta une bonne brise rafraichissante et de quoi recalquer le groupe, d'ailleurs celui-ci était pile a la sortit du portail peut être un piège évident pour les intrue qui passerait par la... l'absence de vie humain vint conforter que ce lieux commencer a devenir suspicieux ...

Félicitant son garde qui a découvert un passage ce dernier pouvait tout aussi bien être un passage pour accéder aux niveaux supérieur ou l'netrer du garde manger des créatures de la nuits...

Airia connaissait les bâtiment en verre-acier de son peuple mais n'avait aucune idée de l'architecture des autre peuple et royaume alors ceux des plus ancien ou disparue encore moins... elle demanda tout de même a ses garde:

Vous qui êtes ici depuis plus longtemps que moi cela vous dit-il quelque chose ?

Une fois passé le portail, très rapidement Ssnirr calculait aussi la hauteur du soleil pour comprendre vers quelle latitude il se trouvait par apport à leur lieu de départ et dans quel hémisphère en étudiant si le soleil se déplaçait de gauche à droite ou de droite à gauche. Ces informations lui seraient utiles pour comprendre où ils se situaient et à quelle heure ils étaient. De plus il prit note de la différence de temps que cela lui avait pris avant d’arriver jusqu’à l’oasis en comparant avec le sablier de l’autre groupe. Il utilisait un parchemin pour bien noter ses comparaisons lorsqu’il entendit des remarques sur les lieux. Il mit en lieu sûr ses notes puis approchait des bosquets d’où se détachait un amas rocheux qui arborait une porte finement travaillée. Un sourire serait apparu si sa physionomie le permettait.
Le gazouillis des oiseaux donne faim au jeune seigneur qui aurait volontiers mangé l’un d’eux, leurs odeurs étaient si appétissantes qu’il doit, pour l’instant, retenir sa langue de trop sortir. Et les paroles d’Amalkar le sorti de sa dégustation passagère.

Ssnirr s’approche prudemment et dépose alors un autre parchemin sur le linteau et en fait un frottis pour y déceler le moindre indice d’écriture ou de trace gravé sur celle-ci pour mieux lire et comprendre puis étudie le type de pierre, les gravures, ainsi que le trou en forme de soleil. Du calcaire serait-il présent en cette terre éloignée que le jeune seigneur suspecte être les plaines de la poussière pourpre dans la Mulhorande ou celle du désert Calim du Calimshan, resterait à voir avec son étude de la hauteur du soleil pour en être persuadé. Ni connaissant rien en architecture, il fouille quand même dans l’histoire et surtout dans le décryptage des signes qu’il aperçoit clairement sur le linteau ainsi que sur son frottis le trou en forme de soleil lui fait penser qu’il aurait dû travailler à trouver un miroir, mais qu’une lame bien polie ferait l’affaire, car il croit que d’y faire pénétrer un rayon de soleil par le biais d’un reflet pourrait possiblement ouvrir ladite porte ou mieux encore, si c’était un vampire qui s’y terrait, un reflet de la lueur de la lune.

Concentré le yuan-ti étudiait la somme importante d’indice qu’il avait devant lui, mais il doit demander à qui l’écoutait de lui attraper deux ou trois oiseaux vivants pendant qu’il étudiait la scène.

Connaissance nature+3

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Connaissance plan +4

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Connaissance décryptage +10
Connaissance mystère +6

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Ssnirr, ton étude du soleil et du temps entre le moment de votre passage et celui de votre arrivée t'indique que le temps s'écoule de la même manière d'un côté comme de l'autre du portail. Cela t'oriente donc plus vers un portail simple et non interplanaire. Partant de ce constat, tu peux privilégier l'hypothèse que vous vous trouvez toujours sur Faérun et plutôt du côté est. Tu penches volontiers pour la Mulhorande ou l'Unther mais sans pouvoir certifier ton intuition. L'étude des symboles gravés dans le linteau de pierre ne t'aide pas plus car ils te sont inconnus. Ta tentative avec la lame de couteau et le soleil ne donne aucun résultat ce qu iest frustrant. Pour la lune, il va te falloir attendre la tombée de la nuit. Le gazouillis des oiseaux aux alentours brouillent un peu ta concentration d'autant que, malgré tes efforts pour te retenir, ta langue sort et hume les odeurs alléchantes de ces volatiles bien en chair. Tu demandes aux hommes de capturer quelques spécimens pour te les amener, ce qui les laissent perplexe...comment capturer des oiseaux en ayant pas le matériel adéquat pour cela ?

Plein de bonne volonté, Elyrion, Benjen, Jarod et Troy tentent d'en capturer mais les volatiles, tout grassouillets soient-ils, se montrent d'une grande vivacité et échappent sans cesse à leurs poursuivants. Les 4 hommes bondissent, mains en l'air, fondent sur leur proie avant de se retrouver le nez dans le sable sans avoir toucher la moindre plume. Ils n'arrivent à rien sauf à faire hurler de rire les autres tant les voir faire est hilarant. Bonne pâte, les 4 "chasseurs" se mettent eux-même à rire tant leurs tentatives se révèlent vaines. Amalkar sourit, amusé, avant de lancer un sortilège sur un groupe de trois oiseaux qui, aussitôt, tombent au sol, paralysés. Le mage se tourne vers toi et t'invite à te saisir des volatiles.

- Je vous suggère de faire vite, seigneur Ssnirr, le sort ne les gardera pas longtemps immobiles.

A défaut de trouver la signification des symboles, au moins pourras-tu te restaurer convenablement...

Airia, a ta question, les hommes secouent la tête sauf Sagrir qui te répond.

- J'ai déjà vu ce genre de symbole dans un tableau.

Il se concentre pour se rappeler avant de sourire.

- Oui, ça me revient, c'était une peinture représentant un paysage de la lointaine Mulhorande. Il y avait un village et au milieu du village, une chapelle avec une sorte de pilier sur lequel étaient gravés ce style de symboles.

Il fait une petite moue.

- Désolé, c'est tout ce dont je me rappelle.

Au moins les propos de Sagrir permettent-ils d'identifier précisément l'origine des symboles...La Mulhorande ! Cela ne te donne pas leur signification mais c'est déjà un début.

Elyrion demande alors.

- Comment allons-nous ouvrir cette porte ?

Amalkar lève les yeux au ciel et incante avant de lancer son sortilège d'ouverture sur la serrure. Un déclic sonore vous fait comprendre que le sortilège a réussi son effet mais Turial vous avertit.

- Attention, cela parait trop facile...c'est sans doute un piège.

Amalkar approuve d'un hochement de tête et regarde les deux prêtres présents.

- Peut-être pourriez-vous nous faire bénéficier de quelques protections ?

Jérémy lance une bénédiction tandis que Turial hausse les épaules.

- Pour l'heure, à part une bénédiction, nous ne pouvons pas faire mieux.

Amalkar hausse un sourcil mais préfère ne pas répondre. Regardant ses hommes, le mage ordonne.

- La porte n'est plus fermée, ouvrez-la !

Valkor et Benjen s'approchent et poussent sur la porte en pierre. Lentement, elle s'ouvre pour laisser voir un couloir descendant dans une obcurité totale. Les deux hommes reculent, impressionnés par ce couloir inquiétant. Amalkar sort de son sac un bâton en bois tout simple et incante. Il pose son doigt sur le bout du bâton qui se met à luire comme le ferait une torche. Il tend cette torche magique à Valkor et lui dit.

- Voilà, avec cela vous verrez devant vous.

Il se tourne vers vous et demande.

- Vous désirez faire quelque chose avant que nous entrions ?

Il désigne les gardes d'Airia.

- Dame seigneur Airia, désignez deux de vos hommes qui resteront à l'entrée avec deux des miens.

Mal en prit d’information et d’utilité Ssnirr qui tente de rester concentré baisse les bras et va vite s’enquérir des oiseaux tombés pour les avaler aussitôt. Il ne peut faire autrement que de se signer auprès du mage pour le remercier.

Les paroles de l’un des gardes ont du sens sur l’intuition du nécromant, à savoir qu’ils se trouvaient dans la région de la Mulhorande. Une pointe d’excitation prend soudainement le jeune seigneur qui à toujours aimé voyager, comment est-il pratique de se déplacer ainsi.

Le mage fait du bon travail et dirige l’expédition d’une main mise que Ssnirr ne vient en rien contrecarrer, ceci donne l’avantage d’en connaitre plus sur Amalkar. Une fois la porte ouverte, le Yuan-ti observe avec attention le mécanisme de la porte avant d’hausser les épaules à la question d’Amalkar. Le corps spécifique du Yuan-ti à l’avantage de ne pas faire déposer tout son poids à un seul endroit et risque moins de faire déclencher un piège qui serait actionné par une marche truquée. Il pourrait toujours s’aider de ses ailes, mais l’étroitesse des lieux lui en interdit possiblement l’usage.

Laissant les gardes prendre les devants il fait signe à Borgor de le suivre de près, laissant devant lui la distance d’au moins quatre hommes. Sa vision dans les noirceurs étant meilleures que les présents, il en profite pour inspecter soigneusement le couloir qui descend vers les profondeurs fraiches du désert de la Mulhorande.

Perception +5

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la Mulhorande... Nous avons déjà une idée ou nous nous trouvons Mais pourquoi ici spécifiquement en premier portail... Peut être le premier défie de la tour ...les vampires... La porte s'ouvrit grâce a la magie d'Amalkar , mais entrer dans l'antre de la bête n'était pas pour dessuit

Airia proposa :

Troy et Sagrir surveillerons l'entré les autre nous accompagnerons. Vue l'aspect des escalier qui desent dans les profondeur il faudra être vigilant des monstre qui peuvent s'y trouvait sans parler des piège....

Puis s'adressant a Turial elle demanda

D'après vous sur qu'elle genre de monstre des sous sol et ténèbres pouvons nous tomber ?Il faudra nous en prémunir? sa question pour le moins utiles a la missions avait aussi pour bute de voir la motivations et l'aide que pouvait apporter le prête .

Puis suivant le groupe elle resta concentrer en observant les parois si trace de mort vivant il y avait.

Airia ayant désignée les hommes qu'elle laisse pour surveiller l'entrée, Amalkar fait de même en ordonnant à Valkor et Benjen de leur prêter main forte. Cette décision prise, votre petit groupe diminue et c'est avec :

- Amalkar Sombremage
- Elyrion Peaudacier
- Jérémy Fleurdelune, prêtre-abbé de Tyr

- Airia
- Gervik Pattedours
- Jarod Terrecolline
- Turial Eauvive, prêtre-abbé d'Ilmater

- Ssnirr
- Borgor

que vous entrez dans les profondeurs de cet étrange édifice. Amalkar demande alors lequel des 3 gardes qui vous accompagne a quelques connaissances d'éclaireur. Gervik lève la main et naturellement passe devant pour ouvrir la marche.

Ssnirr, tu examines le couloir mais n'y détecte aucun piège...ce qui est un soulagement.

Airia, ta question fait frissonner Turial. Il te répond, la voix légèrement tremblotante.

- Je ne suis pas spécialiste de la Mulhorande mais je dirais...des créatures maudites comme...comme des goules peut-être ou des squelettes ou des monstruosités suceuses de sang comme des chauves-souris vampires ou des striges.

Ces descriptions ne rassurent pas les gardes qui deviennent un peu plus nerveux. Quant à vous prémunir contre ce genre de créatures, Turial écarte les mains d'un air impuissant.

- Comment se prémunir contre des créatures dont nous ignorons éxactement les effets ? C'est impossible !

Il se renfrogne et ajoute.

- Et puis, je ne peux pas utiliser mes sortilèges divins à tord et à travers, ils ne sont pas illimités !

Peureux et avare de ses sortilèges...le vrai visage de Turial apparait peu à peu. Il n'est pas sûr qu'il soit vraiment utile si une confrontation a lieu avec des créatures de la nuit...voire, ne tentera t-il pas de sauver sa vie en sacrifiant les vôtres ? La question se pose...

Spoiler:

Portant la torche dans une main, son épée longue dans l'autre, Gervik avance dans l'escalier avec prudence. L'escalier aboutit à un long couloir dont le plafond est remarquablement gravé de symboles rappelant ceux du linteau de la porte d'entrée et de dessins représentant des broussailles d'où sortent des têtes de lionnes. A intervale régulier de deux mètres, de chaque côté du couloir, des statues de lionnes couchées viennent compléter le décor. Gervik regarde partout avant de faire quelques pas. C'est alors qu'un sifflement se fait soudain entendre. Gervik sursaute tout en poussant un cri. A la lumière de la torche, vous pouvez voir que deux petites fléchettes se sont logées dans le cou de votre éclaireur. Ce dernier se retourne vers vous, les yeux écarquillés par la frayeur.

Spoiler:

Gervik cligne des yeux et titube avant de lâcher son épée pour se tenir au mur. Jérémy s'empresse de venir à lui avant d'incanter. Gervik baille tandis qu'il semble lutter contre le sommeil. Jérémy pousse un soupir de soulagement et vous explique.

- C'est une fléchette enduite d'un somnifère puissant. Heureusement, Gervik a une bonne constitution ce qui l'a empêché de s'endormir. Je vais le soigner...

Il incante de nouveau et une aura bleutée vient entourer le garde durant quelques secondes. Gervik sourit alors, totalement débarrassé de l'effet soporifique des deux fléchettes. Gervik, penaud, le remercie vivement. Avec l'aide de Jarod, Gervik cherche et fini par trouver le mécanisme du piège. Il le désamorce pour être certain de ne pas se reprendre des fléchettes en repassant devant. Pendant ce temps, Jérémy explique son point de vue.

- Les fléchettes servent à endormir les téméraires qui s'aventurent dans le couloir. Au vu du poison soporifique utilisé, je dirais que la victime de la fléchette doit s'endormir pou au moins une bonne vingtaine d'heures.

Sur quoi Turial réplique, frissonnant un peu.

- Le temps que la nuit tombe et qu'une créature maudite puisse venir tuer le malheureux endormi.

Cette réplique jette un froid et vos soldats se regardent tous d'un air inquiet. Au moins cela permettra t-il qu'ils restent sur le qui-vive tout du long. Vous repreneez votre exploration jusqu'au bout du couloir qui mène dans une grande pièce avec des piliers. Les murs, les piliers et le plafond sont tous décorés de gravures de symboles et de scènes de vie colorées en noir, rouge, vert, bleu et jaune. Des couleurs vives qui rendent ces réalisations maginfiquement vivantes. Les scènes montrent la vie d'un noble dans des tableaux allant de parties de chasse au combat contre des ennemis en passant par des banquets avec invités, danseuses et musiciennes ou des offrandes faites aux divinités mulhorandies. La beauté des peintures/gravures de la pièce fascinent tout le monde mais Borgor fait remarquer une chose qui lui parait bizarre.

- Vous avez vu ? Le personnage principal...il semble ne pas vieillir.

En effet, le personnage noble représenter de nombreuses fois dans la décoration murale reste jeune tandis que les gens autour de lui sont peints ou gravés vieillissants. C'est d'autant plus vrai pour les enfants représentés qui, peu à peu, grandissent et vieillissent tandis que leur père reste toujours le même. Une des dernière scènes de la salle le montre près de son épouse devenue une vieille femme s'aidant d'une canne pour marcher. Un petit couloir, au fond de la pièce mène vers une autre salle. Prudent, Gervik préfère prendre du temps pour bien inspecter les lieux avant d'avancer. Sa prudence paie puisqu'il réussit à trouver un autre piège similiaire au premier mais caché dans le haut du mur, cette fois. Jérémy identifie le poison comme étant le même que celui des permières fléchettes. Il a un sourire entendu.

- Il est certain maintenant que le propriétaire de cet endroit veut garder les visiteurs en vie mais endormis...

Il ne dit pas "pour en faire quoi ?" mais tout le monde pense à cette même question en même temps. Le petit couloir donne dans une sorte de chapelle avec un autel face à une statue représentant le noble. Sur l'autel et sur le sol, des restes de paniers avec des choses qui ont dù être, il y a longtemps, des fruits, des légumes ou d'autres victuailles. Lorsque Gervik touche un des fruits, il tombe en poussière, preuve que les dernières offrandes datent de vieux. Les murs de la pièce sont décorés de paysages magnifiques qui doivent représentés des vues de la Mulhorande. Derrière la statue, le mur a une fausse porte gravée encadrée des deux côtés par un personnage à tête de chien. La pièce ne semble pas avoir d'autres issues que celle par laquelle vous êtes tous arrivés. Perplexe, Borgor demande.

- Y a rien d'autre ici ?

Jérémy secoue la tête avant de rétorquer.

- Je pense qu'il doit y avoir un passage secret quelque part. Je suggère que nous nous y mettions tous pour le trouver.

Spoiler:

(hrp : Airia, Ssnirr, un jet de fouille, s'il vous plait. Smile

)

Le jeune seigneur est aux aguets et ne trouve rien, il contemple avec appréciation les murs, plafonds, tout superbement décoré d’un art particulier qui appartient à la Mulhorande. Ce qui lui fait penser tout de suite, mais trop tard, au souffle de sa vie, Mérésankh. Il se rappelle maintenant, les signes sont leur langage, comment avait-il pu oublier une chose pareille. Sa mémoire travaillait à chercher un indice et ce furent les paroles de Cassian lorsque ce dernier avait fait mention d’un dieu funéraire, Anubis, qui avait fortement intrigué la curiosité de Ssnirr, il avait fouillé un peu partout, mais n’avait trouvé que quelques esquisses d’un être à tête de chacal, tout comme sur la pierre d’entrée. Le plus désolent, mais qui avait été savoureux, est qu’il voulait demander et discuter plus longuement avec Mérésankh de ce dieu, cependant il avait été si épris d’elle qu’il avait été inhibé devant la beauté et en était ressortit vide d’information. Il pestait maintenant contre lui-même et de son acte pusillanime devant Mérésankh. Donc si le Chacal était un dieu funéraire il était le gardien de ceux qui passe du monde matériel à celui d’impermanent, le rat des sables avec un scorpion sur le dos devait représenter le vampire… Ssnirr cherchait un lien.

Ses pensées lointaine et agréable lui firent presque manquer où ils se trouvaient. Dans l’antre d’un possible vampire, mieux valait rester l’esprit allumé et veiller à tout danger. Encore une fois il ne dit mot aux propos de ce qu’il savait, car voyant la suspicion des autres, il se disait qu’ils savaient déjà. Du moins le père Turial en faisait allusion et à ceci le nécromant questionnait……- Vous dite ‘’ - comment se prémunir contre des créatures dont nous ignorons exactement les effets? -‘’ Moi je vous pose alors la question. Comment un prêtre ne peut-il pas savoir lesdites informations? N’est-il pas le but, d’un véritable prêtre, de connaitre les forces et les faiblesses des dieux opposés a le leur? - Ssnirr n’attend pas véritablement de réponse, mais regarde suspicieux Turial et le goutte d’une sortit de langue.

Ils continuent puis un piège se déclenche faisant une victime et c’est alors que le nécromant réalise qu’il est encore fort peu serviable, tout comme le père Turial qu’il suspectait antérieurement, comme quoi le karma, lui, n’attendait pas. Une idée germait dans son esprit depuis un temps et se demandait s’il avait fait apparaitre des squelettes pour ouvrir le chemin, il n’aurait pas risqué la vie précieuse de leurs hommes, mais n’étant pas aussi spécialiste qu’il le voulait, le temps de présence des squelettes n’était pas assez concluant encore pour un tel travail. Il ravalait honteux sa salive se trouvant aussi avare que Turial.

Par chance Gervik avait une bonne constitution et Jérémy, rapide et efficace avait fait le bon travail. L’astuce était géniale, endormie pour venir chercher le repas la nuit tombée; Ssnirr en était pratiquement jaloux et intérieurement il eut un rire silencieux. Constatant ce rire il dû se fouetter l’esprit pour éloigner le Yuan-ti en lui.

Le jeune seigneur mit une main sur l’épaule de Borgor lorsque ce dernier élucidait le mystère des tableaux des murs, spécifiant la jeunesse éternelle du seigneur peint. – Félicitation Borgor, tu me fais honneur mon cher, ton côté observateur nous dévoile un esprit grandissant et plein de curiosité, ce qui est très honorable. Ceci nous prouve pourquoi il n’y a pas de trace à l’extérieur, les habitants du secteur connaissent très bien l’endroit pour l’éviter, seuls nous, les avares de richesse et de savoir ne prennent pas les avertissements qu’il y avait sur la pierre d’entrée, cela me semble de plus en plus clair. Son tombeau ne doit pas être très loin, un vampire doit reposer dans la terre qu’il à été inhumé, mais ne connaissant pas assez amplement les us et coutumes funéraires des Mulhorandies, je ne suis pas certain qu’ils doivent reposer dans la terre… chose certaine il doit être dans un cercueil, un caveau, une pièce fermée… Les prêtres ne peuvent-ils pas faire apparaitre la lumière du jour? -Dit-il en commençant faire des détections pour trouver une pièce cachée. Cherchant il demandait curieux…

- Pourquoi un vampire ne fait-il pas de ceux qu’il aime, des semblables? Celui qui est peint et qui doit résider ici, pourquoi n’a-t-il pas fait de sa famille des vampires ou des goules, comment aimer quelqu’un et le laisser vieillir puis mourir auprès de soi? – Il laissait un temps et continuant ses recherches d’une pièce cachée… - Ce qui ne ressemble pas du tout à Eliazar Mortelune de la tour du mort-vivant. Ce dernier a été effroyablement touché par la mort de sa douce moitié. Il a préservé son corps par magie avant de se plonger dans des recherches afin de la faire revenir à lui. Il est devenu expert en nécromancie, mais le temps jouait contre lui. Ce n'était qu'un humain et comme tout humain, sa vie n'était pas très longue alors il a voulu la prolonger afin d'avoir le temps nécessaire pour trouver une solution pour Aurora, son épouse bien-aimée. Il a voyagé quelques années et a fini par ramener chez lui une créature venue du Durpar qui se situe au sud-est d’ici. Ce seigneur peint est peut-être ce fameux Valadak Mortemare. Restez prudent et si vous avez un symbole religieux tenez-le bien en évidence. -

Il cherchait et cherchait le moindre indice possible de trouver le savoir.

Art de la magie sur les murs, plancher et plafond pour y voir la moindre trace de magie.+11

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Détection pour un passage secret. +5

Jehans a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 16

Airia avant de partir dans les sous sol, rassura ses garde qui garderait les portes en leurs disant de faire attention et de rester vigilants aux créature de la nuits. Leurs vie avait bien plus de valeur. Puis l'ascension dans les souterrains commença:

L'avariel posa sa question est la réponse de Turail emplie de doute et pas rassuré fit comprirent a tout le monde qu'il inspirer peut confiance. Airia
fit un léger clin d'œil discret d'appréciation a Snnir , un preuve flagrante aux yeux de touts de des manière étrange et suspicieuse du père Turial.

Reprenez vous Turial !, il ne faudrait pas que tout les compté vous prenne pour un pleutre ! Montrez nous votre savoir faire ! sertes vos sort ne sont pas illimiter mais il faudra bien les utiliser pour nous protéger Ses encouragement avais pour but qu'il essaye de briller et de montrer son savoir faire si réelle capacité il avait... Peut être avoir quelque moyen de pression sur lui...

Poursuivant le chemin, et a défauts les pièges qui était sur la route ils finirent par tomber dans une chapelle ou les étrange tableaux semblait former un fresque de l'histoire d'un personne qui n'était pas toucher par le temps... Les informations de Snnir était d'une importance certaine, le groupe pouvait savoir quelle créature de la nuit et de ce qui en pouvait en découler. Il fallait donc se préparer, mais pour 'heure, Il fallait chercher le fameux passage qui les amènerait vers la suite du tombeaux.

Gäyana a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 11

+5 fouille

Ssnirr, piqué au vif par ta remarque, Turial pince les lèvres avant de les désserrer pour te répondre d'un ton sec.

- Je ne prétend pas avoir la science infuse, seigneur Ssnirr. Mes connaissances des autres cultes sont basiques...

Il se tourne vers Jérémy en ajoutant.

- Comme mon confrère, je suppose ?

Le prêtre du seigneur Mereden hoche la tête afin de confirmer la supposition de Turial.

- En effet. Peu de prêtres connaissent bien les autres cultes. Seuls les prêtres d'Oghma sont des puits de science concernant le sujet.

Turial te toise, heureux d'avoir eu l'appui de son confrère. Il poursuit.

- Quant au but d'un véritable prêtre, il n'a jamais été de connaître les points forts ou les faiblesses des autres divinités mais de servir son dieu et de faire siens ses préceptes ! Ce genre de but est plutôt celui d'un paladin. Il est clair que vous n'avez pas beaucoup de connaissances sur le sujet, messire...

Il a un regard condescendant, visiblement content de pouvoir te moucher. Ta langue goùte la vexation qu'il a ressenti et le plaisir quasi-sadique qu'il a de te rabaisser. Lorsque tu arrives dans la chapelle à offrandes, tu constates que Borgor n'a pas ses yeux dans ses poches quand il fait remarquer l'étrange anomalie d'âge entre les personnages des décors de la salle. Le gobelours semble avoir de bonnes capacités intellectuelles, ce qui est une bonne chose. A ta demande de savoir si les prêtres ne peuvent pas faire apparaitre de la lumière du jour, Turial s'empresse de te répondre afin de te faire voir qu'il a des compétence utiles.

- Bien sûr, nous pouvons lancer un sort nommé lumière du jour mais ce dernier n'aura que peu d'effets sur un vampire. Il l'éblouira et le dérangera mais sans plus. Ceci étant dû au fait qu'il ne s'agit pas de la véritable lumière du jour. Par contre, nous pouvons invoquer la puissante clarté soleil dans nos mains et, cette fois, cela aura les mêmes effets que si le vampire se retrouvait soudain en plein jour et en plein soleil.

A ta question concernant le pourquoi le vampire n'aurait pas transformé ses proches, Jérémy te répond.

- Peut-être justement parce qu'il les aiment.

Il te sourit.

- Condamner ceux qu'on aime à partager sa condition de créature maudite n'est pas, à mon sens, un acte d'amour. Au contraire, c'est leur infliger les mêmes tourments et les obliger à devenir des monstres sanguinaires comme lui.

Il secoue lentement la tête.

- Aussi épouvantable que cela soit pour le vampire qui voit ceux qu'il aime vieillir et mourir, laisser ses proches à leur condition mortelle est un véritable acte de courage et d'amour.

Il penche un peu la tête sur le côté.

- Ce qui laisserait penser que ces créatures, toutes maudites soient-elles, pourraient continuer à avoir des sentiments...du moins au début car je suppose qu'avec le temps qui passe, l'humanité en eux fini par s'étioler en faveur du monstre assoiffé de sang.

Amakar demande à Jérémy.

- Croyez-vous que cela pourrait expliquer pourquoi le mage, devenu vampire, aurait fini par abandonner l'idée de faire revenir son épouse et aurait quitter sa tour ?

Jérémy hausse les épaules et ouvre ses mains pour faire comprendre qu'il n'en sait rien.

- Peut-être...je ne saurais le dire.

Quand tu parles que le noble personnage représenté sur les peintures murales pourrait-être Valadak Mortemare, Turial approuve d'un hochement de tête.

- C'est une possibilité.

Alors que tu étudies la pièce sous tout ses angles, tu ne décèles aucune magie cachée. Il est donc évident, pour toi, que le passage secret qui permet de continuer à avancer dans les lieux est purement mécanique. Tu inspectes chaque parcelle des gravures du mur et tu fini par découvrir un relief qui te parait plus prononcé que les autres. Ayant désigné le motif suspect à Gervik, ce dernier prend le temps de vérifier qu'il n'y a pas de piège avant d'enfoncer le scorpion gravé qui, une fois enfoncé, déclenche un mécanisme qui ouvre un pan du mur, révélant un passage étroit qui continue à descendre en pente douce.

Airia, tes paroles blessent Turial qui se raidit et te fusille du regard. Il réplique, vexé.

- Je ne suis pas un pleutre, seigneur dame Airia. Je suis juste très prudent face à une créature que je connais fort mal. Quant à utiliser mes sorts divins pour vous protéger, je le ferais le moment venu...

Quelque chose dans son attitude te laisse penser qu'il serait bien capable, au moment où tu en aurais le plus besoin, de te faire faux bond et de ne pas t'aider. Bien sûr, ce n'est qu'une intuition mais elle n'est pas rassurante. Est-ce la réalité ou bien les lieux sont-ils à l'origine de ces pensées négatives et paranoïaques ? Alors que tu cherches un détail qui pourrait t'aider à trouver un passage secret, tu remarques une gravure de scorpion qui te parait plus prononcée que les autres gravures. Tu t'en approches en même temps que Ssnirr qui, comme toi, vient de la découvrir. Faisant appel à Gervik, tu le laisse faire afin de vérifier qu'il n'y a pas de piège. Gervik prend son temps pour bien inspecter le symbole et, au bout d'un moment, hoche la tête et appuie sur le scorpion. Le symbole s'enfonce et déclenche un mécanisme qui fait glisser un pan du mur. L'espace dégagé laisse alors apparaitre un étroit tunnel qui descend en pente douce.

Amalkar se place devant vous et lance quelques sorts afin de voir si la magie est à l'oeuvre ou pas dans le tunnel. Il secoue la tête, perplexe.

- non, aucune trace de magie...étrange.

Turial demande alors.

- Pourquoi étrange ?

Amalkar lui rétorque.

- Eh bien, dans un lieu comme celui-là, on s'attend à trouver de la magie.

Jérémy suggère.

- Il y en aura peut-être plus loin, restons sur nos gardes.

Vous empruntez le tunnel qui, au bout d"une dizaine de mètres, donne sur une petite pièce en longueur. Les murs sont gravés de symboles d'uns sorte de clé inversée, de serpents géants et du même personnage à tête de chien que sur le mur de la chapelle d'offrandes. Au sol, un damier de quelques cases ayant des lettres mélangées : A, E, I, O, I, P, H, S, N, C, D, U, R donnent, au fond de la pièce sur une porte fermée. Au mur, près de l'entrée où vous êtes arrivés, un texte dit ceci : "Je suis tout au bout de la main, je commence la nuit et je finis demain". Les hommes se regardent tous, l'air perdu. Gervik fini par dire.

- Euh...là, j'avoue que je ne sais pas trop quoi en pensez...

Turial suggère.

- C'est une énigme, non ?

Lorsque Turial répond au jeune seigneur de Vrael Olo, ce dernier répond avec tact… - Père Turial, je resterai dans la civilité et je ne m’abaisserai pas plus dans l’aménité dans laquelle je semble avoir dévié dans ma question première aux propos des prêtres. Tout comme vous, je n’ai pas la science infuse sur les croyances que les dieux laissent supposer aux prêtres. Je n’adhère pas à la croyance qui a la fâcheuse manie de laisser ses sujets dans l’ignorance, les dieux aiment vous confronter, ils vous laissent dans l’obscurantisme vous empêchant une avance à la science, donc au savoir. - Il prit un moment en se redressant pour conclure… -Vous me voyez navré de vous avoir vexé et comprend mieux votre plaisir quasi sadique de me rabaisser, et je vous remercie d’avoir apporté des réponses utiles à mon ignorance. Entre nous, des êtres d’exception, d’exploration et d’aventure, ne devrions-nous pas travailler à nous entendre au lieu de nous inférioriser dans la ganacherie? -Il se signait en guise de remerciement. Sa nature Yuan-ti l’aurait enroulé pour l’étouffer, mais sa fonction de seigneur de fief lui en interdisait l’usage et c’était avec vérité qu’il avait mentionné son excuse cryptée.

A sa question posée au propos du vampire n’ayant pas transformé sa famille, le prêtre Jérémy répondit et laissait le nécromant sans mouvement, il saisit même, écoutant comme s’il entendait une révélation. Sa langue sortait sans arrêt, comme s’il goutait la révélation. Les mots avaient un goût de miel doux-amer. Le jeune seigneur ajoutait alors… - J’aime votre façon de voir la question père Jérémy, ce qui pourrait expliquer que les vampires n’ont pas été créés, mais qu’ils ont une maladie et qu’ils doivent s’adapter à leur tare… Et vous êtes terriblement conscient lorsque vous émettez qu'avec le temps qui passe, l'humanité en eux finit par s'étioler en faveur du monstre assoiffé de sang. Je suis à me demander que même sans le monstre en eux, n’importe lequel des êtres vivants ayant une longévité rehaussée, auraient le même aboutissant… très intéressant tout cela, ceci fait palpiter ma soif de connaissance, il ne faudrait peut-être pas éliminer le vampire alors, l’étudier serait une ressource de savoir. - Disait-il avec des étoiles dans les yeux.

L’inspection des lieux, permis de trouver un passage qu’ils empruntèrent tous. Ssnirr, des dernières révélations qu’il venait de recevoir, venait de voir la mission différemment, il n’était plus en chasse, mais aux études.

À la vue des symboles gravés d'une sorte de clé inversée, de serpents géants et du même personnage à tête de chien que sur le mur de la chapelle d'offrandes, le jeune seigneur sentit en lui un moment crucial. Le sol, les lettres, la porte en face, la phrase… et la question de Turial. Il commençait par répondre à la question…- Oui, c’est une énigme et la réponse valable serait horizon, mais il manque des lettres donc ce n’est pas cela et ce qu’il faut savoir, doit-on former un mot complet et mettre une personne sur chaque case pour compléter le mot, mais une personne seule ne pourrait pas, à moins que… - Il regardait tout autour puis revint en disant… - Ou… attendez… il faut regardez l’énigme comme elle est présentée, ici nous avons au sol des lettres, une phrase comportant des mots, séparé par trois affirmations commençantes par je, donc il faut trouver une seule lettre qui associé les trois affirmations… Je suis au bout de la main… quelle lettre est au bout du mot main? Le N. Je commence la nuit… quelle lettre commence le mot nuit, le N. Je finis demain… le mot demain fini par N!- Il regarde au sol et il sembla y avoir qu’une seule lettre N dans l’un des casiers puis dit… - La lettre N est la quatorzième lettre et nous avons ici que treize lettres, donc quatorze moins treize font un… en fait que douze, car le I est deux fois visible, donc treize moins douze font un, il me semble logique qu’il nous faille qu’une seule lettre et que ce soit la N! Qu’en pensez-vous?-

Était-il possible de sauter sur la case avec le N ou fallait-il passer par d’autre lettre pour y arriver? Restait à étudier les possibilités d’y arriver. la queu de son corp allait d'un coté et de l'autre, laissant imaginer que le Yuan-ti était au comble de l'excitation. Puis soudainement il arrêtait son mouvement puis demandait... - Ce N est-il un avertissement? Naissance, naïveté, narcissique, narguée, narrateur... nausée, nébuleux, néant... nécromancie... Son regard était loin dans ses pensées.

Une énigme était là . A la porter du groupe il fallait maintenant la résoudre pour avancer. Le groupe avait, l'aire bien confus devant cette devinette qui faisait place a la réflexion plutôt que a la force. L'avariel n'était pas une experte dans ce domaine mais tacha de réfléchir...Peut être s'agissait-il d'un mot commun aux phrase...mais cela avait l'aire bien alambiquer...la suite de lettre laisser supposer qu'il fallait y mettre la réponse mais quel conséquence de se tromper ?...

Dans cest réflexion sur l'étude de l'énigme le seigneur Snnirr plus vif et plus intelligent avait déjas réfléchit et proposer un raisonnement cohérent pour résoudre le défit qu'ils leurs était proposer et Airia en tout respect félicita le seigneur de son ingéniosité.

Effectivement selon votre propositions tout semble concorder... le N semble la solution...Visiblement celui qui a conçu cette énigme semblait vouloir juger la perspicacité de ceux qui voudrait entrait dans sa demeure... Un sphinx habiterait-il les lieux ?

Ssnirr, Turial pince les lèvres, ayant plus ou moins saisit que sous tes excuses perçait autre chose. Jérémy, quant à lui, grimace lorsque tu suggères de ne pas tuer le vampire.

- C'est prendre un très gros risque, seigneur Ssnirr. Ce genre de créature est fourbe et sait manipuler son monde. Imaginez les dégâts qu'elle pourrait faire si elle se retrouvait libre dans votre fief ? Et les dégâts qu'elle pourrait engendrée dans les autres ?

L'idée fait frissonner le prêtre, bien trop conscient de la dangerosité d'une telle créature. Toutefois, il modère ses propos en ajoutant.

- Mieux vaudrait l'étudier dans un lieu loin de votre fief afin d'éviter tout risque de possible contamination de la population.

Turial s'insurge en vous entendant tous les deux.

- C'est folie ! Ce monstre doit-être détruit, rien de plus.

Le regard de Jérémy te laisse penser qu'il n'est pas totalement d'accord avec son confrère. Cela ne veut pas forcément dire qu'il approuverait de capturer le vampire mais que, avec du tact et de bons arguments, il pourrait se laisser séduire par l'idée. Lorsque tu pars dans des explications alambiquées concernant l'énigme, Jérémy et Turial te fixent d'un air incrédule suivi par une expression de confusion. visiblement, les deux hommes ont perdu le fil de ta pensée en cours de route.

Airia, face à la pièce et à l'énigme qu'elle recèle, tu te creuses les méninges. Le raisonnement de Ssnirr, tout nébuleux puisse t-il parâitre aux premiers abords, est cohérent et te laisse penser qu'en effet, la lettre N semble être la réponse. A vue de nez, la distance entre la lettre N et l'autre côté de la pièce est facilement franchissable pour un être humain. Il est vrai que cette énigme placée là laisse penser que le maitre des lieux a voulu tester l'intelligence de ceux qui viendront en ces lieux. A ta question sur la possibilité qu'un sphinx puisse habiter ici, Turial hausse les épaules.

- Si tel est le cas, nous devrons nous montrer à la hauteur de cette créature de légende.

Jérémy plisse les yeux, réfléchit, puis te répond à son tour sur la question du sphinx.

- C'est possible...

Fort sagement, le prêtre du seigneur Mereden ne cache pas son ignorance et ne développe donc pas plus sa pensée. Amalkar, lui, secoue la tête.

- Qu'importe, il faut avancer !

Turial toise le mage et réplique.

- Vous semblez bien pressé.

Amalkar, goguenard, lui rétorque.

- A moins que vous désiriez vraiment vous trouvez encore dans ces lieux au moment où la nuit sera tombée, je vous suggère de bouger vos fesses, mon cher ami.

L'idée de voir la nuit arrivée en se sachant toujours dans le tombeau fait blémir le prêtre qui se tourne vers vous tous.

- Euh, oui, bon, alors comment fait-on ? Qui se dévoue pour aller sur la lettre N ?

Amalkar, le regard amusé, propose.

- Pourquoi pas vous ?

Turial secoue vivement la tête.

- Je ne peux pas, je suis un soigneur et s'il m'arrivait quelque chose, vous ne pourriez plus bénéficier de mes soins.

Amalkar regarde du côté de Jérémy, montrant ainsi sans dire un seul mot, que la perte de Turial n'empêcherait pas d'avoir des soins. Jérémy, prit de pitié pour son confrère, vient à son aide.

- Le père Turial n'a pas tord. Deux soigneurs ne seront pas de trop pour soigner vos blessures en cas de besoin.

Amalkar hoche la tête.

- Soit, alors qui se dévoue ?

Aucun homme ne semble se décider, tous ont peur...

Ssnirr écoute l’argumentaire de Jérémy puis répond tout à fait d’accord avec lui… - Vous avez parfaitement raison père Jérémy, ce serait inconscient de faire sortir cette bête au monde, elle a dû faire suffisamment de dégât déjà. Et oui père Turial, ce serait folie pure, mais non ce monstre n’est pas obligé d’être détruit, s’il est circonscrit… Nous ne savons même pas encore sur qui nous allons tomber, même si ici je présume être l’antre de Valadak, nous pourrions tomber sur Eliazar, peut-être même sur les deux et leur armé … Pour les études, Jérémy, si votre seigneur Mereden le voulait bien, la tour pourrait rester un lieu d’étude, mais… commençons par nous sortir vivant d’ici, n’est-ce pas. - - Avait-il dit avec une certaine légèreté et intérêt.

Voyant que tout semblait vouloir stagner le jeune seigneur dit… - Ha lala, Amalkar à raison, il faut avancer, avant la nuit et sachez que la peur est une émotion primitive et puissante, profondément enracinée dans l'expérience humaine. Elle peut surgir de nombreuses sources : de l'inconnu, des menaces perçues, des traumatismes passés, ou même de l'imagination. Qu'elle soit instinctive ou apprise, la peur exerce une influence considérable sur nos pensées, nos comportements et nos interactions avec le monde qui nous entoure. Elle n'est pas toujours notre ennemie. Dans certaines situations, elle agit comme un mécanisme de survie vital, nous alertant des dangers et nous incitant à prendre des précautions. Elle peut nous aider à rester vigilants et à réagir rapidement face aux menaces immédiates. - Disait-il pendant qu’il se mit à prendre son envol pour aller se déposer sur la lettre N et il continuait… -Cependant, la peur peut aussi être débilitante. Lorsqu'elle devient excessive ou irrationnelle, elle peut nous empêcher de vivre pleinement nos vies, nous confinant dans une prison de nos propres angoisses. Elle peut nous pousser à éviter les expériences enrichissantes par crainte de l'échec ou du jugement des autres. Elle peut nous emprisonner dans un cycle de pensées négatives et de comportements d’évitement. -- Il se déposait sans ménagement sur la dalle avec le N en espérant ne pas déclencher un mécanisme qui en finirait d’eux et si tel en était la suite, il quitterait la dalle pour aller de l’autre côté, tout en continuant sa prose scientifique. - La clé pour faire face à la peur réside souvent dans la compréhension et la confrontation de ce qui la provoque. En examinant nos peurs de près, nous pouvons découvrir qu'elles sont souvent exagérées ou basées sur des perceptions erronées. En affrontant progressivement ce qui nous effraie, nous pouvons apprendre à désamorcer nos réactions instinctives et à cultiver le courage nécessaire pour surmonter nos peurs.
Parfois, le simple fait de reconnaître et d'accepter nos peurs peut être libérateur. En reconnaissant que la peur est une partie naturelle de l'expérience humaine, nous pouvons commencer à l'apprivoiser plutôt que de la laisser nous dominer. En nous permettant d'être vulnérables et authentiques dans nos peurs, nous pouvons trouver le soutien et la compréhension des autres, renforçant ainsi notre résilience émotionnelle.
En fin de compte, la peur fait partie intégrante de notre voyage en tant qu'êtres. Elle peut nous défier, nous pousser à nous améliorer et à grandir, mais elle ne doit pas nous définir. En reconnaissant son pouvoir et en apprenant à la gérer, nous pouvons transcender nos peurs et découvrir une liberté plus profonde et plus authentique. -
Avait-il terminé avec assurance, mais quand même inquiet.

Serait-il transpercé de flèches empoisonnées, tomberait-il dans un gouffre sans fin, est-ce que le plafond leur tomberait dessus, est-ce que la porte ouvrirait de l'autre côté? Nul ne savait, le moment était succulent, sa langue sortait sans arrêt à goûter ses émotions qui devait emplir la pièce.

Airia ne disait rien mes observer et juger par leurs façon d'agir les comportement de chacun libre cours a ce que chacun donne son opinion la cohésion du groupe était branlante... A croire que une situation dos aux mur pourrait régler l'affaire ... même si certain semblait ne pas jouer les brave...

Airia voulait ce proposer pour occuper la dalle du N mais le seigneur Snnir fut plus rapide en expliquant les tenant est aboutissant de savoir faire face a la peur, Ce risque qu'il lui arrive quelque chose ou qu'il meurent était une perte inacceptable... A moins que c'est nombreux pouvoir magique lui permette en tout sureté de ne rien craindre...

Airia resta concentrer sur la salle en observant les contour de la pièce prés a intervenir si quelque chose se tramer.

Ssnirr, tu te poses sur la dalle N et, durant quelques secondes, rien ne se passe. Enfin, soudain, un déclic se fait entendre et la porte en face de toi s'ouvre laissant apparaître une vaste salle éclairée par des torches permanentes que tu vois brûler sans se consumer. La pièce, immense contient un véritable trésor ! Des coffres en bois précieux gravés à l'or et incrusté de gemmes multicolores encombrent les lieux tout comme des statues en pierre magnifiquement peintes représentant des hommes à tête de chien, des hommes chauve-souris, des scorpions mais aussi des sculptures d'animaux comme des singes, des lions, des béliers, etc...Il y a également du mobiler mulhorandi en bois ou en métaux précieux, des objets du quotidien d'une finesse de réalisation impressionnante, une barque démontée en plusieurs morceaux incrustée de gemmes et une collection d'armes d'apparât magnifiques. Seul un coffre renversé, mais non ouvert, prouve qu'on a tenté de se servir dans ce trésor mais les tâches de sang séché qui couvrent le sol montrent que les téméraires qui s'y sont risqués n'ont pas réussi leur coup. Au fond de la pièce, une porte fermée permet de continuer la visite du tombeau.

Les autres membres du groupe, en découvrant ce trésor fabuleux, sourient et commencent à s'approcher des objets divers. Amalkar les arrêtent aussitôt d'uen voix autoritaire.

- Non ! Ne touchez à rien avant que je n'ai fait une détection approfondie des lieux !

L'avertissement porte ses fruits et les hommes s'arrêtent net avant de reculer. Le mage fait un pas en avant et incante, se laissant quelques secondes de concentration avant de parler à nouveau.

- Il y a de la magie ici, beaucoup de magie sur les statues et les coffres ainsi que sur les armes.

Il pointe du doigt le sang séché au sol, près du coffre renversé.

- Je n'ai pas pris le temps nécessaire pour approfondir ma recherche magique mais à première vue, la magie protège ce trésor et y toucher provoquera une réaction défensive.

Les hommes se regardent, partagés entre l'envie de toucher quand même et de rester prudents. Borgor, plein de bon sens réplique alors.

- Ben, on est pas là justement pour se servir de c'qu'on trouve ?

Jérémy réfreine l'ardeur du gobelours.

- Certes, mais se précipiter n'apportera que ce genre de désagrément.

Dit-il en montrant les tâches de sang. Le père Turial, malgré l'envie qui se lit dans son regard de s'approprier le plus de choses possibles, suggère.

- Amalkar, ne pouvez-vous pas nous dire plus précisément à quel genre de magie nous avons affaire ?

Le mage répond aussitôt.

- Bien sûr que je le peux mais cela prendra du temps...hors, dois-je vous rappeler que le temps joue contre nous ? Vous voulez vraiment être encore ici une fois la nuit tombée ?

La réplique fait frémir Turial qui secoue vigoureusement la tête et déclare.

- Non, vous avez raison, mieux vaut continuer à avancer.

Sur ce point, Jérémy semble d'accord et propose.

- Nos devrions continuer à avancer et nous reviendrons plus tard ici.

Il vous regarde, Aira et Ssnirr afin de savoir ce que vous en pensez.

Airia, pendant que tes compagnons discutent, tu observes la grande pièce regorgeant de trésors avec méfiance. Tu te rend compte que les statues sont toutes d'au moins deux mètres de haut et qu'elles sont toutes armées de Khépesh, de fouet barbelé et, pour les statues à tête de vautour, d'arc long et de fléches. Si la magie est défensive comme le pense le mage, alors il y a fort à parier que les statues risquent de s'animer si on touche au trésor. La question est alors de savoir si les statues resteront en pierre, auquel cas il vous sera difficile de leur faire des dégâts, ou si elles prendront un aspect que vos armes pourront détériorées. Dans tous les cas, vous devrez sans doute combattre. Faut-il alors tenter le coup ou, comme le suggère Jérémy revenir plus tard ? A toi et Ssnirr de prendre la décision...

Si un sourire avait été possible, Ssnirr l’aurait possiblement affiché. Sa prose ne semblait pas avoir fait mouche, mais son acte oui. La porte s’ouvrit laissant les yeux avares de tous s’éclairer d’une étoile pingre. Il allait ajouter quelque chose, mais Amalkar intervint sagement.

Ce qui avait retenu l’attention du jeune seigneur était bien certainement, la porte au bout de cette pièce nouvellement ouverte. Le Yuan-ti attendit que tous soient dans la pièce aux trésors puis quittait la dalle pour voir si la porte refermerait. Un sentiment acerbe lui vrillait l’intérieur, le Yuan-ti en lui souhaitait que la porte se referme sur eux, les laissant prisonniers, mais son rôle de seigneur s’interdisait une telle chose et restait conciliant de vouloir retourner sur la dalle si jamais la porte refermait.

Chose certaine, si cette porte ne refermait pas, toute l’attention du nécromant serait à savoir comment l’ouvrir de l’intérieur avant d’entrer dans la pièce qu’il considérait comme un vilain piège, surtout quand il entendit Borgor faire sa remarque. Ssnirr intervint en lui demandant… - Cher Borgor peux-tu t’assurer de trouver un moyen de bloquer cette porte, sans toutefois employer un objet de la pièce aux trésors. - Le jeune seigneur s’approchait alors pour étudier les pourtours de la porte et de son cadre pour peut-être y voir une autre phrase ou un mécanisme quelconque.

Sur la demande de Jérémy, Ssnirr dit sur un ton autoritaire… - Oui, continuons et j’interdis à qui que ce soit de toucher à quoique ce soit dans cette pièce, le but premier est de trouver le maitre des lieux avant qu’il nous trouve, seulement ensuite, nous regarderons pour vaincre le piège présent de cette pièce. Soyez grandement attentif à quoi que ce soit, rien nous dit que les gardes de cette pièce n'interviendrons pas lorsque nous ouvrirons la porte du fond. –

Après s’être assuré que la porte ne refermerait pas, il prit la direction de l’autre porte au bout de la pièce en prenant une attention particulière à trouver le moindre indice qui pourrait les aider à ne pas déclencher un piège et ouvrir cette porte.

Détection des mystères dans la pièce aux trésors +6

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Détection dans la pièce et la porte du fond. +5

Jehans a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 20

Visiblement la case N était la bonne réponse, Airia était contente d'avoir proposer aux seigneur Snnirr de l'accompagner. Son intelligence et ses prouesse mental était a l'œuvre et elle surpasser de loin tout ceux de prouesse physique...La porte s'ouvrir sur un trésors assez conséquent. En repartir avec une partit pourrait comblé le déficit du domaine mes il fallait avant s'assurer de la sécurité des lieux.

Ecoutant les consignes des sages, Airia Demanda a Snnirr et Amalkar.

On pourrait pas détruire les statuts en même temps pour ne pas quelle s'anime et nous attaque ? Noud verrons cela quand nous serons certain de la sécurité de l'endroit, espérons que le maitre des lieux ne soit pas belliqueux, c'est arme pourrait nous servir .

Puis appuyant la consigne de Snnir Airia enchaina

C'est pièce et arme sont peut être maudite nous nous en occuperons a notre retour. Concentrer vous sur la suite.

» Dans la tour du mage Ronanndiril Etoiledumatin.
» Mort d'une association
» le jeu de rôle n'est pas mort
» La mort du dragon
» Mort d'un des pères du jeu de rôle.