Airia Porfends (Partie roleplay).

A ta question sur où se trouve l'ancien chef du village, les habitants semblent soudain se montrer très mal à l'aise. Beaucoup baisse la tête tandis que d'autres jettent des regards craintifs à l'intendant. Seul un vieillard a le courage de te répondre.

- Il a été chassé de son poste de chef et on a fait en sorte qu'il quitte le village par la même occasion.

Le regard accusateur que le vieil homme lance à l'intendant ne te laisse aucun doute sur le fait qu'il le juge responsable de ce banissement déguisé. Le sire Longuevue, face au regard du villageois, reste parfaitement stoïque. Il ne lui concède qu'un regard emplit de mépris et de condescendance. Il secoue la tête et fait un geste de la main.

- Qu'on ramène ce vieux sénile chez lui. Il ne sait pas de quoi il parle...

Les enfants du vieil homme, effrayés, obéissent à l'intendant et s'empresse d'emmener leur vieux père loin de là. Une jeune adolescente, à moitié cachée derrière toi, profite d'être quasi invisible aux yeux de l'intendant pour te chuchoter.

- N'ayez crainte, ma dame, on va faire ce qu'il faut pour retrouver notre chef de village.

A peine a t-elle parlée que tu suis l'intendant qui rentre au manoir pour ne pas le perdre de vue. Une fois dans la salle, bien à l'abri des oreilles des villageois, tu n'hésites pas à lui faire des reproches bien mérités. Loin de s'excuser, ce dernier te fait face avec aplomb en te fusillant du regard.

- Que je me reprenne ?!? Vous arrivez et sans même connaître ce qui se passe sur ses terres, vous vous permettez de mettre l'autorité qui régit le fief en porte à faux vis à vis de la population. Quand on arrive dans un domaine que l'on ne connait pas, ma dame, on a la sagesse d'attendre d'être mis au courant des tenants et des aboutissants de ce qui s'y passe. Je ne vous ai nullement manquer de respect ! J'ai répondu à vos questions en restant poli alors que vous avez fait en sorte de me dévaloriser aux yeux des gens. C'est la meilleure façon d'affaiblir l'autorité qui doit rester forte vis à vis des habitants du fief.

Alors que le ton monte, un gnome fait son entrée dans la pièce. Cheveux courts blonds, yeux bleus, vêtu d'une robe verte et or, il se montre Interloqué par cette dispute qui se déroule avec une personne qu'il ne connait pas. D'emblée, il tente de calmer le jeu.

- Eh bien, eh bien, que se passe t-il ici ?

Il te regarde et fait une brève révérence.

- La bonne rencontre, ma dame, permettez-moi de me présenter, je suis Périfin Rochépine, le conseiller/archiviste du manoir.

Il fixe alors l'intendant et demande.

- Pourquoi cette dispute, mon cher ?

Borwir te désigne du doigt, l'air buté. Il explique que ton intervention face aux villageois était des plus discutables. Il donne sa version des faits et le gnome l'écoute. Une fois qu'il a terminé, Périfin se tourne à nouveau vers toi et te demande.

- Puis-je avoir votre version de ce qui s'est passé, ma dame ?

Prenant compte des informations des villageois, Airia suivit l'intendant qui l'amena aux manoir. Aussitôt seul, l'insurger ce rebelle de nouveaux en cherchant a se justifier auquel l'avariel lui retorqua:

Justement ! répondit Airia, Je viens a peine d'arriver est votre façon de manager ne me plait guère, il vas falloir la changer! Je viens prendre des nouvelle auprès des villageois qui sont la source même de ces terre, et la première chose que je voix est entend c'est qu'il sont en froids avec Vous! Autre chose, je suis la plus haute l'autorité du fief est les villageois l'ont bien remarquer suite a notre rencontre n'aller pas penser que cela la affaiblie mais plutôt que cela servira dans l'objectif de la renforcer, connaissez vous le principe de la carotte est du baton ? .
Donc maintenant que je suis la je vous écoute! Qu'elle est votre version de l'histoire! Airia semblé ferme est décider mais elle voulait cependant être juste. Sa première journée n'avait pas encore commencer que un de c'est administrateur faisait déjà des sienne justifier ou pas... Puis voulant radoucir quelque peux la situation elle rajouta

Je comprend que vous avez était sans seigneur est du prendre et faire des choix compliquer! Mais je suis la maintenant est nous allons remettre de l'ordre pour faire prospérer ce territoire. C'est maintenant a Moi de prendre les choix est mesure nécessaire! puis radoucissant sa voix finnisa avec bien entendu vos conseille est votre expertise. Ainsi que votre grande expérience

A peine eu t-elle eu le temps de finir que un gnome interloquer par le tumulte de la conversation se présenta est demanda ce qu'il se passait dans l'espoir de calmer la situation.

Airia en toute politesse lui répondit :

Bonjour Mr Rochépine, Je suis Airia Profends la nouvelle gérante de c'est terres sous l'autorité du baron. Puis une fois présenter elle expliqua ainsi de manière douce est posé:

Je viens prendre mon poste dans ce village et j'ai dans l'espoir de le faire prospérer. De ce que j'ai pu voir, les garde font bien leurs travaille, mais je suis en désaccords sur la manière de faire de l'intendant sur l'aptitude qu'il adopte. Les villageois sont l'essence même qui fait marché le village, il faut en prendre soin! Cependant, si l'intendant refuse de prendre les doléances ou qu'il délègue aux garde Zépion de un nous perdons en temps et en perte d'informations ou par sa manière d'agir les intimides pour qu'ils n'est pas a le faires comme j'ai pu le voir....

Le fond de la forme était posait ne restait maintenant plus que a proposer des solutions Puis regardant l'intendant elle lui dit:

Si vous juger facultatif les différente demande des villageois et que cela fait perdre trop de temps , il suffira de nommer un représentant qui s'occupera de classer et de nous les faires remonter cela vous permettra de vous occupé plus efficacement d'autre problème de c'est terres.

Puis s'adressant aux conseiller archiviste :

Et comme vous j'aimerait avoir les deux version de l'histoire et votre facon de voir les chose est amélioration que j'aimerais apporter.

L'intendant ricane avant de te répondre.

- Ma dame, vous apprendrez vite à vous méfiez des dires des villageois. Il sont prompts à vous encenser mais le sont encore plus à vous dénigrez. Ce sont des paresseux qui, s'il ne sont pas sans cesse bousculer, s'arrête de travailler pour un oui ou pour un non. Croyez que j'ai bien tenté la douceur et la compréhension avant de constater combien cela me faisait perdre un temps précieux et des liquidités pour le trésor du fief. Le moindre relâchement et les villageois ne se préoccupe plus que d'eux-mêmes, si fichant bien des taxes à rendre à leur seigneur. Je ne compte plus les menaces de grèves et les manifestations auxquelles j'ai eu droit parce que je réclamais ce qu'ils devaient. Alors, j'ai fini par utiliser la seule chose qui fonctionne avec eux : la sévérité et la crainte.

Il hausse les épaules.

- Cela me rend impopulaire ? La belle affaire ! Que m'importe puisque les résultats sont là : les taxes sont payées et le trésor du fief est revenu à sa normalité.

Il poursuit.

- Vous me demandez de mettre en place une personne pour prendre les doléances et les classer ? Mais c'est exactement ce que j'ai fais en nommant le garde Zépion. Contrairement à ce que semblez penser, il est très compétent et sait me faire un compte rendu précis des demandes des villageois. C'est moi qui lui ai demandé de ne pas me donner des demandes de remises de taxes qui ne cessaient d'inonder mon bureau. Les gens cherchent par tous les moyens à ne pas payer leurs taxes, ma dame, et ils sont prêts à nombre de mensonges pour y parvenir.

Il continue.

- Quand à la perte d'informations, il n'en est rien...

Du doigt il désigne le maître-espion qui te lance un regard peu amène car ton petit discours le fait passer pour un incapable et il n'apprécie pas du tout, même s'il n'en dit rien pour le moment.

- Sans même le connaitre, vous remettez déjà le professionnalisme de sire Dorlinn Dardragon en cause. Je peux vous garantir que grâce à ses bons soins, je suis parfaitement au courant de ce qui se passe au village, ma dame. Mais après tout, vous n'êtes plus à une dénégation prêt, je suppose...

Le ton acide qu'il emploie te montre combien il est vexé de ta façon de juger son travail. Il pince les lèvres et reprend.

- Mais vous avez raison sur un point, ma dame, c'est à vous qu'appartient maintenant de prendre les choses en main et je vous laisse la place sans problème.

Il incline la tête de façon un peu raide et regarde l'archiviste pour savoir ce qu'il pense de tout cela. L'intéressé fronce les sourcils et hoche la tête. Il se détourne de l'intendant pour te fixer et son regard est assez sévère.

- Je comprend qu'aux premiers abords les choix de sire Borwir Longuevue puissent vous paraitre excessifs, ma dame, mais connaissant bien les soucis de gérance du fief, je puis vous certifiez qu'il fait de son mieux et, qu'en effet, la méthode douce ne fonctionne pas. Mais qui sait ? Peut-être que cela fonctionnera mieux avec vous ? Je ne demande qu'à le croire. Ne jugez pas trop vite, de grâce, votre conseil est dévoué et fidèle et désire donner toute satisfaction à votre suzerain, le baron.

Voilà qui a le mérite d'être clair...l'archiviste, plus diplomate, n'en demeure pas moins du côté de l'intendant. Mais pouvais-tu t'attendre à autre chose d'une équipe qui travaille ensemble depuis longtemps ? Les autres membres du conseil te fixent, eux-aussi, avec une certaine froideur prouvant que tes premières paroles ont été plutôt mal accueillies. Ta gouvernance commence fort et te montre que tu vas devoir composer avec ce conseil...ou le changer complètement !

Suite a ces révélations, Airia répondit:

Je ne doute pas de vos compétences! si le baron vous a choisi ce n'est pas pour rien , cependant, je vais proposer une autre méthode pour obtenir une aide mutuelle entre nous est les villageois car les relations humaines je n'en doute pas sont d'un difficiles. J'apporterait une touche de fraicheur est des idées nouvelle.

Puis une fois les chose remis aux calme . en tentant d'apaiser les esprit elle demanda

Bien, mis a part ce conflit avec les villageois, quel sont les ordre du jour ?

L'intendant explique alors le souci à propos des attaques de pérytons sur le fief et la difficulté d'y remédier. Le fait qu'ils agissent de nuit n'aide pas à les éliminer facilement et les pister reste dur puisqu'en vol, ils ne laissent aucune trace au sol.

- Nous savons, bien entendu, qu'ils viennent de la montagne mais celle-ci est vaste et il est compliqué de savoir exactement où se trouve leurs aires. Il faudrait monter une expédition afin de les trouver...

Il grimace.

- Mais cela demande de gros moyens et ce n'est pas simple à mettre en œuvre.

Le maître-espion prend alors la parole.

- J'ai envoyé quelques-uns de mes agents et leurs rapports montrent clairement que ces bêtes ne viennent pas de leur propre chef.

L'intendant hausse les sourcils.

- Tu veux dire qu'elles sont contrôlées ?

Dorlinn Dardragon hoche la tête.

- Oui ! Je ne sais pas encore qui car les gens sont terrifiés et ont plus peur de ce "contrôleur" que de l'autorité du fief. Je soupçonne soit un magicien, soit un druide maléfique voire un shaman d'une tribu montagnarde, qui sait ? En tout cas, il doit avoir des agents cachés parmi la population mais là encore, ce sont des soupçons et je n'ai pas encore de preuves assez concluantes pour désigner une personne précise.

L'intendant reprend la parole pour signaler l'arrivée prochaine de sire Orios Ocrefeuille, héraut du seigneur Aléron de Saulebois, un vassal du baron Qi-lonon Qi-Lo, premier du nom.

- Il vient pour vous présentez les hommages de son seigneur qui a appris votre arrivée sur vos terres.

Le maître-espion a un sourire en coin.

- Pas que pour cela, c'est aussi une façon de voir ce que vous valez. Le seigneur de Saulebois est un homme qui rêve de s'agrandir...et qui n'hésite pas à tester ces voisins pour voir s'ils sont résistants ou non.

Les nouvelles n'était guéret bonnes mais en même temps il fallait s'y attendre...

A l'écoute des évènement qui se déclarait Airia demanda :

Si nous capturons un de ces pérytons nous pourrions tentait de dialoguer avec voir identifier le contrôle si il y en a un. Nous pourrions en savoir plus! Il nous fraudez des filez pour le capturez... ou l'apater dans un pièges... Ils attaquent a combien environ? Ont-ils attaquer certain groupe de maisons? ou plus des entrepôt de nourriture ?ou les champs ? ont-ils une nourriture qu'ils préfèrent ? la jeune Avariel demandait des précision sur certain élément affin de pouvoir fixer un plan un peux plus solide sur ce que elle avait appris déjà Réfléchissant quelque peux elle rajouta :

cela fait longtemps que ses attaque ont lieux ? Avant ma venue ici je me suis arrêter a un hameaux du fief d'a coté ou j'ai apprit que un nécromancien résidait dans une tour est celui-ci avait disparue depuis quelque temps...! Avons nous des informations du hameaux de Min'airia eux qui sont le plus proche des montagnes devrait avoir remarquez quelque chose? Le manque d'informations ne nous aide pas.... Afin de contré cela a l'avenir nous pourrions développez une unité de rodeur et de traqueur charger de surveiller les bois est la montagne...Ils rapporterons ainsi si il y a quelque chose a signaler.

Puis prenant compte de la venue d'un émissaire elle expliqua: Si le seigneur de Saulebois a envie de conquêtes serait-il capable de nous envoyé ces pérytons affin de nous affaiblir et de nous testez ? Ce sire arrive quand ?

A tes questions concernant les pérytons, Brégara te répond.

- Les deux solutions que vous proposez, ma dame, pourraient-être utilisées en même temps. Concevoir un piège avec de quoi appâter la bête et ensuite le capturer grâce à des filets mais il faudra trouver un lieu propice pour avoir la capacité de lancer le filet sur lui par le haut.

Le maître-espion approuve et ajoute.

- Oui, c'est un bonne idée parce que les paysans ont bien tenté d'en capturer un avec des filets mais ces derniers étant lancés du sol, ils n'ont pas réussis à l'avoir. En s'y prenant en hauteur, cela fonctionnera mieux, assurément.

Dorlinn poursuit.

- Cela dépend, ma dame. Des paysans ont fait état de l'attaque d'un seul péryton quand il s'agit d'une seule personne mais de trois lorsqu'ils attaquent un groupe de victimes. Pareil pour les champs ravagés, ils sont toujours au moins trois, quelquefois plus...quatre à six. Je pense que cela doit dépendre de la cible qu'ils ont.

Il précise ses réponses.

- Ils ont tendance à attaquer plutôt des proies mais ravagent également les champs. Par contre, ils n'attaquent pas les maisons ni les granges ou les réserves de nourriture.

A tes questions sur leur nourriture, le maître-espion se tourne vers Périfin, le gnome archiviste. Ce dernier hoche la tête avant de répondre au mieux.

- Eh bien, ils se nourrissent essentiellement du cœur de leurs victimes mais ne rechignent pas à manger le foie de temps à autre. Là où d'autres créatures mangeraient leurs proies complètement et nous donneraient du fil à retordre pour trouver des indices sur le prédateur tueur, les pérytons sont facilement identifiables grâce à cette particularité alimentaire.

A tes autres questions, le maître-espion explique.

- Oui, je connais l'histoire du nécromant de la tour du fief voisin mais sa disparition date de plusieurs années. Non, les attaques de pérytons remontent à la mort du seigneur qui vous a précédé, ma dame, ce qui m'a fait également penser à une possible manœuvre politique d'un des autres seigneurs de la baronnie pour affaiblir votre autorité naissante.

Il grimace.

- Mes agents cherchent en ce sens et je vous tiendrais informer dès que j'aurais des résultats probants, ma dame. Le hameau de Min'airia a été le premier à nous informer des attaques de pérytons. Tout ce qu'ils peuvent en dire, c'est que ces derniers viennent du haut de la montagne.

Ton idée de développer une unité de rôdeurs et de traqueurs chargés de surveiller les bois et la montagne est bien accueillie par tes conseillers qui approuvent tous d'un hochement de tête. Dorlinn sourit avant de dire.

- Une excellente idée, ma dame, je pense que messire Brégara se fera un devoir de mettre cette unité en place.

L'intéressé approuve aussitôt.

- En effet, je vais m'en occuper rapidement !

A tes questions sur le seigneur Aléron De Saulebois, Dorlinn hoche la tête.

- Je dirais que oui, ma dame. Il est le digne héritier de son père pour ce qui est de ses envies d'expansions. Mais si cela vient bien de lui, il sera difficile de le prouver. L'homme est malin et ne se laissera pas découvrir facilement.

Il précise toutefois.

- Mais cela ne veut pas dire qu'il ne sera pas possible de prouver au mieux qu'il est l'instigateur du problème, au pire qu'il en est complice d'une façon ou d'une autre.

Il réfléchit et rajoute.

- Et puis, il y a également les fiefs de la baronnie de Valcœur qui pourraient avoir envie de prendre des terres ailleurs. Cela s'est déjà vu...D'ailleurs le seigneur Dorgon de Suliak, qui a ses terres qui longe celle du seigneur de Saulebois lui a gagné une partie de ses terres. Il a épousé la sœur du seigneur de Saulebois, Valyria, qui lui a apporté sa part d'héritage en terres.

Il hausse les épaules.

- Cela n'aurait pas été possible si feu le père de l'actuel seigneur n'avait pas précisé qu'il donnait une partie des terres à sa fille en héritage. Il est dangereux de partager ses terres entre ses enfants...

L'intendant te précise alors.

- Ce n'est pas le seigneur en personne qui vient vous rendre visite, ma dame, c'est son héraut, sire Orios Ocrefeuille. Il devrait arriver dans deux jours.

Airia acquiesça tout en retenant les informations sur les affaires du jour . Est proposa

Pour prévenir les attaque , il faudrait déployer des garde lorsque les paysans vont au champs aussi en arrivant j'ai vue que une alarme était déjà mit en place. Etablir le même genre d'alarme a certain point stratégique de la ville pourrait signaler d'où le danger intervient est déployer nos homme intelligemment. Aussi il faudra établir des défense car le hameau semble propice a pas mal de danger venant de la montagne...

Réfléchissant ensuite sur autre chose l'avariel demanda au maitre espion:

Serait-il possible celons vous afin de débusquer les potentiel traitre de leur tendre un piège en leur communiquant de fausse informations comme un transaction secrète afin de les poussé a sortir de leur cachette pour les capturer ?

Puis Réfléchissant sur la futur visite elle demanda:

Il faudra faire attention est ce tenir prés l'ors de cette visite, si le seigneur envoie son herault est que celui si subit une attaque des périfon cela pourrait être une excuse pour créer un conflit... C'est créature n'ont pas une plante ou odeur qui les tiendrait éloigner comme un épouvantail ?

Lorsque tu proposes de déployer des gardes pour protéger les paysans, Brégara, le maître d'armes fait grise mine.

- Je n'aurais pas suffisamment de gardes pour cela, ma dame. Le nombre de mes hommes est limité. Je peux déjà en dépêcher deux mais c'est tout. Il me faudra des fonds pour embaucher de nouvelles recrues...

Il jette un regard vers Gumrokir, ta trésorière, qui hoche la tête avant de te fixer pour avoir ton approbation sur ce sujet précis. A ta question sur la possibilité de faire fuir les pérytons avec une plante ou une odeur spécifique, tous se tournent vers Périfin, le gnome archiviste. Celui-ci réfléchit un instant avant de secouer la tête.

- Hélas, je n'ai rien dans notre bibliothèque privée sur le sujet, ma dame.

Il se tourne vers Turial, le prêtre d'Ilmater.

- Tu as quelques connaissances sur le sujet, Turial ?

Le prêtre secoue la tête, lui-aussi.

- Non, malheureusement. Mais...

Il lève un doigt en l'air.

- Il serait bon d'aller consulter la bibliothèque du temple d'Oghma à Cherchetour. S'il y a bien un endroit où trouver ce genre de renseignement c'est là-bas.

Périfin ajoute alors.

- Peut-être sinon aller consulter le cercle druidique de Sylvanus, dans la forêt à la lisière des terres du baron et du seigneur Eridan Mereden ? Il est possible qu'ils puissent nous renseigner sur le sujet.

Borwir acquiesce tout en demandant.

- Mais qui envoyer ? Un messager ne me parait pas la personne la plus à même d'accomplir cette tâche.

Il regarde ses collègues avant de suggérer.

- peut-être vous, mon père ou bien vous, Périfin ?

Tous se tournent vers toi pour savoir qui tu vas désigner pour cette tâche...

A la réponse de Brégara sur l'emploie des effective Airia répondit:

Recrutez de nouveaux garde s'avèrerez utile, d'ailleurs de combien d'homme disposons nous ? nous pourrions aussi entrainer certain villageois pour créer une milice d'auto défense contre les menace extérieur...
Croisant les bras, elle rajouta: Mais avant de prendre certaine décision crucial, j'ai besoin de savoir la trésorerie pour pouvoir allouer aux mieux nos fond ! Finit-el en regardant la trésorière Gumrokir .

De combien de fond disposons nous exactement ? Et a quoi ceux ci sont alloué ? Aux vue des évènement il vas falloir faire des investissements... est faire prospérer l'économie... Peut être il y a des gisement intéressant dans la montagne... Mais il reste les Pérytons qui reste un problème. Avons nous une carte de la région précise ? Ou il reste des lieux encore inexploré dans ces terres?

Ecoutant les suggestion de ces conseillers L'Avariel répondit:

Périfin je pense qu'effectivement qu'aller aux cercle druidique pourrait s'avérer des plus judicieux leur lien avec la faune est la flore pourrait nous en apprendre pas mal sur c'est créature ainsi que sur la région. De plus, peut être apprendrez vous d'autre chose d'intéressant. Je compte sur vous ! Surtout que si nous avons des blesser du a une attaques, Turial pourra soigner les blesser .

Brégara répond à ta question sur le nombre de combattants que possède le fief.

- En me comptant, ma dame, nous ne sommes que 11 combattants. La guerre contre les ogres a fait des ravages. Nous sommes certes victorieux mais cela nous a coûté cher en vies.

Il jette un regard de reproche au trésorier et à l'intendant avant de poursuivre.

- Former et entretenir un combattant n'est pas gratuit et les finances du fief ne semblent pas suffisantes pour en avoir en plus...ou bien les sommes sont allouées à d'autres choses plus importantes. Ce n'est pas faute d'avoir fait des demandes pour renflouer la force armée du fief...

Le trésorier, piqué au vif réplique d'une voix acide.

- Je vous rappelle que nous avons eu deux hivers rudes qui ont duré plus longtemps que d'ordinaire et que les plantations en ont gravement soufferts. Les récoltes ont été mauvaises et il a fallu acheter du blé et des vivres pour éviter la famine.

L'intendant ajoute.

- Sans compter la levée de l'ost qui a coûté cher pour armer les hommes partant au combat. Cela a lourdement appauvri les finances du fief !

Brégara marmonne quelque chose d'inintelligible mais en reste là tandis que Gumrokir énonce les postes de revenus et de dépenses de tes terres.

- Nos revenus viennent essentiellement de la mine de cuivre, ma dame. Le reste est constitué par la vente de cuir brut ou travaillé, de bière, de vins, des taxes et des composantes de sort tirées des Pérytons. Nos dépenses sont surtout dans l'entretien des chemins et ponts du fief, des moulins et de la mine.

Le maître d'armes intervient alors quand tu parles de la création d'une milice.

- Cela fait partie des choses que j'ai déjà proposé, ma dame.

L'intendant pince les lèvres avant de répliquer.

- En effet et cela a été refusé car pour créer une milice, il faut payer !

Il se tourne vers toi avant de continuer.

- Entraîner les paysans est une chose mais leur demander de devenir milicien en plus de leur travail demande une rémunération. Ils sont déjà bien occupés par leur labeur de chaque jour et leur en demander plus demandera une contre partie financière. Ils ne feront pas cela gratuitement.

Le trésorier reprend la parole, ignorant l'interruption de l'intendant et du maître d'armes pour te donner les chiffres que tu demandes :

Dépenses du fief

Train de vie pour le chevalier fieffé : 120 po/mois
Paye d'un conseiller : 14 po/mois soit 98 po/mois pour les 7 conseillers
serviteur qualifié par personne : 9 po/mois (cuisinier, valet de chambre, échanson, homme d'armes) soit 126 po/mois pour 2 cuisiniers, 1 valet, 1 échanson et 10 hommes d'armes.
serviteur non qualifié par personne : 6 po/mois (palefrenier, femmes de ménage, etc...) soit 96 po/mois pour 2 palefreniers, 4 femmes de ménage et 10 autres serviteurs divers.
Entretien de la mine : paye des 40 mineurs, 240 po/mois et entretien des infrastructures, 20 po/mois.
Entretien des chemins, routes et moulins (+ paye des 10 agents d'entretien : 60 po/mois) : 30 po/mois
Entretien des hameaux et du village (paye pour 1 agent d'entretien par hameau et de 2 agents pour le village : 18 po/mois) : 20 po/mois.

Soit un sous-total de 708 po/mois.

Auquel s'ajoute la somme de 94 po pour pallier aux aléas.
L'entretien (fournitures diverses) du manoir de 1000 po/mois
La nourriture des serviteurs de 450 po/mois
La nourriture du seigneur de 24 po/mois
Les dépenses dû aux invités ou aux voyages de 4 po/mois

Total des dépenses du fief : 2280 po/mois

Revenus du fief

Vente de bière : 70 po/mois
Vente de vins : 70 po/mois
Vente de cuir brut : 70 po/mois
Vente de cuir ouvragé : 70 po/mois
Vente de cuivre : 1500 po/mois
Vente de composantes de sort (Pérytons) : 500 po/mois
Taxe hameaux et village : 100 po/mois

Total des revenus : 2380 po/mois soit un bénéfice de 100 po/mois.

Les chiffres sont donner sur les années normales sans soucis particuliers Les deux dernières années ont amenées un déficit de 2500 po qu'il va falloir renflouer. A ta question sur la possible présence d'autres gisements dans la montagne, Périfin hausse les épaules et écarte les mains en signe d'ignorance.

- Je ne saurais vous dire, ma dame. Je suppose que c'est possible, oui, mais nous n'avons jamais fait d'explorations en ce sens. Nos cartes de la région s'arrête à une centaine de mètres au-dessus de la mine. Je sais juste que plus haut résident des tribus gobelines, orques et autres créatures du même genre. Il faudrait monter une expédition pour cartographier le reste de la montagne mais cela demande des personnes expérimentées et motivées.

L'intendant a un sourire en coin.

- Ce qui veut dire qui vont nous coûter cher !

Périfin lance un regard noir à l'intendant tandis que Gumrokir grimace d'avance en imaginant les dépenses à venir. Pour terminer, Périfin te dit qu'il n'y a pas de terres inexplorées sur le fief, hormis la montagne, bien entendu. Lorsque tu décides de l'envoyer, lui, au cercle druidique, il hoche la tête aussitôt.

- Je vais faire préparer mon départ au plus vite, ma dame.

Quand tu parles de Turial et du fait qu'il sera là pour soigner les blessés, il sursaute vivement et te regarde, interloqué.

- Moi ? Mais pourquoi devrais-je me déplacer ? Je suis le prêtre du manoir !

Le bon abbé ne semble pas du tout décidé à aller salir sa bure dans la boue des hameaux. Il ajoute à ce propos, l'air pincé.

- Et puis, il y a le père Mursal pour cela. C'est un prêtre de Chauntéa qui va de hameau en hameau et de fermes en fermes sur le fief. C'est son travail, pas le mien.

Ecoutant tout les retour Airia répondit:

Pour les champs nous pourrions augmenter le nombre est type de légume est céréales produits, Aussi bâtir un entrepôt pourrait éviter des famine futur est devoir acheter a prix d'ors des vivres...Pensez a variez les types de productions et dans faire un roulement afin que les terres ne s'appauvrisse pas est nous entraine dans de mauvaise récolte. Pourrions nous agrandir les champs ?

Les pérytons sont une ressource rare ? pourrions nous en faire un élevage affin d'augmenter les revenue de la trésorerie ? Nous pourrions en faire Mais pour cela nous devons déjà les capturer est peut être les apprivoiser d'où la mission importante d'informations de Périfin.

Puis regardant les dépense est revenue, Airia soumettait quelle que proposition:

Il nous faut agir afin de remonter la trésorerie est de pouvoir investir! Pout cela il faudra faire quelque restriction sur certaine dépense...Et que tout le monde donne du sien!

Nous pourrions faire l'entretien des route un mois sur deux ce qui nous permettra d'allouer des personnes sur d'autre taches est mettre un peux d'argent de coté
Aussi, Spécialiser les Hameaux affin dans tirer une valeur marchande. Si nous ne changeons pas nos méthode est ne nous adaptons pas aux climat est problèmes nous ne pourrions pas avancer .

Je n'aime pas sa mais est-il possible d'emprunter? Sinon, nous vendrons le mobilier décoratif est possiblement les armes récupérer en trop de la guerre cela pourra nous faire un fond. regardant Gumrokir elle rajouta le fond des aléas s'élèvent a combiens ? Je présume qu'il n'est pas fixe est que de l'argent dorme la bas.

Afin de pouvoir mener des projets de tout le monde a bien...

Puis suite aux hésitation de Turial, L'avariel répliqua

Comment sa ? Vous désiriez que les blesser vienne aux manoir pour que vous les soigniez ? cela risque d'être compliquer surtout si les attaque ont lieux aux Hameaux de Min'airia ! Le père Mursal ne sera pas de trop pour aider. Bien sur elle s'attendait a des oppositions mais pour que tout le monde progresse il fallait être ferme est diplomate. C'est aux plus riche de montrait l'exemple est de se seré la ceinture .

Puis Une fois c'est ecplication faire elle attendait un retour des gens présent dans la pièce voir leurs idée , puis demanda a Gumrokir en privé de faire une liste de tout ce qui avait de valeur dans le manoire , elle verrait ensuite de quoi il se séparerez.

L'intendant te lance un regard un tantinet agacé lorsque tu parles de roulement pour ne pas abîmer la terre. Il te répond d'un ton sec.

- Ma dame, ce que vous suggérez, il y a bien longtemps que les paysans le pratiquent. Autant changer régulièrement les céréales et légumes cultivés que les jachères.

Lorsque tu parles d'augmenter la taille des champs, il grimace.

- Cela demandera d'avoir des renforts en terme de mains d’œuvre pour les paysans et donc de les payer ou bien de prévoir de dégager du terrain en rognant sur la forêt afin que ces nouveaux arrivants puissent bâtir des fermes et vivre de leur labeur ce qui risque fort de poser problème avec les druides et les elfes qui y vivent mais qui nous couterait moins cher en argent.

L'idée d'un entrepôt semble avoir l'aval de tous mais Gumrokir, ta trésorière temporise.

- Cela fera un trou dans la trésorerie qui est déjà bien mal en point, ma dame. Ou alors, il va falloir relever les taxes qui sont déjà hautes.

L'intendant lève les yeux au ciel.

- Encore des grognements des paysans en perspective...

Mais hausse les épaules en souriant.

- Enfin, nous sommes habitués, n'est ce pas ?

Quand tu parles d'un élevage de pérytons, tes conseillers te regardent, interloqués. Toutefois, Périfin se gratte la tête en avouant.

- Je ne sais pas s'il est possible d'apprivoiser des pérytons ni même d'en faire l'élevage mais effectivement, je tâcherais de trouver des informations sur le sujet, ma dame.

Ta proposition de faire l'entretien des chemins un mois sur deux semble bien accueillie sauf par l'intendant qui grommelle alors.

- Soit, mais ne venez pas vous plaindre si, après de fortes pluies, les routes se retrouvent impraticables car elles n’auront pas été entretenues comme il faut !

Ton idée de spécialiser les hameaux pour en tirer des valeurs marchandes amène une question : de quelles spécialisations veux-tu parler au juste ? Concernant les armes récupérées durant la guerre, Brégara secoue la tête.

- Toutes les armes ont été récupérées par le baron, ma dame. Quand à vendre le mobilier décoratif...

C'est à la trésorière de poursuivre.

- Vendre le mobilier n'est pas une bonne idée, ma dame. Faire voir à vos hôtes une demeure amoindrie en décorum montrera juste votre pauvreté et celle du fief.

Brégara approuve.

- Elle a raison et cela pourrait donner un signal de faiblesse aux autres seigneurs, ce qui ne serait pas dans notre intérêt.

Le fond des aléas se monte à 200 po, ce qui est peu mais la guerre vient juste de se terminer et c'est donc normal. L'idée de faire un emprunt fait hocher la tête de Gumrokir.

- Oui, ma dame, il est possible d'emprunter au temple de Waukyne de Cherchetour. Il faudra juste s'y rendre...

Le père Turial campe sur ses positions et refuse tout net de quitter le manoir pour se rendre aux hameaux.

- Je suis l'abbé du manoir, ma dame, et en tant que tel attaché à ce lieu. Si j'avais désiré officier dans un hameau, j'aurais brigué un autre poste. J'accepte de soigner ceux que vous ferez venir ici mais je refuse de me rendre dans les hameaux !

La levée de bouclier de tes conseillers a lieu lorsque tu parles de baisser leurs revenus. Cette fois, c'est non tout court et tous sont outrés de ta proposition. L'intendant s'exclame.

- Avoir une pièce d'or de plus qu'un simple employé qualifié ? On a jamais vu cela !

Ils font bloc et tu comprends qu'ils n'ont pas l'intention de céder sur ce point. Que vas-tu faire ? Céder ou bien affirmer ton autorité au risque de tous te les mettre à dos ? La question est, si tu gardes ta proposition, oseront-ils démissionner de leur poste ? La décision t'appartient...

écoutant les retour de ces conseiller Airia répondit:

Je rappelle que nous somme là pour faire prospérer ce territoire! Et qu'il faut savoir faire des concession ! Dit-elle en divisant sa solde personnelle par deux puis elle ajouta : Après, il est tout affait possible que si vous ne voulez pas restait sous ma tutelle de partir.... Laissant l'angoisse est la crainte de s'emparer de certain elle appliqua un discours plus envoutant Mais n'oubliez pas!, je serais récompensez ceux qui serons montrez des résultats.

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diplomatie +13

Si vraiment les conseiller ne voulez pas faire de négociation est bien l'envie de trouvait d'autre conseillier pourrait ce faire savoir... Peut être que un exemple sera nécessaire...

Puis suite aux réticence de l'abbé elle répondit :
Donc vous voulez restez tranquillement aux chaud a être gracieusement payer a ne rien faire ? Peux être que ce fameux Mursal serait bien content de venir ici! finit-elle en lui faisant comprendre que le changement c'est maintenant.

Le mieux, pour que je comprenne bien vos rôle, vos envie , votre envie d'évoluer c'est que vous ayez tous des entretiens avec moi pour que je puiss vous aidez dans vos objectif.

Bien je vous convoquerez plus tard je vais inspecter le village Une fois cette dernier phrases dite, Airia salua l'assemblé est partit aux village voir comment ce comporter les villagoi est ci ceux si avait quelque chose a révéler.

A ton grand étonnement, seuls Périfin et Gumrokir se montrent sensible à ta plaidoirie concernant la baisse de revenus. Les autres restent intraitables. Outré par ton attitude, le père Turial te réplique.

- Je ne suis pas payé à ne rien faire ici, ma dame, et que vous puissiez le croire montre combien vous êtes ignorante des obligations du culte. Je m'occupe des gens du village ainsi que de tout le personnel du manoir tout en n'oubliant pas d'honorer le dieu qui pleure comme il se doit pour l'un de ses prêtres.

Il ricane, hautain, lorsque tu parles de proposer son poste au père Mursal.

- Mais je vous en prie, faites donc. Je doute fort qu'il accepte néanmoins. Les prêtres itinérants le sont par choix pas par obligation, ma dame. Ils n'aiment pas la sédentarité.

Il se lève et secoue la tête.

- Un entretien privé avec vous ne me fera pas changer d'avis mais je me plierais à votre volonté à ce propos.

Il te salue et sort de la pièce, le menton relevé, visiblement offensé. En sortant de la pièce, tu peux sentir les regards réprobateurs de tes conseillers. Il va t'être difficile de mettre en pratique cette coupe salariale sans risquer de perdre tes plus proches collaborateurs. Mais après tout, personne n'est irremplaçable. Seulement, voir partir tes conseillers veut dire en chercher d'autres et cela prend du temps. Laissant là, tes "frondeurs", tu pars visiter le village. Les gens te saluent avec courtoisie et beaucoup de curiosité, surtout les enfants. Tes ailes font sensations et ton allure impressionne le peuple. Globalement, tu sens que tu es bien accueillie par le village, ce qui te rassure u peu après avoir eu maille à partir avec tes conseillers. Au village, tu retrouves le père Euzérion Ferbleu de Heaum et son neveu, le paladin Eric Ferbleu de Heaum qui t'invitent à venir boire une tasse de thé au temple.

- Venez donc prendre une bonne tasse de thé, ma dame, et vous nous direz comment s'est passé votre première rencontre avec vos conseillers.

Aux propos des druides Ssnirr avait répondu dans l’affirmative, il devenait maintenant crucial d’avoir des mages sur le fief et en remerciait Elarion pour cette initiative éclairante ainsi que pour sa ténébreuse et son dévouement pour aller avertir Perceval et Fréon. Il ajoutait de ne pas prendre de risque auprès de la faille et sécuriser l’endroit de toute approche de curieux.

-Les bécasses ont un arôme bien particulier que j’apprécie beaucoup; votre choix était des plus judicieux et je vous en remercie, cette attention me ravit. –

Le temps de prendre le thé puis Ssnirr se signait pour son départ en disant qu’il repasserait par ici à son retour et que d’ici là, de prendre toutes les précautions nécessaires pour empêcher des malheurs venant de la faille.

Il quittait satisfait de la rencontre, ayant trouvé chez les druides et rôdeurs des alliées de choix.

Son voyage était des plus plaisant et réalisait qu’un familier lui manquait. Il était agréable d’avoir auprès de soi un être en permanence. Lui qui depuis sa naissance était solitaire, trouvait que ceci apportait un plus à sa vie.

Arrivé sur les lieux un trio semblait l’attendre, ou le recevoir. Il ne pouvait dire si c’était l’un ou l’autre et peu importait, le principal était qu’il n’avait pas été attaqué. Il se déposait devant eux, mit sa lance lame au sol puis se signait…

- Seigneur Aria Porfends, favorable soit notre rencontre, pour que nos cœurs soient lumière et que nos épées restent au fourreau, je porte la paix dans mes mains et c’est la lumière qui me guide vers vous, qu’une étoile brille sur l’heure de cette rencontre, car c’est une ombre que j’apporte comme nouvelle et aide je viens quémander. Ssnirr Hss’tafi seigneur fieffé voisin de l’est et voici Ténébreuse, la fidèle ami d’Onarion Feuilledesorbier, le grand druide du cercle de pierre de la forêt. Puissions-nous discuter plus amplement, et ce, avec discrétion? Le temps est sombre et l’avenir très, très sombre. –

Il avait abaissé le haut de son corps en refermant ses deux ailes qui lui formait sur les épaules une cape de plumes, son bras gauche retenait sa lance toujours la lame au sol et la main de son bras droit, paume au ciel, semblait vouloir attendre la main de l’Avariel. Le reste de son corps serpentin s’était enroulé sur lui-même ne laissant que l’arrière légèrement distendu. Le corbeau vint se déposer sur son épaule. Le noir de son plumage venait parfaitement se fondre avec les écailles noir verdâtre anthracite du corps du Yuan-ti. L’étoile rouge au centre de son front détonait légèrement sans en être criarde. Son regard froid aux pupilles verticales et son visage sans aucune émotion, ne laissait pas indifférent, mais la posture était celle qui allait avec ses derniers dires. Sa courtoisie ne cachait pas de couteau, mais bien une réelle ouverture de communication.

Airia ne chercher qu'a remonter la pente du territoire est elle savait que seule cette tache était impossible. Seulement dialoguer avec une assembler s'avéra bien plus ardue que prévue... Elle aurait aimer leur loyauté, mais cela se mérite... Il fallait donc réfléchir aux meilleur moyen de nouer de bonne relation avec son conseille... Mettant les rendez vous a plus tard, elle s'aventura en ville....

Retrouvant l'aire de la liberté, du lieux étouffant du manoir, elle se sentais plus a l'aise dehors. Les villageois avait l'aire de l'apprécier est de l'accepter. Cela était un bon point dans la lourde tache d'administre ces terre... Vagabondant a travers les rues, elle tomba sur le père Eurérion est son neveu qui l'invitèrent a boire le thé.

Acceptant l'invitation, la jeune femme répondit:

Et bien... cela aurait pu plus ou moins mieux ce passé.... J'ai commencer a prendre mes fonction est a découvrir diffèrent problème... Mais Certain des conseiller n'ont pas l'aire enclin ou on perdue la motivation de redresser la barre... Mais un problème a la fois! la plus urgent est de réglé le problème des perifons...

Laissant le temps filer aux diffèrent discutions est conseille que pouvait lui prodiguer ces convives, la cloche sonna pour indiquer qu'une présence était a destination du village... Une attaque des Périfons ? ce demanda t'elle... Mais en sortant dehors est de sa vue entrainer a voir aux loin elle pu distinguer deux etre qui se dirigeait vers le village. A son approche, Airia d'un signe de tête calma le paladin qui ne faisait que son devoir...

Les messager n'avait pas l'aire agressif malgré ces origine... Elle en avait entendue parlait du seigneur d'accoté et sa venue et présentation apporta nouvelle , interrogations et suspicions ... Elle avait fort a faire, mais si de sombre présage s'annoncer, créer une amitié est alliance solide avec le seigneur voisin était inestimé.

Airia d'une main amical et ferme, répondit a la salutation de Ssnirr l'invitant a ce redresser et lui répondit :

Bienvenue, seigneur Ssnirr Hss’tafi ,Je suis dame Airia Porfends! Je ne m'attendait pas a votre venue....Je présume que votre déplacement personnel indique l'urgence de la situation... Suivez moi, nous allons vous servir de quoi vous désaltérer de votre voyage est nous parlerons de cette affaire . Ne perdons pas de temps!

La surprise fut de taille. Ssnirr, d’après ce qu’il s’était fait dire à son fief, n’espérait pas vraiment d’aide du fief voisin, même s’il avait osé en demander. Il s’était présenté pour avertir ce dernier qu’une menace de taille était à leur porte avant tout, mais la réaction d’Airia semblait prometteuse. Elle n’avait pas confirmé son aide, par contre sa fougue du moment et son empressement indiquaient que la cause lui tenait à cœur. Un soulagement s’éprit du nécromant et sans attendre suivit le seigneur des lieux.

Il savait que Ténébreuse regardait et écoutait donc en temps réel, Enarion serait mis au courant des développements et pourrait œuvrer en conséquence en temps direct, ce qui n’était pas à négliger.

Hss’tafi aurait pu utiliser son charisme pour influencer le comportement du seigneur Airia, mais n’avait pas voulu le faire, il avait gardé cet atout au cas ou elle n’aurait pas été ouverte à une rencontre et présentement ce n’était pas le cas.

Une fois installé et certain qu’il n’y avait pas d’oreilles indiscrètes, il déballait tout ce qu’il savait de la menace, le nom du commanditaire de cette menace, celui de l’exécutant, la présence des gardes monstrueux, la menace ainsi que la missive donnée, la faille, bien entendu l’aide des druides puis des rôdeurs ainsi que de leurs propositions à trouver des mages pour l’occasion et pour plus tard. Ssnirr ne parlait plus d’aide demandée, mais laissait entendre qu’une association était de mise, et ce, pour l’avenir proche et lointain.

Serait-il écouté et entendu, c’est ce qu’il souhaitait de tout cœur. Il connaissait la faiblesse de demander de l’aide et les dangers associés à une telle demande, mais en avait-il le choix. Avec plus d’expérience, il aurait sans doute fait un autre choix, présentement, c’était pour celui-ci qu’il avait opté. Il sentait une possible ouverture d’Aira Porfends, peut-être était du fait qu’elle semblait comprendre l’urgence et s’empressait de vouloir en parler ou simplement par le fait que d’après les connaissances de Ssnirr au propos des Avariels lui indiquaient qu’ils avaient tout un bon fond d’âme et qu’elle ne chercherait pas à abuser de sa faiblesse, mais bien le contraire, l’appuyer dans l’adversité. Il finit par ajouter avec tout son social qu'il pouvait…

-Sachez dame Aira, j’ai une devise sur les terres que le baron Qi-Ionon Qi-Lo à bien voulu me confier… c’est qu’ensemble nous sommes plus fort, si je suis la paume d’une main et que mes sujets sont les doigts et qu’ensemble nous formons un poing solide, imaginez-vous entre fieffer, main dans la main. La force et le contrôle que nous pourrions avoir sur le territoire pour protéger à bien nos sujets. Car si je viens quérir votre aide Dame Aira, c’est bien pour leur protection et non pour la richesse que je perdrai par suite d’une attaque sur le territoire. J’ai visité les terres, rencontrer les habitants et leurs familles et tout ce qu’ils demandent c’est d’être en sécurité pour élever leurs suites. Un peuple en sécurité est prospère, vaillant et voudra toujours lui-même protéger ce qu’il a acquis avec la sueur de son front, de la souris docile élevée dans la peur et le mépris, ils deviennent des lions protecteurs. Démontrons au baron qu’entre fieffer, nous pouvons nous entraider au lieu de nous entretuer, car en fin de compte, c’est lui qui aura tout à y gagner. –

Ses yeux s’étaient illuminés d’un espoir futur, il avait été franc, sincère honnête et pour s’assurer que son discours avait été entendu comme il le souhaitait, sa langue fourchue vint gouter les sentiments et impressions qu’il avait laissé dans l’esprit des entendeurs présents.

Il attendit patiemment la réponse de sa voisine espérant qu'elle est perçu qu'il avait usé de social et non de tromperie pour arrivé à ses fins, à leurs fins.

Social +6. Plus pour le prêtre et le paladin que pour Aira ; )

Jehans a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 8

Le père Euzérion et son neveu Eric semblent soucieux lorsqu'ils comprennent que la venue du yuan-ti annonce un danger suffisamment sérieux pour qu'il se déplaces en personne afin de demander de l'aide. Lorsqu'il propose d'aller discuter de la chose dans un lieu plus discret, les deux hommes te regardent, Gäyana, afin de savoir s'ils peuvent venir avec vous ou si tu préfères entendre les dires de ton invité seule...

La jeune Avariel indiqua aux père est a son neveu de les accompagner a plusieurs il pourrait avoir plus d'élément a partager en apprenant le danger qui rodaient. Une fois installer aux calme est sans oreille indiscrète, Airia répondit

Sachez messire Ssnirr que si nos domaine et nos gens sont assailli d'un mal, je ferait de mon mieux pour repousser cette menace et l'occire... Même si l'ancienne guerre a laisser pas mal de cicatrice...finit-elle d'un aire sarcastique en pensant a ces conseiller avant de ce reprendre: Mais expliquer moi en détaille qu'elle menace qui veux s'abattre sur ces terres. De quel nature est ce mal ? ... Laissant le temps de répondre elle demanda : Vous avez dit que vous reveniez de chez les druide il me semble je comptait envoyer un de mes conseiller concernant des attaque de périfons sur le territoire...vous en ont-ils touché quelque mots ? concernant des anomalies ?

Cette question posé elle écouta les informations que le sire Ssnir avait a leur dire.

Les premières paroles du seigneur laissaient entendre une possibilité d’une entente entre eux, peut-être même devenir alliée, mais il était encore trop tôt pour en conclure une telle chose. À ses questions Ssnirr répondit intéresser…

-La nature est bien malsaine si l’on se fie aux dires du mage auquel j’ai tenté d’envoyer un message, il m’a rapidement répondu par l‘un des quaggoths en garde tout autour de la faille dernièrement ouverte. Un dénommé Luirlann Manténébreuse, mage des profondeurs, envoyé par le seigneur Morgraskaerxea Oeildefeu de l’Outreterre et m’a spécifiquement dit de quitter si je ne voulais pas subir son courroux. Ils sont venus ici pour conquérir les terres et surement pas que celle que le baron m’a offerte à protéger. -

Il prit un temps puis… - Désolé, les druides ne m’ont pas parlé de périfons, ils m’ont simplement mis en garde contre les quaggoths en place, ces derniers auraient déjà éliminé un druide et un rôdeur. Les bêtes semblent faire le guet autour de la faille nouvellement ouverte. Une recommandation des druides était de trouver des mages au plus tôt… Vous n'auriez pas un ou des mages actifs sur vos terres Dame Airia? Sinon, il faudra aller à la ville pour en quérir quelques-uns et par le fait même avertir le baron de la menace. Qu’en dite-vous Dame?-

Il attendait patient, la réponse de l’avariel ainsi que de ses conseillés.

Les évènement est informations que Ssnirr venait de leur communiquer firent froncer les soucil de l'avariel....Pensante et perplexe... Elle répondit a son interlocuteur:

Voyez vous messire je viens a peine d'arriver aujourd'hui pour prendre place en temps que régente de ces terre... même si je eu un départ assez houleux avec certain de mes conseiller, il seront les plus amènes de pourvoir savoir si des mages demeurent parmis nous... Finissant cette phrases, elle regarda le pére est son neveu si ils avaient quelque choses a rajouter sur ce thème avant de continuer:

Il faudra prévenir le baron... il sera peut être des chose concernant cette affaire...En espérant qu'il ne soit pas déjà au courant est qu'il espérer que nous réglions le problème nous même ... Cela me fait pensé, Pour venir j'jusque ici j'ai traverser les terre est j'ai entendue parler d'un tour de mage d'un nécromant qui aurait disparue...mais cela me parait étranger a notre affaire...Je ferait mon possible pour vous aidez... Nous pourrions les bombardez depuis les hauteur ceux qui protègent le lieux est rebouché le trou avec des pierre .... Mais il faut aussi que je règle le probleme des attaque de périrons sur mon domaine afin de protéger mes gens...

Le père Euzérion te fixe, Airia, d'un air effaré lorsque tu parles de reboucher la faille avec des pierres. Il secoue la tête en disant.

- Mais ma dame, il faudrait des tonnes de pierres pour reboucher une telle faille et des mois de labeur pour les ouvriers. Et puis, je doute que le mage d'outreterre nous laisse faire sans réagir et nous en empêcher.

Eric, son neveu, demande alors.

- Et un mage ne serait-il pas capable de faire venir des pierres d'un autre plan ? J'ai entendu parlé de mage faisant cela pour irriguer des terres arides...

Le père Euzébion réfléchit et se demande à voix haute.

- Oui, c'est fort possible d'où l'urgence de se rendre à la cité pour en parler au baron et trouver rapidement des mages.

Eric lève le doigt et ajoute.

- Ne faudrait-il pas demander l'aide de la dame-seigneur Mérésankh également ? Les terres de notre dame-seigneur jouxte vos terres, seigneur Ssnirr, mais celle de la dame-seigneur Mérésankh aussi. Son aide serait la bienvenue et apporterait des combattants supplémentaires dans la lutte à venir.

Il te fixe, Sniirr, afin de voir ce que tu en penses.

Écoutant la Dame Airia, Ssnirr constatait que tout comme lui, elle venait de prendre poste sur ses terres et trouvait que le moment était parfaitement choisi pour une alliance.

Ses yeux s’ouvrir grand quand il entendit le sujet d’une tour d’un nécromancien disparut; si son faciès était sans émotion, son corps avait un langage et celui-ci se déplaçait en laissant son torse au même endroit. Le nécromant ne voulut dire mot tout de suite, car le moment n’était pas adapté.

Le plus vieux qui accompagnait dame Airia, semblait outré de la recommandation qu’elle venait de mentionner. Le plus jeune, avenant apportait tant qu’a lui, une solution intéressante qui venait confirmer qu’ils devaient avoir des mages à leurs services. Tout du moins, tenter de leur vendre une proposition pour qu’ils puissent avoir leurs services.

Éric apportait à des questionnements sur ses voisins ce qui allait encore une fois dans le sens du Yuan-ti. Il attendit la fin puis ajoutait…

-Un peu comme vous Dame Airia, je suis néophyte dans le service, ayant eu à peine, une demi-journée avec mes conseillés, je trouve rapide cette urgence. Il ne faut pas par contre, le négligé pour la sécurité de nos sujets. Hier justement j’ai demandé que l’on entre en contact direct avec mes voisins pour approcher une demande de rencontre officielle entre nous, si le héraut n’est pas encore ici, je dois conclure qu’il est allé justement chez la dame-seigneur Mérésankh avant de venir ici, du moins, je l’espère. – Il semblait réfléchir puis ajoutait…- Je crains que nous n’ayons pas le choix de nous séparer si l’on veut, rapidement préparer un plan d’attaque contre l’envahisseur. Je vois que vous êtes doté d’un moyen de transport aérien Dame Airia, tout comme moi, pensez-vous qu’il serait judicieux que l’un de nous puisse aller à la cité avertir le baron et en même temps quérir des mages et que l’autre puisse aller avertir la dame-seigneur Mérésankh? Ensuite nous pourrions tous nous rejoindre à mon hameau la Métairie ou directement au cercle des druides. Plus tôt nous serons tous sur place, mieux ce sera, le temps joue contre nous, j’en ai bien peur. Une plaie doit être cautérisée au plus tôt, si l’on ne veut pas que la gangrène se propage, sinon c’est l’amputation. -

Sa curiosité plus forte que sa sagesse l’emportait puis il ajoutait interrogatif… - Cette tour, dame Airia, elle est sur vos terres? –

Encore une fois son corps se tortillait laissant son torse bien fixe. Sa langue fourchue sortie plusieurs fois; comme si le Yuan-ti gouterait à la vérité, au mensonge ou à la fourberie.

Il attendait patient, la réponse de Dame Airia.

La dame Airia écouta les propositions du père est de son neveux... L'aide d'un mage ou de plusieur serait fort utile mais ceux ci chercherait peut être rémunérait pour leur aide a alors que les caisse cherché déjas a ce renflouer... Elle répondit :

Il est sur que ce problème nous concerne tous, il nous faut les contactez! ... D'aillieur il me semble que d'ici deux jour je recevrait la visite de Sire Orios Ocrefeuille le héraut d'Aléron de Saulebois Il pourrait peut etre nous aider meme si j'ai plutot entendu dire qu'il cherchait a étendre son domaine en prenant celui des autres... Je ne sais pas combien de temps dure le voyage car je ne pense pas pouvoir ignorer cette visite . Je pourrait toutefois écrire une missive a dame seigneur Mèrésankh pendant que vous alliez cherchiez les mages.. l'idéal est de nous rejoindre aux plus prés du lieux a agir...

Ce problème concernait indirectement c'est terre mais en venant en aide aux autre elle espérait que ceux ci l'aide en retour... Pour ce qui concernait la tour elle répondit :

La tour ? non, elle n'est pas sur mes terre, elle ce trouve chez mon voisin a l'ouest

» Airia Porfends
» Sualtam (Partie roleplay).
» Cyprien (partie roleplay).
» Varn (Partie roleplay).
» Mithras (Partie roleplay).