Arthur Debrefeuille , France , 1885. (partie roleplay)

-"je vous remercie de m'avoir ouvert les portes de votre établissement et j'expert que vous arriverez à soulager les mots de votre patient ."

*je prend congé et repart vers saint malo .*

-"Je vous en prie. Faîte bon retour."

*Le directeur te regarde partir en te saluant de la main. Le voyage de retour se passe bien et tu arrives à Saint-Malo vers 14h.*

*Je demande au fiacre de me conduire à la demeure de madame Ursule Bazin de Jessey.*

*Le fiacre te mène dans une partie de l'intra muros plus huppé. Il s'arrête devant une grille qui laisse voir un parc magnifiquement arboré et soigneusement entretenu au fond duquel se trouve l’hôtel particulier de madame Ursule Bazin de Jessey.

A la grille, une cloche se met à tinter lorsque tu l’actionnes et un domestique en tenue sort d'une petite maisonnette située près du portail, sur la droite. L'homme a une vingtaine d'années et te salut avec un air respectueux, comme il se doit.*

-"Monsieur, vous désirez ?"

*Malgré sa posture respectueuse, le domestique t’étudie sous toutes les coutures et tu remarques un petit froncement de nez lorsqu'il réalise que tu n'es pas un hôte de marque. Son regard se fait légèrement condescendant.*

-"Bonjour mon brave,
je désirerais m'entretenir avec madame Bazin de Jessey."

*Je lui tend une carte de visite.*

*Le domestique prend ta carte et t'invite à le suivre. Il te mène jusque devant la porte d'entrée de l'hôtel particulier et sonne. Une domestique en livrée ouvre et son collègue masculin lui tend ta carte de visite et lui dit que tu désires voir madame Bazin de Jessey.

La jeune femme opine du chef et t'offre un sourire chaleureux tandis que le domestique du portail repart sans même te jeter un dernier regard.*

-"Veuillez me suivre, je vous prie."

*Tu la suis dans un grand hall d'entrée d'où part un imposant escalier. Elle entre dans une pièce sur sa gauche et tu découvres un ravissant salon aux teintes vieux rose du plus bel effet. Deux sofas se font face. Entre eux une table basse ronde en bois d'ébène accueille un plateau d'argent avec des verres et un pichet d'eau fraîche. La domestique te dit d'une voix calme et posée.*

-"Veuillez patientez ici, je vous prie. Je vais prévenir madame de votre visite. Désirez-vous un peu d'eau fraîche ?"

*Si tu le désires, elle te sert un verre d'eau sinon, elle te laisse seul dans le salon, le temps d'aller chercher sa maîtresse.*

-"Non merci."

*Je passes le temps à observer ce qu'il y a dans la pièce en attendant la maîtresse de maison.*

*Le mobilier de la pièce rappelle par nuances diverses le vieux rose qui domine dans le salon. Les meubles sont peu nombreux mais d'excellente facture et le moindre napperon qui décore le bois d'ébène caractérisant la pièce est immaculé de propreté.

La porte s'ouvre et une femme d'une cinquantaine d'années entre. Elle a un port altier mit en valeur par une robe de soie et de velours bleu nuit du plus bel effet. Ses cheveux poivre et sel sont attachés dans un chignon parfait. Sa beauté est indéniable malgré son âge et tu n'as aucun mal à imaginer combien elle devait être superbe plus jeune.

Ses yeux, gris clair, sont d'une froideur si glaciale que cela t'enlève aussitôt le moindre élan de sympathie que sa beauté passée aurait pu te donner d'elle. Sa main gantée de soie, parfaitement assortie à sa robe, referme la porte. Elle te jauge durant une seconde puis semble légèrement agacée.*

-"Monsieur, vous avez souhaitez une entrevue avec moi. Je n'ai que fort peu de temps à vous consacrez. Donc, soyez bref, je vous prie !"

*Son ton est courtois mais cinglant et autoritaire. Elle s’assoit dans un des sofas, te faisant face et ne cesse pas de te fixer de son regard dur comme la pierre. Cette femme est une femme de tête, pas de risque de s'y tromper.*

-"Je m'excuses de prendre de votre temps, croyez le bien....
J'enquête sur la mort de monsieur François Lemoine.
Il était un de vos concurrents en affaire si je ne m'abuse...
Qu'elles étaient vos relations avec lui?"

*Le nez de la dame se plisse légèrement de contrariété lorsque tu prononces le nom de François Lemoine mais à part cela, elle reste stoïque.*

-"Nos relations étaient celles que peuvent avoir deux concurrents, strictement professionnelles."

*Elle te fixe, attendant visiblement les autres questions que tu pourrais avoir à poser.*

-"quand l'avez vous vu, lui ou sa famille, pour la dernière fois?"

-"Lorsque j'ai pris rendez-vous pour l'achat d'un navire de croisière, il y a quelques mois, nous étions tous les deux sur le même projet. Pourquoi cette question ?"

*l'attitude de la dame est toujours stoïque. Elle regarde l'horloge au dessus de la cheminée comme pour signifier qu'elle n'a pas que cela à faire.*

-" Connaissez vous sa veuve?
L'avez vous rencontré ?"

-"Oui, je la connais et oui, je l'ai rencontré."

*Un très léger plissement des yeux et une lueur intriguée vient cassé le visage lisse de madame Bazin de Jessey.*

-"En quel terme qualiferiez vous vos relation avec cette personne?"

*J'utilise le ton le plus neutre possible.*

-"Eh bien, je dirais qu'elles sont cordiales sans plus."

*Les yeux de la dame se plissent d'avantage et elle te jauge maintenant avec plus d'attention.*

-"Cordiales dites vous...
Vous avez été vu toutes les deux rendre visite à un patient dans un hôpital psychiatrique.
C'est une relation plus que cordiale . Non?"
*Je reste toujours très neutre me concentrant pour ne rien laisser paraître.*

*Le nez de la dame se fronce de nouveau. Elle te fixe bien et relève légèrement le menton.*

-"Cela n'empêche en rien nos relations cordiales. Je ne vais pas vous dire de cette dame qu'elle est une amie alors qu'il n'en est rien. Que voulez-vous au juste monsieur Debrefeuille ? que cherchez-vous à savoir exactement ?

Si vous pouviez être plus direct, nous gagnerions tous les deux du temps. Alors allez-y dites-moi ce que vous êtes venu faire chez moi et sortez ensuite car j'ai des affaires de la plus haute importance en cours !"

*Le regard déjà froid de madame Bazin de Jessey se fait glacial. Toutefois, son port reste altier et très comme il faut.*

*Je soutiens son regard.*

-"J'aimerai savoir pourquoi vous êtes aller voir cet personne dans cet asile. Bien que j'ai ma petite idée.
Pourquoi vous Vous êtes procuré ce morceau de bois. Bien que j'ai également mon idée sur sa fonction.
J'ai déjà eu affaire à des personnes ayant vos compétences. Vous pensez que vous êtes au-dessus des lois mais il n'en est rien."
*je la fixe pour voir comment mon discours l'a touché ou pas...*

Voilà ......

Le membre 'bobbygawelle' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'D100' :

Résultat : 84

*Elle ne semble pas réellement tiqué à tes dires mais un fin sourire vient ourler ses lèvres.*

-"Je suis curieuse de savoir ce que vous pensez, monsieur Debrefeuille. Quelles sont vos idées sur ces questions que vous venez de me poser ?"

*La dame reste calme mais le ton est plus prudent.*

-"Vous voulez savoir ce que je sais sur la manière que vous avez employé pour vous débarrasser de monsieur Lemoine.
D'abord je dois vous dire que je travail pour la police locale mais que mon statue de détective privé je ne recherche pas les preuves mais surtout les faits.
Je dois aussi vous dire que je suis versé dans les phénomènes sur-naturels.
Ce dernier point m'a permis de remonter vos actes.
Du moyen que vous avez trouvé pour vous procurez ce morceau de bois maudit jusqu'à votre partenariat avec sa femme...."

*Réactions???????*

*Clairement, durant quelques secondes, elle écarquille les yeux de stupéfaction et à cet instant précis, tu ne doutes pas de sa culpabilité. Mais le moment passe vite et elle se reprend. Un sourire narquois vient ourler ses lèvres tandis qu'elle te dit.*

-"Et vous pensez réellement convaincre quelqu'un de ce que vous venez de me dire, monsieur Debrefeuille ? Pensez-vous qu'un juge, sain d'esprit, croirait une telle déclaration ? C'est parfaitement absurde."