Airia Porfends (Partie roleplay).

Comme une pierre jetée dans un étang qui fait une onde sur la surface, le fait de mentionner sire Orios Ocrefeuille qui voulait étendre son domaine en prenant celui des autres, fut pour l’esprit du nécromant, révélateur. Sans attendre, il ajoutait…

-Sire Orios Ocrefeuille veut étendre son domaine en prenant celui des autres? N’est-ce pas là une tactique de son cru pour commencer sa machination? - Suspicieux Ssnirr ne pouvant plisser les yeux laissait son corps encore une fois se tortiller puis cessant d’un coup sec son tortillage il reprit… - Vous avez des pigeons messager pour le baron? Car y aller, quérir des mages, revenir prendrait presque une dizaine et je crains malheureusement que le temps nous manque… Si vous ne le prenez pas mal je vous laisserais le soin d’envoyer une missive au baron pour nous faire parvenir des mages au plus tôt et j’irai rapidement voire directement la dame seigneur Mèrésankh qui est aux limites de mes terres et nous nous rejoignons directement au cercle de druide, ainsi nous ne perdrons pas de temps. Nous serons sur place dans l’attente de l’arrivée des mages. Dans deux jours lorsque vous recevrez la visite du Sire Orios, vous irez le rencontrer et si possible venir lui montrer la faille, question de saisir s’il est derrière cela. Ça vous va dame Airia? Sachez que j’apprécie beaucoup votre aide et soyez assurer d’avoir toute ma collaboration le temps venu. Pour moi cette alliance est une première et je suis persuadé que les habitants de nos terres respectifs en seront que plus protégés. –

Il attendit une réponse qu’il espérait affirmative. Car pour lui il était évidant que s’il fallait aller quérir des mages directement chez le baron que ceci prendrait au moins une dizaine avant de revenir et de plus il ne pouvait laisser sans surveillance la faille qui était sur ses terres, il lui fallait retourner le plus rapidement possible, car il lui fallait aussi rejoindre la dame-seigneur Mèrésankh.

Airia suite aux propositions de seigneur Ssnir demanda aux paladin de quoi écrire une missive pour l'envoyer aux baron est expliqua : J'envoie une missive aux baron aux plus vite ne sachant même pas si un système de pigeonnier était déjà en place dans la ville.... a moins que son conseiller ou maitre espion dispose de moyen magique pour réglé cela plus rapidement... J'attend la visite de son Hérault a qui j'expliquerai la situation en espérant qu'il ne tente pas quelque chose comme les rumeur le dise. Plaisir partager, Nou protègerons nos terre est nos gens des menace exterieur

Puis comme pour cseller cette amitier nouvelle est respectueuse elle tendu sa mains pour valider cette accords.

Airia, votre poignée de main valant accord, tu laisses Ssnirr repartir vers ses terres tandis que tu écris une missive à l'attention du baron. Pour répondre à ta question, Périfin t'affirme que le manoir dispose d'un pigeonnier et de pigeons voyageurs tout à fait compétents. Hélas, pas de moyens magiques en votre possession et tu te dis que l'idée serait peut-être à creuser. Mais quelque part, cela rejoint bien le fait qu'un magicien fait défaut sur tes terres. La lettre dûment validée par ton sceau, Périfin s'empresse de la rouler afin de la glisser dans le petit étui en cuir qui va la protéger. Il ne laisse le soin à personne d'autre pour porter la missive jusqu'au pigeonnier pour être certain qu'elle parte bien. Pendant son absence, le père Euzérion et son neveu s'entretiennent avec toi au sujet des pérytons. Le paladin te demande la permission de partir pour Min'airia afin d'être sûr place pour aider les gens contre ces méchants volatiles. Le père Euzébion t'explique qu'il aimerait l'accompagner pour soigner les bléssés le cas échéant.

- Je sais que vous avez le père Turial à vos côtés pour prendre soins des villageois.

Il grimace un peu.

- Je sais également que le père Turial n'aime guère s'occuper des autres personnes que celles vivant ou travaillant au manoir mais je gage qu'une petite récompense saura venir à bout de sa réticence.

Il a un sourire contrit avant d'ajouter.

- C'est un homme qui aime l'argent, hélas, mais c'est aussi un bon soigneur.

Il n'en dit pas plus, préférant te laisser faire le choix d'écouter son conseil ou de l'ignorer. Les deux te fixent en attendant de savoir si tu acceptes de les laisser partir vers Min'airia ou pas.

Ssnirr, après la poignée de main que tu échanges avec la dame-seigneur Airia en guise d'accord, tu repars au plus vite vers les terres de la dame seigneur Mèrésankh.

(hrp : Ssnirr, on poursuit dans ta section perso : https://masterole.forumsactifs.net/t940p50-ssnirr-hsstafi-de-la-maison-se-sehen-partie-roleplay#23928)

Dame Airia avait pu parler avec le seigneur Ssnirr, celui-ci pouvait ce révéler être un bon allier dans les futur défit qui viendrait frapper au porte du royaume. Discutant sur les différent probleme a résoudre l'avarielle autorisa la paladin est père Euzébion a prêter main forte a Min'airia. Elle expliqua:

Je ne doute pas de c'est capacité, si il est a ce poste, c'est qu'il a su démontrer le savoir faire pour l'accomplir.... Quand vient question de l'argent Airia grimace un peux expliquant : Je peux comprendre que on aime l'argent pour pouvoir vaquer a c'est occupation, mais a trop aimer l'argent on peux ce faire acheter..... Je ne connait pas encore tout le monde il faut que j'apprenne a les connaitre mais comprennnait vous mon point de vue quelque peux méfiant surtout quand j'apprend que certain seigneur ou autre complot nous veulent du mal? Je vais voir avec les entretiens que j'aimerais passer avec tout el monde ce que je compte faire...

Sur ceux, elle laissa les deux hommes a ce préparer pour le voyager jusque a Min'airia, et alla a la taverne glanait des informations auprès des villageois.

La taverne du village se nomme "Au comptoir chaleureux" et est tenue par un gros homme d'une cinquantaine d'années au visage rebondi et rubicond. Il te sourit avec jovialité et ses yeux noirs pétillent de malice...dans le bon sens du terme. Il possède une tignasse courte ébouriffée châtain foncé et une barbichette façon "mousquetaire". Dans la taverne, les habitués jouent aux cartes ou aux dés tout en sirotant des chopes de bière. Ton arrivée ne passe pas inaperçue et les discussions cessent aussitôt tandis que les regards se tournent tous vers toi. Le tavernier détend vite l'atmosphère et clamant avec bonhommie.

- Soyez la bienvenue, ma dame, approchez et dites-moi donc ce qui vous plairait à déguster ?

Le ton du patron semble sécuriser les habitués qui reprennent alors leur discussion comme si tu n'étais pas là. Cela te prouve que le tavernier a toute la confiance de sa clientèle. S'il avait réagit de façon plus fraîche à ton égard, il est quasi certain que les clients auraient suivi son exemple et se seraient montrés distants envers toi. L'intervention de ce brave homme te permet un premier contact neutre qui est propice pour une discussion ouverte. Tu sens que tu vas pouvoir parler sereinement. Le tavernier se présente comme étant Dromass Bonnepâte. La taverne a un serveur et une serveur d'une vingtaine d'années, tous les deux humains, qui virevoltent entre les tables pour déposer avec dextérité les commandes devant leurs commanditaires. A l'arrière du comptoir, tu vois également une cuisinière qui s'active devant ses fourneaux. Elle a dans le même âge que Dromass et possède des yeux et une tignasse marron sur une peau basanée qui te dit qu'elle n'est pas originaire du coin.

Airia répondit avec courtoisie aux tavernier :

Je prendrais votre meilleur boisson ainsi que des nouvelles, ragot est potin .... Je suis Airia et j'espère que tout ce passe pour le mieux. J'aimerais entendre les probleme qui serait noté par les villageois. Il y a un problème de Périfons a Min'airia en avait vous entendue parlez ? que pensez vous de chacun des conseillez ? La jeune dame taché de s'ensuerir des informations qui pouvait s'échaper des moyen plus conventionel en étant plus proche du peuple.

Tu sens que, dès ton identité connue de tous, l'atmosphère change à nouveau. Les clients se renfrognent mais leurs visages sont plus craintifs qu'autre chose. Le tavernier soupire et t'offre un sourire rassurant.

- Faut pas leur en vouloir, ma dame, c'est que...parlez des ragots ou des potins n'apportent généralement que des ennuis d'une manière ou d'une autre. Votre intendant n'est pas connu pour sa tolérance et sa dureté effraie bien des gens.

Un chuchotement effrayé venant des clients fait réaliser au brave Dromass qu'il vient justement de lâcher une bombe en disant combien les villageois ont peur de ton intendant. Cette peur doit bien prendre sa source quelque part mais il te faudra amadouer le bavard tavernier pour qu'il te dise ce qu'il sait. Peut-être qu'un le questionnant en privé, loin des oreilles de ses compatriotes, il sera plus enclin à te confier des choses ? En attendant, il toussote, un peu gêné, et reprend.

- On a pas vraiment de problèmes au village, ma dame. Peut-être le manque de festivités ? On aimerait bien pouvoir recevoir des cirques itinérants quand ils passent dans le coin ou d'autres artistes mais votre intendant impose une taxe qui est si lourde qu'elle fait fuir les rares saltimbanques qui voudraient venir ici.

Les hochements de tête des clients te prouvent qu'ils sont tous d'accord avec Dromass. Quand tu parles des pérytons, le tavernier grimace et te dit.

- Ah ça, oui, on en a entendu parlé. Ils sèment la panique à Min'airia et ils attaquent les gens.

Un client ajoute.

- Ouais et ça va continuer tout ça à cause de cet incapable de Rossière Grandtonneau !

Dromass t'explique que Rossière Grandtonneau est le chef du hameau de Min'airia. En écoutant les clients, plus enclins à parler du hameau voisin plutôt que du village, tu comprends qu'ils pensent que les attaques de pérytons sont commandées. Les uns pensent que c'est un shaman orque ou gobelin qui veut faire fuir les gens pour garder son territoire, d'autres que c'est un magicien qui veut s'installer et prendre le contrôle d'une partie du fief, d'autres encore que c'est un druide maléfique...bref, des pistes qui semblent toutes pas si mauvaises à suivre. En tout cas, le verre de vin que te sert le tavernier est réellement bon. Tu apprends qu'il s'agit d"un crû du coin, "Le vermillon de la roche aux fées", du nom de la vigne où le raison pousse...

Airia voulait paraitre transparente et n'avait rien a cacher a la populace c'est pour cela qu'elle s'était dévoiler en toute franchise. Elle répondit aux tavernier :

Je ne leurs en veut point, j'ai pu constater est remarquer la façon d'agir de l'intendant, mais je ne suis pas lui! Cette remarque avait pour but d rassurer la clientèle en montrant qu'elle était bien plus magnanime mais rajouta : Je sais me montrer courtoise ,je vais voir pour cette affaire de festivité... Mais j'ai besoin que de votre coté nous ayons une relation de confiance ! car je sais être ferme et Juste. Bien excellente boisson !Nous pourrions en faire un millésime est en exporter.... Je vais vous prendre une table au calme pour manger cela est possible ?

Le but de cette dernière manœuvre était de prendre des informations sur la peur des villageoise auprès de l'intendant ainsi que sur l'ancien chef du village qui a était renvoyer.

Le tavernier te propose un plat de grives aux champignons pleurotes ou une truite aux asperges des bois. En dessert, il a de la tarte aux pommes ou une crème à la framboise. Lorsque tu parles d'exporter l'excellent petit vin qu'il t'a servi, il te sourit avant de répliquer.

- C'est une bonne idée, ma dame, faudrait en parler au vieux Grumor Grapperouge, c'est lui qui fait ce bon petit vin. Mais faudra négocier dur parce qu'il est pas facile en affaire, le bougre !

Il rit de bon cœur avant de redevenir sérieux. Quand tu lui poses des questions sur l'ancien chef du village, Dromass grimace et te parle à voix basse.

- Oh ben, celui-là, il se permettait des libertés un peu trop flagrante sur le prélèvement des taxes si vous voyez ce que j'veux dire.

Il poursuit.

- Il s'en mettait dans les poches et l'intendant a fini par s'en rendre compte. Du coup, il l'a renvoyé et l'a même banni du village. Il a bien fait, d'après moi.

Pour ce qui est de l'intendant, il ajoute.

- Lui c'est un seigneur, ma dame. J'veux pas dire par là qu'il est bon, hein, non, juste qu'il se comporte comme si c'était lui le seigneur du fief. Et malheur à qui remet son autorité en doute, il fait pas long feu dans les parages. Il a fait partir pas mal de gens qui venaient s'installer au village, vous savez ? Un forgeron de renom, Bill Marteaudefeu, qu'il a fait partir parce que ce dernier ne voulait pas lui servir de faire valoir lors de réceptions qu'il donnait ou parce qu'il refusait de faire passer les commandes de messire l'intendant avant celles des clients qui avaient passé commande avant lui.

Il baisse encore la voix.

- Un sale type, ce gars, moi j'vous l'dis !

Finalement, certains clients entendent vos propos et bon nombre accréditent les dires du tavernier. L'opinion des villageois est mauvaise concernant l'intendant mais certains le défendent en disant qu'il n'est pas mauvais dans sa gestion du fief et que, forcément, les décisions impopulaires qu'il a dû prendre quelquefois ne peuvent amener les gens à l'aimer. Les deux opinions se valent même si l'impopularité de l'intendant est un peu plus forte. Tu apprends ainsi une information intéressante concernant ton intendant. Ce dernier a un contact parmi les conseillers du baron et c'est souvent grâce à lui qu'il peut faire "virer" des gens qui ne lui plaisent pas et même leur rendre la vie dure. Il ajoute.

- Par exemple, Briar Chanteclaire, un troubadour réputé, qui n'a pas voulu écrire un lai à la gloire de notre cher intendant a fini par être obligé de quitter les terres de la baronnie. En effet, messire Borwir avait fait passer le mot aux autres seigneurs comme quoi il était un médiocre qui se prenait pour une grande personnalité et refusait de s'abaisser à écrire des lais pour honorer ses hôtes. Cela a suffit pour lui interdire les portes des manoirs de la baronnie.

Il soupire.

- Quelle misère, alors qu'il avait de si belles chansons. Tenez, y en a même une qui parlait de gens comme vous, ma dame. Des elfes aîlés...mais je ne me souviens plus de quoi ça parlait sinon mais c'était très beau.

Quel étonnement, un lai parlant des avariels chanté par un humain ? Voilà une chose rarissime...

Réglant sa note et Ecoutant les informations que le tavernier est ces client lui racontait elle pouvait ce faire une meilleur idées de son conseiller...Ainsi sur quel genre de personne il avait affaire. Mais ce qui surpirs le plus Airia ces ce bardes qui louer des chansons sur les avarielle...

Surprenant j'aimerais bien entendre ces fameuse chanson...On sait ou il ce trouve maintenant ? Il était étonnant que un humain connaisse des avarielles.

Réfléchissant... Vendre ce spiritueux pourrait être un plus pour l'économie...

Il faudra que je voit ce fameux Grumor,

Bien ! je vous remercie de votre écoute est de votre sympathie, Mais j'ai d'autre personne a aller voir surtout que Jai certaine affaire urgente a traiter. Il était plaisant de rencontrer les gens du peuple mais ce préparer a recevoir le diplomate, prévenir l'attaque des périrons est contrer une menace venue des abysses était les préoccupation importantes aux point du jour.

Le tavernier fait une grimace.

- Difficile de savoir où peut bien se trouver Briar Chanteclaire en ce moment, ma dame. Comme j'ai dis, depuis qu'il n'a plus ses entrées dans les manoirs de la baronnie, il a dû émigrer dans une autre baronnie...faudrait se renseigner auprès des manoirs pour savoir s'ils l'ont vu, j'vois que ça.

Pour la question concernant Grumor, le tavernier retrouve son sourire.

- Oh ben ça, c'est pas trop difficile. Sa vigne et sa demeure se trouve à la sortie du village, à moins d'1 km à peine. Vous n'aurez aucun mal à le trouver.

Tu prends congé des villageois afin de regagner le manoir. Tu sais que tu vas recevoir la visite prochaine de sire Orios Ocrefeuille, héraut du seigneur Aléron de Saulebois et qu'il va te falloir te montrer forte face à cet homme. Il est clair que la venue du héraut tombe mal et tandis que tu penses qu'il aurait été bien qu'il vienne plus tard tu as la mauvaise surprise de voir un groupe de garde qui ne portent pas les armoiries de ton fief. 4 hommes d'armes qui patientent tout en discutant avec le père Turial. Lorsque ce dernier te voit, il fait un mouvement de tête pour te désigner aux gardes visiteurs. Ceux-ci se tournent vers toi et,ui pl avec respect, te saluent. Le père Turial te dit alors avec un sourire en coin qui montre que la situation lui plait.

- Messire Orios Ocrefeuille, héraut du seigneur Aléron de Saulebois est arrivé, ma dame. Votre intendant, messire Borwir, est en train de l'accueillir.

Il t'indique la porte du manoir, visiblement pas décidé à t'accompagner. Les gardes semblent fort étonnés de ce manque de tact mais n'osent rien dire. Après tout, il ne sont pas chez eux. Dans la salle de réception, Borwir est en grande conversation avec un homme d'une trentaine d'années, aux cheveux longs bruns retenus par un catogan et aux yeux vert clair. La tenue de voyage du héraut, car il doit s'agir de lui, est un peu poussiéreuse mais très raffinée. Quand Borwir te voit arriver, il se lève promptement du siège qui, normalement est le tien et te présente.

- Messire Ocrefeuille, je vous présente la dame-seigneur Airia Porfends. Ma dame, voici le héraut du seigneur de Saulebois, messire Ocrefeuille. Je disais à nôtre invité que vous étiez à la taverne en compagnie des villageois.

Un fin sourire orne les lèvres de ton intendant tandis que le héraut hausse les sourcils et te regarde avec un mélange d'étonnement et de mépris. Il est clair que, pour cet homme, voir un seigneur s'abaisser à aller boire en compagnie de gueux dans une simple taverne est un manque de gout certain. Il reprend vite une attitude plus protocolaire avant de te saluer, un brin hautain.

- Mes hommages , ma dame. J'apporte avec moi les salutations cordiales de mon seigneur, messire de Saulebois ainsi que quelques présents.

Il désigne, posés sur la table, deux petits coffrets en bois sculpté du plus bel effet. Pendant qu'il parle, Borwir prend un siège et s'y assoit. Il te laisse prendre la suite de cette rencontre mais reste tout de même. Est-ce réellement pour t'aider au cas où tu ferais un impair ou est-ce pour pouvoir apprécier tes erreurs et s'en délecter. Peut-être bien les deux...

Retournant a sa demeure, voir les quatres garde qui ne venait pas d'ici ne disait rien qui vaille... Comprenant que la visite du héros allait ce faire plus tôt que prévue elle entra dans le bureaux ou ce trouvait le représentant.

Visiblement, Borwir avait pris les devants est chercher soit a bien ce faire voir soit jouer de c'est mots pour rabaisser Airia qui répondit alors:

Bien le bonjour Messire Ocrefeuille, effectivement je réglais quelque affaires que certains n'était pas capables de régler! Ne désignant personne, elle rajouta

C'est un plaisir de vous recevoir, la route n'a pas était trop longue ? Peut être un rafraichissement vous ferait t-il du bien ? Lui servant une boisson approprier elle s'installe est la plus sérieusement elle lui dit:

Bien, je suppose que votre venue, n'est pas anodin... Nous vous attendions dans deux jour est vous voici déjà présent ...Quelque chose me dit qui doit y avoir quelque chose retenir mon attention ? A ces mots elle observa les réactions de son homologue car elle avait bien d'autre chose a lui dire.

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+13 diplomatie

Alors que tu sers une boisson à ton invité, tu vois ce dernier te regarder avec surprise puis condescendance. Borwir a un fin sourire mesquin avant de te dire.

- Mais ma dame, ce n'est pas à vous de servir. C'est le travail de la servante. Elle ne saurait tarder car je l'ai envoyé chercher de quoi sustenter un peu notre invité.

En effet, au même moment, la porte s'ouvre sur la servante qui apporte un plateau avec de la charcuterie, du pain chaud et des tranches de fromage. Quelques framboises et fraises des bois terminent le petit en-cas du plateau. La servante dépose le tout et reste une seconde figée en voyant que Orios a déjà son verre de servi. Elle a un regard d'incompréhension puis de panique en te regardant. La pauvre s'attend à prendre une réprimande pour ne pas tarder à servir ton invité. Elle baisse aussitôt les yeux et balbutie une excuse, très mal à l'aise. Borwir fait un signe de la main pour la congédier, hautain. Une fois la servante sortie, Orios répond à ta question sur sa présence plus tôt que prévue.

- Il s'avère, ma dame, que je devais rester quelques jours chez un ami mais que ce dernier, fort malade, n'était point en état de me recevoir. Aussi me suis-je avancé, sachant que je serais bien accueilli ici. Je ne doutais pas de votre hospitalité...

Son sourire, tout diplomate, te laisse à penser que, peut-être, l'excuse de l'ami malade est inventé. Qui sait s'il n'est pas au courant pour la venue, toute récente, du seigneur Ssnirr et s'il ne désire pas savoir pourquoi il se trouvait chez toi ? Alors que tu penses cela, il te demande.

- Alors, ma dame, la prise en main de votre fief se passe t-elle bien ?

A la réponse de l'intendant Airia répliqua a l'intendant:

Je le sais très bien! La servante vas arriver mais inutile de le faire attendre... A moins que vous ne vouliez vous même vous rendre utile... Puis une fois la servante arriver et congédier elle discuta avec le messire .

J'espères que votre amie se remettra rapidement de son mal... Vous comprendrait, je viens a peine d'arriver est j'ai encore pas mal a faire pour occire le mal de ces terres, Mais rassurer vous je serais retirait la gan graine qui nous menace ! Comme c'elle des Perifons ... D'ailleurs , j'ai a vous parlez d'un sujet important! Qui menaces nos terre communes avec d'autre seigneurs ! Avait vous entendue parlez d'un certain Morgraskaerxea Oeildefeu ? A l'appellation de son nom Airia observa si le héro savait quelque chose dessus. Car en fonction de sa réponse elel adopterait une conclusion différente. Rien ne pouvait dire ou contredire si la personne envoyer en face d'elle n'était pas un espion a sa solde.... Aprés tout diviser pour mieux Regnier était une stratégie efficase.

Au nom de Morgraskaerxea Oeildefeu, Orios fronce les sourcils et semble chercher dans sa mémoire. Rapidement, toutefois, il secoue la tête.

- Ma foi non, je ne me rappelle pas avoir entendu ce nom. Est ce un noble d'une autre baronnie ?

Lorsque tu parles des pérytons, il hausse un sourcil.

- Des pérytons ? Voilà une souci fâcheux, en effet, que nous ne connaissons pas sur les terres de mon seigneur.

Sa dernière phrase est dite sur un ton qui montre sa condescendance à ton égard. Il semble avoir une piètre opinion de ta façon de gouverner ton fief. Sa réaction plait beaucoup à Borwir qui cache son sourire en baissant la tête mais tu as le temps de l'apercevoir. L’insupportable individu apprécie cet entretien qui risque de te faire perdre des points dans le jugement que portera le héraut sur toi et tes difficultés. En y réfléchissant, c'est tout son intérêt de te voir échouer dans tes relations avec les autres car si cela arrive aux oreilles du baron, il pourrait très bien décider de te "rétrograder". Ce faisant, la place pourrait revenir à Borwir et ce dernier le sait parfaitement. Orios te demande alors.

- Vous parliez d'un sujet important, ma dame, puis-je savoir de quel sujet il s'agit ?

Elle répondue

Oui, je viens d'arriver aujourd'hui pour prendre poste! et fonction est je me retrouve avec pas mal de défie a relever... dit-elle fière est sérieuse A croire que quelqu'un me mais intentionnellement des bâton dans les roue... Mais si il s'agit d'un traitre je serait me montrer intransigeante quand a son sort finit-elle en regardant son intendant avant de reprendre est expliquer au baron.

Et bien, quand au sujet important concernant ce seigneur d'Outreterre, il a décider de faire appelle a un mage pour ouvrir une brèche a la frontière de nos terres respective afin d'avoir comme projet de s'y accaparer les terres de toutes les régions. Comprenais vous l'importance, une guerre risque de nouveaux de ce déclarer, est il faudrait le soutiens de tout les seigneurs et du baron pour étouffer dans l'œuf cette invasion. Celons le seigneur Ssniir avoir quelque mage pourrais nous permette de refermer la brèche avec l'aide des druide est des chasseur... Vous comprendrais que venant de prendre mes fonctions aujourd'hui je n'ai pas de t'elle mage sous la mains...J'ai beaucoup a faire suite a l'inaction de mon prédécesseur C'est pourquoi nous comptons sur votre seigneur est sur l'aide du baron pour fournir a l'effort de guerre. Mieux vos agir que guérir. J'ai déjà envoyer une lettre pour donner rendez vous aux bosquet des druides...

Expliquant plus en détaille la situations , Airia observe les réaction de son intendant est du héraul quand elle leurs adresse la parole sou parle supposément d'eux.

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Psychologie* : 5 = 5 + 0 (Sagesse)

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Diplomatie* : 13 = 6 + 3 (Charisme)+2 (synergie [Bluff])+2 (synergie [Psychologie])

Difficile de lire les attitudes de ton intendant qui semble très habile à cacher ce qu'il pense réellement. Tu as beau essayé, tu n'y arrive pas. Orios, par contre, semble sensible à ton discours et grâce à ta façon d'amener les choses prend conscience du réel danger que la venue d'outreterriens pourraient amenée sur les fiefs du baron. Se montrant franc, il grimace toutefois et te répond.

- Ma dame, je prend bien acte du danger mortel que constitue cette brèche et l'invasion qui risquerait d'en découler et je peux vous garantir que je vais rentrer le plus vite possible afin d'en informer mon seigneur. Mais, ma dame, je connais mon seigneur et je sais, d'avance, que son aveuglement lui fera prendre de mauvaises décisions.

Il soupire, réellement ennuyé.

- Je suis certain qu'il ne m'écoutera pas et qu'il verra dans cette invasion une possibilité d'agrandir son territoire sans comprendre le danger que les outreterriens représenteront pour lui et ses terres. Hélas, ma dame, la seule chose capable de le faire plier serait un ordre direct du baron. Je vous demanderais de garder les propos que je vous ai tenu secrets afin que je ne subisse pas l'ire de mon seigneur. Il a la vengeance mauvaise et je ne suis pas pressé de la subir.

Malgré son dévouement à son seigneur, ce héraut se montre finalement plus ouvert qu'il n'y parait. En attendant, ton propre intendant reste muet et ne semble pas décidé à t'aider plus que de raison...

Son intendant avait exercer depuis bien longtemps, il savait rester calme est stoïque pour ne pas montrer son jeux,, Mais Airia comprenais qu'il n'allait pas pouvoir continuer indéfiniment...
Mais a défaut de la coopération de Borwir, son interlocuteur s'avéra bien loquasse quand il comprit l'urgence de ce qu'il venait d'apprendre...

Airia comprenant la position délicate du Hérault s'avança vers lui et lui proposa, Si cela vous vas j'irait voir le baron personnellement affin que votre seigneur coopèrent ... puis lui chuchotent de manière a ce que Borwir n'entende pas. Mais n'en dite pas, trop certain pourrait en profitait pour vous faire chanter...
Lui faisant comprendre par ces élocutions que Airia ce méfier de son intendant qui voyait chercher surtout a prendre sa place...

Il était trop tard pour faire partir Borwir mais il fallait gardez ses amies prés de soit est ces ennemie encore plus prés. puis reprenant
Mais soyez rassuré, il nous faut rester unie afin de lutter contre un front commun, faite au mieux avec votre seigneur .

Puis si il avait finit elle laissa partir le Hérault qui avait fort a faire car elle avait a parler a son intendant.

Orios accepte promptement lorsque tu lui propose d'aller toi-même discuter avec son seigneur.

- Votre voix aura bien plus d'impact que la mienne, ma dame, c'est une certitude !

Il te sourit, finalement assez content de cette rencontre.

- Puisse les dieux vous venir en aide afin que le cœur de mon seigneur ne s'endurcisse pas.

Il tend l'oreille lorsque tu lui chuchote l'avertissement concernant ton intendant et hoche la tête d'un air entendu. Il prend ensuite congé de toi avant d'être raccompagné jusqu'aux portes du manoir. Ton intendant, une fois le héraut sorti soupire et secoue la tête.

- Je doute fort que le seigneur Aléron De Saulebois se laisse convaincre d'apporter son aide à votre entreprise, ma dame.

Il te fixe, comprenant bien que tu veux discuter avec lui et attend tes paroles pour pouvoir y répondre...

Airia sourie poliment a son intendant et ne lui dit que ceci:

Suivez moi ! ces quelque mots n'était pas des consignes mais plus un ordre auquel il ne fallait pas désobéir.

La nouvelle régente comptait bien régler les problème entre les villageois est l'intendant... C'est ainsi, qu'elle l'accompagna jusque a la place central du village ou tout les habitants devait rentrait des champs est ou l'affluence devait être a son comble ...

Borwir te suit sans discuter et reste sur la place du village tandis que les gens, le soleil se couchant, reviennent chez eux. Bien entendu, en te voyant sur la place avec l'intendant, tous se figent et te fixent d'un air incertain. Ils attendent de voir ce que tu vas faire ou dire...

Amenant l'intendant sur la place du village, Airia aller faire quelque chose de simple qui allait marquer a jamais le village.

L'invitant a monter sur l'estrade pour être a la vue de tous le village La jeune Dame expliqua a tous est chacun.

Je suis dame ARIA PORFENDS ! Légitime gouvernante de ces terres! Je viens ici est aujourd'hui pour remettre un jugement!

Sortant sa rapière azuré quelle place sous le cou de L'intendant elle enchaina:

Vous serez les juges ! Est MOI peut être le bourreaux L'intendant Borwir, depuis que je suis arrivé, a plusieurs fois fait preuve d'insubordination, de rébellion et que visiblement il veux prendre MA PLACE! Il y a quelque minute, il viens de tenter de me faire passer en ridicule devant le Hérault du seigneur voisin! Moi la régente de ces terres j'ai vue sa tentative de sabotage lors de ces accoutumance , cela s'apparenter a un crime de lèse-majesté ... Je vous en laisse décider. Mais affin de remettre le territoire dans une bonne voix, il faut que dans un champ, nous soyons tous unie en retirant les mauvaise racine qui pourrait nuire est corrompre a notre bonheur est notre tranquillité. Montrant ainsi aux villageois qu'il pouvait parlez librement sans crainte et en toute franchise, Airia attendez de savoir ce que ceux ci pensez de lui.

Maintenant, je vous donne la paroles, Que faut-il faire ?!

Depuis quel était arriver l'Avariel sentait comme un malèse dans le village est elle sentait que tant que celui-ci persister rien ne pourrez allez de l'avant, il fallait faire conc un exemple aussi bien pour montrer au villagoies qu'il pouvait compter sur leurs seignieuresque qu'il ne fallait pas pour autant abuser d'elle. Elle garda sa lame sous le coup de Borwir lui faisant comprendre clairement que celui-ci n'allait pas passer un bon moment est qu'il avait mieux a jouer franc jeux si il voulait peut être sans sortir...La parole était au diffèrent représentant des villagoies après viendrait le défense du conseiller.

Lorsque tu déclares que tu viens rendre un jugement, Borwir tourne la tête vers toi, éberlué. N'ayant pas été mis au courant de ta démarche, il ne peut qu'être surpris de ta décision et reste sans réaction quelques secondes. C'est suffisant pour que tu sortes ta lame et pour la lui mettre sous la gorge. Aussitôt, des cris de surprise et d'épouvante se font entendre dans la foule tandis que Borwir manque s'étouffer de stupéfaction. Il n'ose bouger de peur de te voir lui trancher la gorge mais lance un regard de détresse vers les villageois. La première surprise passée, le silence se fait sur la place. Tous se regardent les uns les autres, incertains de ce qu'ils doivent faire. Est ce un piège que tu leur tend ? vas-tu vraiment tuer l'intendant si les villageois l'exigent ? Peu à peu des chuchotements se font entre tandis que les villageois parlent entre eux de leu point de vu. Voyant soudain le risque mortel qu'il court, Borwir prend le risque d'hausser la voix pour déclarer.

- Tuer une personne sans jugement est un meurtre puni par la loi ! Je réclame la justice de Tyr !!

A ces mots, un homme d'une cinquantaine d'années, chauve, avec une longue balafre partant de sa tempe et allant jusqu'à sa lèvre prend la parole avec véhémence.

- Tu oses parler de tuer sans jugement ? Tu as la mémoire courte, intendant. Et le conteur itinérant que tu as exécuté parce qu'il avait eu le malheur d'écrire un pamphlet contre ta tyrannie ? Et les saltimbanques que tu as fais jeté dans les geôles du manoir et qui ne sont jamais réapparus ?

D'autres se mettent à crier à leur tour pour demander l'exécution immédiate de Borwir mais certains villageois s'insurgent et clament que l'intendant, bien que dur, a fait de bonnes choses pour le village et le fief. Les plus vieux, eux, encouragés par les plus jeunes, donnent de la voix également pour dénoncer un abus de pouvoir de ta part puisque tu es prête à occire directement l'intendant sans passer par un procès. Ils t'accusent de tyrannie. Bref, la foule s'échauffe et tu comprends que, même si beaucoup ont peur et détestent l'intendant, ils te craignent aussi vu ta réaction et qu'une exécution devant tous pourrait mettre le feu aux poudres et retourner la population contre toi. Borwir sent bien ce qui se passe et il ne peut s'empêcher d'avoir un bref sourire goguenard et un regard plein de duplicité vers toi. Il se reprend mais pas assez vite pour que tu n'ai pas vu son petit air supérieur. Hélas, tu es bien la seule à l'avoir remarqué et tu sais que ce semi-elfe ne cessera pas de conspirer à ta perte d'autant plus maintenant qu'il sait ce que tu penses de lui. Avec une certaine assurance retrouvée, il se redresse un peu et attend que tu lui donne la parole...

L'engeôler pour le faire passer en jugement ? Certes mais c'est prendre un double risque : le premier est de voir l'intendant s'enfuir avec quelques complicités parmi les gens du manoir. Car même s'il est détesté de beaucoup, il a su se mettre dans la poche des serviteurs qui ne manqueront pas de lui prêter main forte pour en être récompenser plus tard ; Le second est de le voir gagné son procès grâce, là encore, à des complicités extérieures et des pots de vin versés. L'intendant, tout tyrannique qu'il est, a depuis longtemps dû se préparer des portes de sorties face à de nombreuses situations différentes dont celle où il se verrait amener devant un tribunal. Le tuer directement ? C'est encourir la colère du peuple et te voir hait dès tes débuts de dirigeante pour avoir occis une personne sans l'avoir fait juger mais c'est aussi envoyer une image forte d'autorité qu'on ne doit pas pas tenter de renverser au risque de se voir exécuter. Difficile dilemme que tu dois résoudre tandis que tous les yeux des villageois sont braqués sur toi. Ils attendent tous ton "verdict"...

Airia écoute est observe les villageois, qui discute entre eux quand Borwir décide de prendre la parole alors que personne ne lui a donner . En réponse Airia lui répondit :

C'est votre jugement ! Est la justice sera faite !

Puis comme pour corroborer ces mots, un témoins vint plaider la culpabilité de l'intendant... A son histoire, Airia répondit a Borwir:

Ah!? Tiens donc.... Puis voyants sont regard et son sourire provocateur est enclin a vouloir prendre sa place L'avariel compris qui si il restait en vie ce n'est que problème est complication qui risquait de suivre il fallait marquer le cout pour montrer son autorité. Cela n'était pas de la tyrannie mais un moyen de montré qu'elle allait devoir ce salir les mains pour le bien être de tout les villageois.

J'ai entendue votre demande. Puis d'un geste vif elle trancha le problème...

Laissant le choc et la stupeur du moment faire comprendre aux villagois Que c'était Airia est non lex-intendant l'effigie de l'autorité, elle s'éleva dans les aires qui a l'orée du crépuscule engloba dans ca majestuosité l'ensemble du village de son ombre t-elle un ange ou un démon elle cria :

SILENCE!

Gäyana a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 18

+12 jet intimidation pour stopper la révolte

Puis enchainant Je vous rapelel que je suis l'un des personne qui vous a tous sauvée de l'invasion orc est ou par mais fait d'arme ont ma octroyer ce fief! Je viens de prendre mais fonction aujourd'hui est je dois déjà mettre de l'ordre en nous débarrassant des traitre qui veulent vous faire du mal! Je viens d'apprendre que une nouvelle menace venues d'outre-terre viens d'apparaitre est veut déferler sur ces terres. Je me doit de vous protéger ! C'est pourquoi je vais m'absenter est rejoindre d'autre seigneur pour éradiquer cette menace qui tente de tous vous tuez ! A mon retour , je compte sur vous pour que vous élisiez un représentant en qui je pourrait avoir confiance est qui pourra reprendre le poste d'intendant.

Sur ces dernier mots, Airia laissa les villageois est partie en direction du seigneur qu'elle devait allait voir!

Voir l'intendant se faire trucider ainsi fait pousser des cris d'horreur aux villageois. Ton ton menaçant fait taire les gens mais tu peux constater dans le regard de beaucoup qu'ils condamnent ta façon de faire. Aurais-tu fait une erreur ? Tu n'as pas le temps de t'appesantir sur le sujet car tu dois voir le seigneur Aléron De Saulebois au plus vite. Tu t'envoles donc, laissant là la population et le cadavre de l'intendant. Quand tu arrives au manoir de Saulebois, tu comprends que son héraut a fait son travail et prévenu son maître de ta venue. Tu es aussitôt introduite dans la salle de réunion de la bâtisse. Le seigneur Aléron est là, trônant sur un fauteuil imposant. Il possède des cheveux longs noir de jais, des yeux tout aussi noir et une barbe qui lui donne un air d'ours mal léché pas commode. Autour de la table, des hommes tous du même âge que lui sauf un. Le vieillard qui est assis à ses côtés doit avoir dans les 70 ans environ. Il possède des cheveux courts gris et des yeux noirs. La ressemblance physique entre lui et Aléron est assez prononcée pour que tu puisse penser qu'il s'agit de quelqu'un de sa famille. Un oncle peut-être ? A côté d'Aléron, Orios Ocrefeuille te salue d'un signe de tête. Tous se lèvent à ton arrivée...tous sauf Aléron. Cependant, le seigneur des lieux prend a parole d'un ton assez avenant.

- La bonne rencontre dame-seigneur Airia. Mon héraut m'a fait part du souci qui touche le fief de notre respectable confrère, le seigneur Ssnirr. J'étais en train de voir avec mes conseillers afin de vous allouez des hommes.

Il se tourne vers l'un des hommes qui saisit un parchemin avant d'en lire le contenu.

- Le seigneur Aléron va envoyez une trentaine d'hommes qui seront sous le commandement de Flagor Perceneige, son assistant maître d'armes.

Aléron approuve d'un hochement de tête.

- Ils seront prêts à partir d'ici deux heures.

En regardant les conseillers du seigneur, tu te rend compte qu'ils ont tous une ressemblance avec lui et tu comprends alors que cet homme a placé des hommes de sa famille à tous les postes du manoir. Une bonne façon de se garantir une loyauté quasi-sans faille. Le héraut seul ne lui ressemble pas...d'ailleurs en parlant d'Orios, tu trouves qu'il a l'air mal à l'aise et te lance de brefs regards insistants. Pas la peine d'être une lumière pour comprendre qu'il désire te parler seul à seul. Mais pour l'heure, tu ne peux t'échapper de l'invitation d'Aléron qui te propose de dîner avec lui.

- Vous partirez après le repas pour gagner du temps et arriver au plus vite sur les lieux.

Tu es donc conduite à une chambre où on t'apporte de quoi te rafraichir avant d'aller au dîner. Hélas, au repas, pas d'Orios en vue. Seuls les conseillers du seigneur sont présents autour de la table...

» Airia Porfends
» Sualtam (Partie roleplay).
» Cyprien (partie roleplay).
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