William Magnus , France , 1885. (partie roleplay)

*La lettre du comte Laurenzo Di Piazzara, ton mécène, est arrivée par le courrier du matin. Alors que les bruits d’Édimbourg te parviennent par la fenêtre de ton laboratoire, tu ouvres la missive afin de la lire.*


"Mon très cher ami,

Je vous écris afin de vous faire part de l'acquisition que j'ai faite récemment en vue de vos travaux futurs. Votre petit laboratoire d’Édimbourg est certes pittoresque mais ne me parait guère fonctionnel. Les murs y sont vétustes et le lieu, fort bruyant, n'est pas des plus adaptés pour des recherches qui demandent sérieux et attention soutenue.

C'est pourquoi j'ai décidé de vous offrir un cadre plus approprié aux travaux que vous effectuez. Le laboratoire que j'ai acquis se trouve en France, dans une très belle cité nommée Saint-Malo, en bretagne. Le laboratoire fait partie d'une petite demeure qui vous siéra à merveille, je n'en doute pas. La ville est en bord de mer et l'air marin ne pourra que vous fortifiez le corps et l'esprit.

J'ai loué les services d'une cuisinière ainsi que ceux d'une femme de ménage qui s'occuperont de votre confort quotidien. Ainsi, vous n'aurez plus à vous préoccupez de ses tâches fastidieuses pour un chercheur tel que vous. Je joins à ma lettre un billet pour la traversée jusqu'à Saint-Malo ainsi que quelques liquidités pour vos menus frais.

Je compte sur vous pour me donner de vos nouvelles très rapidement afin de me faire part de votre installation et de vos impressions sur votre nouveau lieu de vie et de recherches. Portez vous bien et que Dieu vous garde.

Acceptez, mon très cher ami, mes salutations les plus respectueuses.

Comte Laurenzo Di Piazzara"

*je prend du papier a lettre et de l'encre pour écrire la réponse*

Comte Laurenzo Di Piazzara,

Je suis honoré de l'attention particulière que vous accorder a mes travaux. Ces avec très grande joie que je fait mes baggages et que je viens vivre en France, afin de poursuivre mes travaux.

Pour ce qui est des installations, il n'y a que 3 choses importantes, la premiere est que le laboratoire soit pourvue d'un lit et d'une Taillère. la deuxième est qu'il y est une grande cage et solide pour des spéciments vivant a étudier (asser grande pour y mettre un gorille), la dernière est que je ne bois pas de café que du thé.

Je tiens vraiment a vous remerciez pour tout ce que vous faites pour moi et mes recherche, peu de gens s'y intéresse et je suis heureux que quelqu'un crois en ce que je fais.

Veillez accepter mais salutation et remerciement les plus distinguées,
Williams Magnus
Recherchiste

*sur ce, je fait mes baggages emportant tout le nécessaire a mes recherche et les quelques souvenir qu'il me reste, et vêtements, et me dirige vers le port, vers ma nouvelle ville, j'emporte aussi 2 boîtes de Thé, au cas où*

*La traversée se passe bien. La cité de Saint-Malo intra-muros est en effet fort belle et un fiacre te dépose à l'adresse indiquée sur la missive du comte Di Piazzara : rue Saint- Benoist. La demeure est en fait un immeuble qui héberge à chaque étage un appartement. Le tien est au rez-de-chaussée et lorsque tu frappe à la porte, une femme d'une cinquantaine d'années t'ouvre.

Elle est grande, potelée, a un sourire jovial et une tenue de cuisinière. Ses cheveux grisonnants sont relevés en chignon et ses yeux verts pétillent de vitalité. Elle s'incline devant toi et te fait signe d'entrer lorsque tu lui dis ton nom.*

-"Soyez le bienvenu, monsieur Magnus, je suis Guénaëlle, votre cuisinière. Veuillez me suivre..."

*Guénaëlle te fait faire le tour du propriétaire sans rien omettre, se faisant un devoir de remplir sa mission de guide au mieux de ses possibilités. Ton logis se compose d'un hall d'entrée, un salon, une cuisine, une pièce servant de réserve/cave, une petite salle d'eau avec WC, deux chambres avec salle de bain privative au rez-de-chaussée.

Le sous-sol est entièrement dédié à ton laboratoire. Il y a une salle de recherche, un bureau, une petite salle d'eau avec WC, une salle avec une dizaine de cages de taille humaine, une bibliothèque, une salle d'expérimentation, une petite infirmerie et une salle d'archives.

Il est midi lorsque Guénaëlle termine sa visite guidée des lieux. Elle te propose pour le déjeuner quelques asperges en entrée, une galette jambon, fromage, œuf avec une salade verte et une tarte aux pommes. Le tout arrosé de cidre avant de terminer sur une bonne tasse de thé. Une fois ton repas terminé, ta cuisinière te demande.*

-"L'appartement vous plait-il, monsieur ? Vous verrez, c'est une rue calme et vos voisins du dessus ne vous dérangeront pas. Au premier, il y a Mademoiselle Léopoldine Guerrand, une jeune femme très bien qui travaille comme secrétaire à la mairie de la ville. au second, c'est monsieur Félicien Lemorlec, le vétérinaire et au troisième c'est monsieur Alphonse Guinemer, l'avocat. Le dernier étage est réservé aux domestiques, monsieur, j'y habite également."

je lui répond "il est parfait, je n'aurait pus expérer mieux, et que dire de votre repas, j'en avait pas mangé d'aussi bon, que depuis l'époque ou ma mère me préparait a manger"

*après cela je descent au laboratoire y placer mes notes et me préparer pour la journée de demain, une fois cela fait j'entrepent une ptite visite de la ville histoire de voir ou se qu'il y a dans le coins*

*Lorsque tu sors dans le couloir de la vaste demeure, tu vois descendre par l'escalier un homme d'une trentaine d'années passées, à la chevelure blonde platine presque blanche, aux yeux d'un bleu très clair et à la barbiche soigneusement taillée. Sa taille est impressionnante, tout autant que son gabarit.

L'homme mesure plus de 2m mais son visage souriant inspire confiance et atténue l'impression de danger qui émane de sa forte stature. Il est vêtu d'un costume propre mais simple. Sa canne est en bois sculpté et la tête en est d'onyx en forme de tête de loup. L'impression de simplicité du vêtement de cet homme est mise à mal par cette canne qui doit valoir fort cher.

L'un de tes voisins, sans doute. Il pose les yeux sur toi et son sourire s'accentue. Il vient jusqu'à toi et te tend sa main libre, inclinant la tête pour te saluer.*

-"Bonjour monsieur, Félicien Lemorlec, enchanté. Vous êtes ?"

*je lui sert la main et lui dit*

"je suis Willaim Magnus, enchanter de faire votre connaissance, Mr. Lemorlec. Vous habitez ici également?"

-"Oui, en effet, je suis au second étage avec mon épouse, Auréline, et mes deux enfants, Louis et Clémence. Vous venez d'emménager ici, c'est cela ? Vous êtes notre nouveau voisin du rez de chaussée ? Venez donc avec moi, mon cher, allons donc prendre un petit café à l'Alambic, un bar à quelques pas de là.

Vous me parlerez un peu de vous, si vous le désirez. Je suis vraiment content d'avoir un nouveau voisin, c'est toujours agréable et cela permet des échanges amicaux qui pimentent le train-train quotidien."

*Félicien te sourit et t'invite de la main à le suivre.*

je lui répond "bien sur j'en serait ravie, aller devant je vous suit"

*Chemin faisant j'observe la ville histoire de pouvoir m'orienter et connaître ce qu'il y a d'important dans les rues*

ha oui j'oubliait *si j'ai le choix rendu au café, je vais prendre un thé*

(hrp : quelques photos de Saint-Malo intra muros d'aujourd'hui, comme tu vois, ça reste très proche de ce qu'était l'intra en 1885, mis à part les traces de modernité, bien entendu. Et sinon, bien entendu au café tu prend ce que tu veux comme boisson )

*L'intra muros est un endroit agréable et ensoleillé malgré les hautes demeures enclavées dans les remparts. Le petit trajet avec ton nouveau voisin te le prouve aisément. Une fois à l'Alambic, le serveur prend votre commande et revient poser sur votre table un café et un thé fumant et odorant.

Félicien le boit par petites gorgées, savourant visiblement le breuvage bien chaud. Il te regarde avec son sourire jovial et te demande.*

-"Alors, cher William, vous me permettez de vous appelez William ? Racontez-moi tout. Quel est votre profession ? êtes-vous de la région ?"

*je prend une petite gorgée de Thé et lui dit*

"he bien, je suis d'écosse, je travail comme recherchiste en médecine, je cherche a comprendre les composantes des micro-organisme qu'il y a dans notre sang et leurs composantes, vous saviez que chaque personne a des composantes distinctes?"

*Durant quelques secondes, Félicien suspend son geste alors qu'il approchait la tasse de sa bouche pour boire une gorgée de café. Ses yeux s'écarquillent de surprise avant de se plisser aussitôt, une vague lueur de méfiance s'y installant soudain.

Il repose sa tasse sur la table et baisse les yeux sur cette dernière. Lorsqu'il les relèvent, la méfiance a disparue et son sourire est toujours là. Il te fixe d'un air intéressé avant de te demander.*

-"Oui, je le savais. Je suis docteur également mais spécialisé dans la médecine vétérinaire. Ainsi vous faîtes des recherches ? Et votre laboratoire est dans l'immeuble où nous habitons ? Pardonnez-moi ces questions mais comprenez mon inquiétude...j'ai des enfants et je ne voudrais pas qu'il puisse leur arriver quelque chose."

(hrp : fais-moi un jet de Perception s'il te plais. Tu lances un D100 grâce à l'icône du D6 que tu vois en haut de ta fenêtre quand tu veux faire un post. A toi de jouer )

"en fait il n'y a rien a craindre mes recherche ne comporte rien de dangereux, de plus, s'il était dans l'immeuble, il ne serait pas ouvert mais belle et bien fermé a clef"

Le membre 'Darwin Blade' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'D100' :

Résultat : 42

*Tu sens, plus que tu ne le vois réellement, le changement d'attitude de Félicien. Certes, il reste courtois et son sourire est toujours engageant mais quelque chose au fond de toi résonne comme un avertissement.

Cet homme-là est dangereux ! Tu ne t'expliques pas pourquoi tu ressens cela mais tu ne doutes pas une seconde de ton intuition sur ce sujet précis.*

*Je fait comme si de rien n'était et lui demande*

"Savez-vous ou je peux trouver une Bibliothèque ou une librairie? J'adore lire, sa m'aide a me détendre"

-"Bien sûr, je vais même vous y conduire, si vous le désirez. Elle n'est qu'à quelques pâtés de maisons d'ici."

*Vous finissez vos boissons tout en discutant de choses et d'autres. Félicien se montre bavard pour parler de la cité corsaire qu'il te décrit de long en large. Pas de doute, il est passionné par sa ville et son histoire.

Il continue à te parler de Saint-Malo et des alentours tout en te guidant jusqu'à la bibliothèque. Une fois arrivé devant, il te salut avec courtoisie et te laisse.*

-"A bientôt, cher voisin, il faudra que vous veniez prendre le thé chez moi, un de ces jours, afin que je vous présente à ma petite famille. Je vous laisse, je dois aller à ma cabinet, mes clients doivent déjà m'y attendre."

"Merci et a Bientot"

*j'entre dans la bibliothèque, et je recherche les archive de la ville, j'aime bien connaître l'endroit où je vit, plus précisément sur les histoires importantes en rapport a la ville depuis sa création*

*Tu passes ton après-midi dans la bibliothèque à lire différents ouvrages sur la ville de Saint-Malo. A 18h, tu es gentiment poussé vers la sortie car c'est l'heure de fermeture. Les rues sont calmes à cette heure et seuls quelques groupes de jeunes gens passent en riant.

Peu à peu, la pénombre envahit les rues étroites de la cité corsaire et lorsque tu approches d'une maison juste à côté de ton immeuble, tu aperçois des silhouettes dans l'obscurité. Ces personnes semblent toutes regarder la maison et ne bougent pas.

Une légère brise venant de la rue de cette fameuse maison arrive vers toi et soudain l'air marin si frais et agréable se change en une puanteur terrifiante. Un mélange de corps en décomposition, de terre moisie et de poisson pourri t'agrippe dans ses griffes olfactives.*

(hrp : fais-moi un jet de constitution s'il te plait. Les jets se font tous avec le D100. )

Mon jet de Con

Que ce passe-t-il?

Le membre 'Darwin Blade' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'D100' :

Résultat : 9

*La puanteur t'agresse de façon si soudaine que tu fermes les yeux une seconde pour t'empêcher de te plier en deux et de vomir. Une seule seconde et quand tu les ouvres à nouveau, il n'y a plus que l'ombre en face de cette maison, les silhouettes ont disparues.

La brise redevient fraîche et l'odeur infecte disparait aussi vite qu'elle est arrivée. La maison que semblaient surveillées les silhouettes est placée près d'une rue qui la sépare de ton immeuble...Peut-être les personnes se sont-elles sauvées par là mais tu en doutes car tu n'entends aucun son de pas.*

*Je rentre chez moi, vait direct au labo, et je vérifie si tout y est*

*Rien n'a bougé dans ton laboratoire. Tout est à sa place, il ne manque rien. Guénaëlle t'a préparé une soupe de poissons, une part de quiche lorraine avec salade et le reste de la tarte aux pommes du midi en guise de dîner. Pendant ton repas, alors qu'elle est aux fourneaux, elle te demande.*

-"Alors, monsieur, vous avez fait un petit tour de la cité, cet après-midi ?"