Airia Porfends (Partie roleplay).

Le paladin-juge prend congé et Périfin le raccompagne avant de revenir vers toi.

- L'entretien préliminaire ne s'est pas trop mal passé, je trouve. Votre talent diplomatique a permi d'éviter qu'il ne se montre trop dur envers vous et c'est tant mieux. Nous avons deux dizaines pour préparer votre défense, seigneur-dame, et je vais de ce pas trouver un avocat et faire fouiller le moindre recoin du bureau et des appartements de votre intendant pour tenter d'y trouver des preuves de ses méfaits. Pour l'heure, vous devriez vous préoccupez de votre futur départ pour la tour, ne pensez-vous pas ?

L'aplomb de ton conseiller est rassurant. Il semble très confiant dans le fait que ton excès de zèle ne soit pas trop durement puni par la justice et veut te le faire comprendre. Il te demande.

- Puis-je vous sugérez d'écrire une missive au seigneur Ssnirr, finalement ? Je sais bien qu'Olara va partir d'ici quelques instants mais peut-être vaut-il mieux assurer nos arrières en envoyant un corbeau ? Avant l'arrivée du paladin-juge, je ne savais pas si vous auriez le temps de l'écrire mais vu le délai qu'il vous laisse, il serait préférable de choisir cette solution supplémentaire pour le cas où Olara subirait un retard intempestif.

Il te sourit, rassuré de savoir que le procès n'aura pas lieu tout de suite. Il attend ta décision avant de vaquer à ses occupations. Qu'il est bon de voir qu'un de tes proches collaborateurs, au moins, t'es loyal et fait son possible pour te servir au mieux de tes intérêts sans penser à ses petits profits personnels avant tout. Cela te fait penser qu'il serait bon d'avoir une conversation avec ton maître-espion afin de savoir ce qu'il en est de la loyauté de tes autres serviteurs importants. S'il y a bien quelqu'un qui doit être au courant de ce genre de chose, c'est bien lui !

Elle répondit a Périfins en acquiesçant:

Oui, je vous fait confiance est je compte sur vous finit-elle d'un sourire de reconnaissance. Dans ce monde, ou il était compliquer de ce faire entendre et comprise elle voyait enfin un allier fidèle est sincère qui avait les même objectif de faire prospérer le domaine par son intermédiaire.

Oui ! répondit-elle en ce mettant a introduire une lettre d'invitation aux Seignieur Snnir pour l'exploration de la tour Puis une fois terminer et envoyez, elle allait pouvoir reprendre ce que elle avait jadis voulut entreprendre en approchant sa relations avec les conseiller avec qui elle travailler. Et qui de mieux placer pour en apprendre plus que le maitre espions. Elle demanda donc a le faire venir .

A ta demande, Dorlinn Dardragon vient de retrouver dans la salle du conseil afin de s'entretenir avec toi. Lorsque tu lui propose de te faire un topo sur les différents membres de ton conseil, ton maître-espion s'execute. Il parle d''une voix posée, parfaitement neutre...une attitude parfaite pour sa fonction. Il commence par ton défunt conseiller, Borwir Longuevue, qui continue à te pourrir la vie, même mort.

- C'était un semi-elfe très ambitieux qui ne vivait que pour briguer la place de seigneur du fief. Il n'aurait eu de cesse de conspirer afin d'assouvir son rêve de pouvoir. Il est issu de la famille Longuevue, des elfes de la forêt faisant partie de la petite noblesse elfique. Les longuevue sont un clan qui respecte la justice et qui se conforteront à la décision que prendra le paladin-juge. Ils ne tenteront jamais de vous nuire pour la mort de votre intendant. Il n'en va pas de même pour la famille humaine du sire Longuevue, les Nobletour. Borwir était très proches de ses petits-cousins, Artérius et Bolomir Nobletour, des humains de 50 et 48 ans. C'est d'eux qu'il faudra vous méfiez car ils n'hésiteront pas à vouloir venger la mort de leur cousin elfique. Borwir n'était pas marié mais il était fiancé depuis peu à la damoiselle Zéléna Pourprelame. Le père de la damoiselle, messire Galiente Pourprelame risque fort de vous en vouloir d'avoir "empêché" sa fille de faire un bon mariage.

Il poursuit avec ton maître d'armes, Brégara Lancedorée.

- Votre maître d'armes est un homme dur au caractère bien trempé qui n'hésite pas à dire ce qu'il pense. C'est un homme de valeur qui aime son travail. S'il n'est pas d'accord avec vous, il vous le dira. C'est un soldat dans l'âme et, pour lui, l'obéissance aux ordres est primordiale c'est pourquoi il n'a jamais voulu se dresser contre la tyrannie de votre intendant. Cela aurait été de la trahison et jamais il ne se résoudra à une telle bassesse...même si cela implique de fermer les yeux sur l'injustice. Si le fief était réellement mis en danger par votre attitude, se rebellerait-il contre vous ? Possible...pour l'heure, je ne peux en dire plus, faute d'informations fiables. Il est surveillé par deux de mes hommes qui se relaient nuit et jour à ce poste.

Il a un bref sourire.

- Je préfère prévenir que guérir...

Il continue avec ton héraut, dame Olara Vivelune.

- Dame Olora est une femme de conviction qui est née dans la partie de la forêt de votre fief. Sa famille est une famille de diplomate. Son père, Soril Vivelune est médiateur entre les diverses races vivant dans la forêt de votre fief. Sa mère, une humaine, dame Régina Grandesouche, est une rôdeuse qui surveille la forêt pour les druides. Elle est veuve depuis deux ans. Son époux est mort lors de la guerre des ogres et son fils, âgé de 4 ans a été tué et dévoré par un ogre qui l'avait laissé pour morte. Une fois remise de ses blessures, elle l'a pourchassé jusque dans la montagne et l'a tué pour venger la mort de son enfant. C'est une femme qui aime son métier et qui le fait bien. Elle est intelligente et persévérante tout en pouvant se montrer impitoyable. C'est un excellent héraut qui fera passer le bien du fief avant tout. Pourrait-elle vous trahir ? Je ne le pense pas.

Il passe ensuite à ta trésorière, la naine Gumrokir Hachenoire.

- C'est une personne qui aime les chiffres et passe l'essentiel de son temps le nez collé dans ses parchemins de comptabilité. Elle est tatillonne pour le moindre sou et votre intendant grinçait des dents à chaque fois qu'il devait prélever de l'argent dans les coffres. Mais elle est honnête et son grand plaisir est d'avoir des comptes justes. Avec elle, vous n'aurez aucun risque de voir l'argent du fief disparaitre de son fait. Elle n'aimait pas l'intendant mais lui devait obéissance en l'absence d'un seigneur. Elle est veuve, son mari est mort lors de la guerre des ogres. Elle a un petit garçon de 10 ans, Guronn. Vous pouvez avoir confiance en elle, je pense.

Vient le cas du père Turial Eauvive et là, le maître-espion est plus dur.

- Le père Turial est un prêtre qui pense d'abord à son petit confort. Il n'aime pas sortir du manoir, se considère comme un notable et, de ce fait, ne se voit pas se mêler à la populace. Il est voué au service du seigneur et de sa famille et par obligation plus que par vocation, à celui des serviteurs du manoir. Il est rémunéré par le seigneur mais demande compensation pour soigner les serviteurs. Il en a le droit par un décret du précédent seigneur pour peu que les biens reçus soient ensuite donnés aux pauvres. Après vérification, les indigents de votre fief n'ont pas souvent l'occasion de voir la couleur de ses biens. De temps à autre, pour donne le change, il fait quelques dons mais il se garde la plus grosse part. C'est un comédien qui sait montrer aux gens un aspect de bonhommie qu'il est loin d'avoir. Il arrive ainsi à manipuler les gens et à rester plus ou moins dans leurs bonnes grâces. Souvent, j'en ai discuté avec Gumrokir qui est outrée de son attitude qui est indigne d'un prêtre d'Ilmater. Malheureusement, il est aussi parent du grand-prêtre de la baronnie qui le couvre.

Il renifle, montrant ainsi son mépris.

- Je pense que le grand-prêtre doit être aussi pourri que lui mais qu'il le cache mieux ! Le père Turial n'est pas marié...

il a un bref sourire.

- Cela ne m'étonne guère car une épouse impliquerait d'être constamment sous son regard, ce qu'il ne désire sûrement pas vu ses petites magouilles financières. A moins de réussir à trouver une harpie aussi avide que lui pour l'argent ce qui n'est certes pas rare mais qui demande de se montrer sous son véritable jour, chose qu'il n'osera pas faire de peur d'être dénoncé. Il se rend de temps en temps à la capitale, officiellement pour rendre des comptes au grand-prêtre de la cité, officieusement pour fréquenter le bordel. Il est méfiant même avec les catins qu'il choisit et se garde bien de prendre les mêmes. Il change régulièrement de maison close et se déguise plus ou moins pour passer le plus inaperçu possible. Nul doute qu'il vous trahira à la moindre proposition financière ou poste plus avantageux qu'on pourrait lui proposer. Malgré toutes ces informations, le faire partir sera délicat vu son parent et ses contacts influents.

Enfin, il termine par Périfin.

- Votre conseiller archivite, Périfin Rochépine, est un gnome intègre, loyal et dévoué au fief. C'est un gnome de confiance qui est sérieux, travailleur et souvent de bon conseil. Vous pouvez vous fiez à lui. De tous, c'est celui en qui j'ai toute confiance. Jamais il ne trahira son seigneur ni le fief, même au risque d'y perdre la vie. Il est veuf depuis 20 ans et a deux enfants, Périne, qui travaille à la cité comme avouée et son fils, Narifin, copiste à la bibliothèque d'Oghma de la cité. Etonnament, pour un gnome, il n'a guère le sens de la facétie. Il est souvent très sérieux mais reste un bon compagnon de réjouissances occasionnel.

Il sourit avant d'ajouter.

- Quant à moi, j'aime mon métier et je le fais de mon mieux. Je suis fidèle au seigneur du fief et vous pourrez le constatez avec le temps.

Voilà qui te renseigne plutôt bien sur tes conseillers. A toi de voir pour éventuellement les changer mais, encore une fois, Dorlinn te mets en garde afin d'agir avec doigté pour ne pas te faire d'ennemis qui n'auront de cesse de te faire payer tes actions. Le monde politique chez les humains est vraiment une jungle sans pitié...

Airia écouta le rapport de son maitre espion qui s'avéra riche de moult information... aussi intéressante que dangereuse. Son présentiment et ressentie envers son ex intendant s'avéra décisif même si la manière de faire n'était pas aux gout de tout le monde ...

Vue les agissement Borwir, il est fort possible que vous ayez déjà un dossier sur lui !? J'aimerait que vous regroupez ses document avec ceux de Périfins Dans l'affaire qui me concerne. Rassurez par ces propos comme quoi la famille se pliera aux jugement du juge, l'avariel fronce les sourcil quand il est mention de sa famille humaine qui programmerait une vengeance plus personnel... Il faudra surveiller leurs agissement! D'ailleurs l'intendant n'avez pas un apprentie ? il fait partie de leurs famille ? Puis regardant son maitre espion et plissant les yeux : mais cela est peut être déjà fait !? ... Visiblement, il était bien informez, peut etre qu'il avait aussi d'autre corde a sont arc..

Quand a se messire Galiente il ne faudrait pas qu'ils salie a eux... nous pouvons peut être lui trouvez un autre prétendant pour sa fille ... Ce Galeinte que fait -il ? et-il riche ? a des terres ? avez vous des idées de prétendant ? Ce questions avez pour bute de tester Dorlinn, elle voulait voir si il avait anticiper les quelque question facile que Airia aurait fatalement poser..

Après les potentiel réponse elle demanda sur un autre sujet:

Bien, concernant Brégara qui est partie protéger la population des attaque de périfons, il a l'aire d'être un guerrier juste, il faudra que j'ai une conversation avec lui lors de son retour. Je verrai pour qu'il se fit un peux plus a son instincts de justice que des ordres arbitraire, le seignieurs n'est rien sans personne a gouverner... Une obéissance aveugle peux être aussi bon que dangereux mal employer...

De sa première rencontre avec Olara, c'elle si semblait dévouer a sa cause est ces grande connaissance seront utile pour le fief. Une fois sa mission fini en apprendre un peux plus sur elle est ses objectif personnel seront un plus pour gagner sa fidélité et son amitié.

Gumrokir était en quelque un résistant qui a sa manière s'était battue contre l'intendant et ses agissement douteux. Il faudra la faire venir pour discuter avec elle et voir pour la récompenser et de ce que elle pense est envisage pour le redressement économique du fief... lui parler du festival na risque pas de la mettre de bonne humeur mais cela sera un bien pour un mal.

Vient venue de discuter de Turial... Et ses première impression de lui vinrent s'accorder a ce que son maitre espion disait de lui. Et le prête semblait bien abuser de sa position et de ses pouvoirs ... Et cela ne plaisait pas a Airia elle demanda ? Comment cela un décret ? Il faudra l'annuler ou le rendre caducs via un autre décret du domaine ... Et si il pose vraiment problème nous aviserons sur les moyens a employer... Mais son dieux ou son église apprécie ses pratique malgré ses relations?...Nous pourrions envisager de le marier a la fille de Galiente. dit-elle en plaisantant.

Périfins avait quand a lui plutôt prouver sa loyauté et son dévouement a Airia un allié fidèle a qui il fallait entretenir de bonne relation.

Puis viens de parler de Dorlinn a qui elle repondit:

Je n'en doute pas ! J'ai de grand espoir en vous !

A ta question de savoir s'il a déjà un dossier sur Borwir, Dorlinn acquiesce.

- En effet, dame-seigneur, j'en ai bien un et une copie vous sera fourni sans aucun problème.

Quand tu le questionne concernant l'apprenti de feu ton conseiller, ton maître-espion hoche à nouveau la tête.

- Si, un jeune garçon de 11 ans, Benedict Noblecour, le petit-fils de messire Bolomir Nobletour. Pour l'heure, vous n'avez rien à craindre de ce gamin qui n'aime pas du tout le métier de conseiller et n'est heureux que lorsqu'il lit des livres ou écrit. L'enfant aimerait beaucoup entrer au service d'Oghma mais sa famille s'y refuse. Pour eux, devenir prêtre d'Oghma n'est pas assez prestigieux et tant pis si c'est la vocation du petit...

Il hausse les épaules avant de poursuivre.

- Ce n'est pas ce qui manque les prétendants pour la damoiselle Zéléna Pourprelame. Hélas, aucun n'a les faveurs de son père qui voyait en cette union avec Borwir une montée certaine du prestige de sa famille. Pour vous répondre au sujet de messire Pourprelune, oui, il a des terres agricoles et un élevage de cailles réputé. Il a donc un joli patrimoine et de bons revenus. Bien entendu, avoir comme gendre un semi-elfe est toujours un atout car c'est entrer par ce mariage dans une lignée elfique. Il sera difficile de lui trouver aussi bien...

Quand tu lui demande pour le décret, il hoche la tête et t'explique.

- Oui, le précédent seigneur lui a accordé de se faire rémunérer en plus car officiellement, sa fonction est de ne s'occuper que du seigneur en place et de sa famille proche.

Il précise "proche" afin de bien te faire comprendre que faire passer les serviteurs du manoir comme plus ou moins de la famille ne fonctionnera pas.

- Les serviteurs sont donc obligés de le rémunérer pour ses services.

Quand tu parles de casser le décret promulgué par ton prédécesseur, Dorlinn secoue la tête.

- Cela sera plus difficile que vous ne le pensez, dame-seigneur. Le futé a fait faire copie de ce décret et s'est empressé de l'envoyer à la cité pour les archives du temple d'Ilmater. Si vous désirez annulé ce décret, il vous faudra vous rendre au temple de la cité afin d'en référer au grand-prêtre. Si vous êtes celle qui paie pour avoir les services du père Turial, vous n'avez aucun droit de l'obliger à travailler pour quelqu'un d'autre. Seul le grand-prêtre a ce pouvoir.

Il lève un doigt en l'air.

- Par contre, vous pouvez tout à fait licencier le père Turial pour choisir un autre prêtre à sa place. Cela, vous en avez parfaitement le droit.

Il hausse les épaules.

- Evidemment, ce faisant, vous vous attirerez l'inimitié du père Turial et celle du grand-prêtre du temple de la cité.

Quand tu lui propose de marier le père Turial à la damoiselle Pourprelune, ton maître-espion glousse.

- Je doute fort que la damoiselle goûte le plaisir de se voir mariée à un vieillard de 60 ans.

Il secoue la tête.

- non, il n'y aurait aucun prestige à récolter d'une telle alliance. N'oubliez pas que le prestige est très important au Téthyr, dame-seigneur.

Il te propose une autre solution.

- Pour l'heure, vous n'avez pas de chevalier sans terre sous vos ordres mais cela pourrait changer. Si la damoiselle Pourprelune venait à s'unir à un chevalier, cela ne pourrait que plaire à sa famille. Pensez donc, le chevalier pourrait plus tard devenir comme vous, chevalier fieffé et cela ferait grimper le prestige de la famille Pourprelune en flèche !

Il te sourit brièvement.

- Pensez-y, cela peut-être une solution.

Il termine en te disant.

- Les moeurs légères du père Turial ne sont, hélas, pas un motif de renvoi si vous pensiez utilisé ce travers contre lui. A partir du moment où il fréquente les maisons closes et s'acquitte du prix à payer et qu'il ne le fait pas trop souvent, le clergé le tolère. Après tout, les prêtres sont des hommes avec des besoins comme les autres. Mieux vaut qu'ils les assouvissent ainsi plutôt qu'ils ne s'en prennent à d'innocentes jeunes villageoises...

Il te sourit à nouveau lorsque tu lui dit fonder de grands espoirs en lui.

- Merci dame-seigneur. Si vous avez besoin de moi, je suis à votre service.

il S'incline pour te saluer et sort. Cette fois, Périfin n'entre pas dans la pièce. Le gnome est déjà bien occupé par les préparatifs de l'expédition à venir. Par contre, un serviteur entre afin de te demande si tu as besoin de quelque chose. C'est un jeune garçon d'une dizaine d'années à la peau noire, aux cheveux frisés noirs de jais et aux yeux bleus magnifiques. Le bambin s'incline bien bas et attend de savoir s'il peut t'être utile...

Son entretien avec son maitre espion Dorlinn fut des plus fluctueuse. En apprendre plus sur c'est conseiller permettrait de mieux savoir a qui ce fié. Elle permettait de mettre en lumière ces ennemie potentiel. Affin de ce prémunir de leur agissement en fonction de ses choix, ses ambitions de gérer le domaine sous une idéologie constructive et pérenne, elle ce devait d'agir pour son bien.

Il faudra peut être voir pour discuter avec ce Benedict Noblecourt... Si sont rêve et de devenir prête D'Oghma il faut le pousser a le devenir. On ne fait jamais rien de mieux que ce que ont aime faire …Plutôt que d'être pousser dans une voix avec réticence...

Trouver et recruter un chevalier ne sera pas chose aisée ... D'ailleurs, Je devrai peut être obliger le Père Turial a venir en expéditions... il pourrait ce montrait utile si il daigne venir...

Mais a réfléchir , elle aperçue que une jeune garçon était là était présent prés a prendre service.

Bonjour d'une voix angélique entame l'avariel Qui es tu ? Surement un des nombreux serviteur du manoir mes s'était le premier qui avait le courage de ce présenter devant elle, enfin il faut dire aussi qu'elle n'avait pas séjourner longtemps au manoir. Peux tu m'apporter de quoi prendre une tasse de thé ? est quelque gâteaux ? Il restait un enfant mais il avait peut etre des demande particulière.

A ta question, le gamin te répond.

- Je suis Assane Lianeverte, dame-seigneur, le fils de votre majordome.

Il te sourit, rassuré devant ton air aimable et hoche vivement la tête lorsque tu lui demande de t'apporter du thé et des gâteaux.

- Tout de suite !

Il repart et referme la porte, te laissant seule dans la pièce. Qu'il est bon d'avoir quelques instants de paix avant que tes obligations ne reprennent du service. Pendant l'absence d'Assane, tu réfléchis à la possibilité d'emmener le père Turial avec toi. Officiellement, étant à ton service, il ne pourrait refuser de t'accompagner même si tu te doutes qu'il tentera par tous les moyens de ne pas quitter son petit confort quotidien. L'embarquer avec toi te permettrait d'avoir un soigneur à disposition, ce qui dans la mission d'exploration à venir ne serait pas du luxe. Elle te permettrait également de jauger le personnage afin de déterminer si tu peux le changer ou s'il est irrémédiablement perdu pour tes objectifs. Alors que tu t'interroge encore, la porte s'ouvre à nouveau sur Assane qui pousse un petit chariot contenant tout le nécessaire que tu as demandé. Voyant l'enfant préparer la table pour ton petit encas, tu te demande si le bambin ne pourrait te donner son avis sur le prêtre. Après tout, il vit dans le manoir depuis sa naissance et doit bien connaitre les gens qui y vivent. Et puis, il n'y a pas plus curieux qu'un enfant donc, il doit en avoir vu et entendu pas mal...

Airia écouta le jeune garçon et lui tendant un gâteaux pour le remercier et l'invitant a partager le gouter .

Puis elle lui demanda:

Tu te plait bien ici mon garçon ? Je n'ai pas souvenir d'avoir pu rencontrer ton père ... Il faut dire avec tou ce qui s'est passer je n'est pas eu le temps de rencontrer tout le monde ici ...Je me demande comment il est... Tu l'aides dans son travaille ? Elle posait des question plutôt utile pour au fur a mesure engager la conversation sur ce qui pouvait l'intéresser plus..

Tu doit connaitre pas mal de monde du coup, si tu viens souvent ici pour aider ton père...Que pense tu des gens qui travaille ici Demandant une réponse simple vague elle demanda plus précisément ensuite Tiens que pense tu du Père Turial? j'envisage de l'emmener en expéditions pour qu'il puisse nous aider lors de ma prochaine missions...Mais j n'ai pas le sentiment que cela l'enchanterait

Assane prend le gâteau et le mange avec plaisir, heureux de se voir traiter aussi bien par le nouveau seigneur des lieux. Il te remercie et, mis en confiance, il répond à tes questions sans méfiance aucune.

- Oh oui, seigneur-dame, je me plais beaucoup ! Je travaille dur pour que mon père soit fier de moi.

Il sourit, visiblement rendre son père fier de lui est son désir le plus cher...ce qu iest souvent le cas de tous les enfants. A ta question sur comment est son père, il grimace et te dis.

- Il est dur mais c'est parce qu'il veut que tout soit fait comme il faut, vous comprenez ? Il ne laisse rien passer et n'hésite pas à punir ceux qui flemmardent. Il m'a demandé de commencé par le bas, comme il dit, c'est à dire comme lui a commencé. Il était simple serviteur, comme je le suis. Je fais de mon mieux pour accomplir mes tâches comme il faut mais je fais pas mal d'erreurs et je suis souvent puni...

Tu saisis mieux pourquoi il a grimacé lorsque tu lui as demandé comment était son père. Ubakar Lianeverte semble ne pas être un homme commode mais en tout cas, il prend son emploi très à coeur ce qui est une bonne chose pour la bonne marche du manoir. A savoir s'il n'abuse pas trop de son autorité...Cela reste à voir avec le personnel ou à demander à ton maître-espion qui doit-être au courant de ce qui se passe dans le manoir. Quand tu lui demande s'il connait beaucoup de monde ici, il hoche la tête.

- Ben oui, je suis né ici, dans la chambre de mes parents alors forcément, je connais tout le monde !

Ta question sur ce qu'il pense des gens du manoir est trop vaste et demanderait à ce que tu puisses l'interroger plus précisément sur telle ou telle personne mais il te répond quand même.

- Oh la plupart sont très gentils...

Ce qui implique que d'autres ne le sont pas ou en tout cas, pas aux yeux de l'enfant. voilà un sujet qu'il serait peut-être bon d'approfondir mais, pour l'heure, le bambin continue à répondre à ce que tu lui demande. Il glousse quand tu évoques le fait d'emmener avec toi le père Turial.

- Oh ben, il va pas aimer, ça c'est sûr ! Il aime pas sortir du manoir de toue façon, sauf quand c'est pour aller à une réception chez des nobles ou pour aller à la cité.

Il regarde la porte, craignant sans doute d'être entendu, avant de poursuivre, un ton plus bas.

- Il est pas très gentil, le père Turial, en fait. Il prend cher pour aider les gens même s'il sait qu'ils ont pas les moyens de payer beaucoup.

Son regard se fait rancunier.

- C'est pas juste mais il s'en fiche et n'arrête pas de dire que l'aide d'Ilmater vaut bien quelques sacrifices, pfff...il en fait, lui, des sacrifices ?

Se rappelant soudain à qui il parle, il rougit et met sa main devant sa bouche avant de baisser les yeux.

- Oh...euh...désolé. Je devrais pas dire du mal des autres, c'est pas bien.

Son air penaud est tellement mignon qu'il ferait craquer n'importe qui. Ah les enfants...

Airia écouta avec attention est gentillesse les dires de l'enfant, prenant son thé, elle lui répondit : Je suis fière de toi . Continue comme sa a bien travailler est aider ton père est un jour tu pourra a ta mesure rendre service a tout le village.

Laissant la féliciter le recueillir pour le rendre plus ouvert elle demanda :

Je pense qu'il sont tous gentil a leur manière... Mais certain le serait moins que d'autre ? Comme le père Turial ? espérant recueillir des noms, elle rajouta Je demanderai au Père Turial de m'accompagner c'est une mission dangereuse et j'ai besoin de ses soin pour augmenter nos chances de réussites. J'espère le faire changer de mentalité et venir en aide aux plus démunie

Puis laissant le petit finir de manger son biscuit, elle finnisa par un sourire angélique:

Cette discutions sera notre petit secret, je pense que tu devrait retourner travailler je ne veux pas que tu soit puni ...Voulant lui laisser une bonne impression, elle espérait faire changer la mauvaise image d'elle du village.

ton compliment rend l'enfant très heureux et fier du travail qu'il fait.

- Je l'espère, dame-seigneur, je l'espère. Me rendre utile, c'est ce que je veux.

Tu amadoues le bambin qui, en confiance, te livre les noms des "obligés" du père Turial.

- Y a Mélia Painblanc, la cuisinière, qui a dû payer 3 po pour que le père soigne Will, son petit garçon de 5 ans. Il avait attrapé une bronchite qui ne se soignait pas.

Il fait une moue dépitée.

- Mélia a eu du mal à réunir la somme. Elle a dû emprunter des sous à l'usurier du village.

La réponse de l'enfant te fait découvrir qu'il y a un usurier dans le village, chose que tu ignorais jusque là. Il poursuit en dévoilant encore des noms.

- Y a aussi Lukass Graindoré, un des palfreniers, qui a eu des côtes cassées lorsqu'un cheval mal débourré a rué et l'a envoyé bouler à plusieurs mètres. Le père turial lui a réclamé 5 pièces d'or pour guérir ses côtes. Lukass a dû vendre son âne pour pouvoir payer.

Assane a l'air malheureux et ajoute.

- C'était un vieil âne qu'il aimait beaucoup parce qu'il lui venait de son père...

Il baisse la tête avant de poursuivre.

- Y a Ofélia Fleurdété, la femme de ménage, qui a dû se séparer de la petite médaille en forme de rose en argent qu'elle tenait de sa grand-mère pour payer les soins dont elle avait besoin pour récupérer d'une grave maladie.

Une petite médaille en argent...au bas mot, cela doit bien valoir une dizaine de pièces d'or voire plus selon la grosseur du bijou. Effectivement, le père turial fait payer très cher ses prestations...quand tu dis à Assane que tu espères changer la mentalité du père Turial, le gamin te lance un regard sceptique.

- J'y crois pas trop à son changement, dame-seigneur. C'est un méchant homme et j'pense pas qu'il voudra s'améliorer de ce côté-là.

La désillusion de l'enfant fait peine à voir. C'est toujours poignant de voir l'innocence enfantine détruite par l'attitude égoïste des adultes. Tu termines ton petit interrogatoire et tu laisses Assane repartir. Tu vois à son regard qu'il a apprécié cet entretien avec toi. A ses yeux, que la dame-seigneur ai daigné lui parler est un grand privilège et c'est certain qu'à ses yeux, au moins, tu as fait bonne impression. Il est clair qu'il dira autour de lui que tu es un seigneur accessible qui n'hésite pas à discuter avec le petit personnel. Un bon début pour redorer un peu ta réputation mais il faudra poursuivre pour que ton peuple te voit avec plus de bienveillance...

Airia comprend que le père a depuis un moment échanger sa foi pour soigner autrui contre de l'ors sonnante et trébuchante... Il est sur que les pauvres villagoie qu'il a escorter a sa manière n'améliorera pas leurs conditions de vie... Il faudra trouver un nouveau prêtre...

D'ailleurs ce père Turial na pas d'apprentie ? il faudra voir avec lui pour voir si il est qualifier pour prendre sa place ou en trouvait un digne de proposer des service de soin gratuit voir a frais raisonnable pour le domaine....D'ailleurs, Son dieux lui accorde toujours ses pouvoir malgré ses pratique ... Ils faudra que j'en parle a Périfins et a Dorlinn.

Il faut aussi que j'aille voir cette usurier, il doit avoir pas mal de document et d'information sur les transaction douteuse qui opère dans l'ombre...

Lorsque tu poses la question à Périfin sur la présence d'un apprenti aux côtés du père Turial, il secoue la tête négativement.

- Non, aucun novice n'a été mis à sa charge et, quelque part, je peux le comprendre. Il n'est pas un exemple à suivre et, à mon humble avis, le haut clergé le sait.

Quand tu évoques ta surprise de le voir toujours en fonction alors qu'il semble bafouer éhontément les préceptes de son dieu, Périfin opine du chef.

- Je me suis poser la même question.

Il fronce les sourcils.

- Je n'ai pas eu le temps, jusqu'à maintenant, de me pencher réellement sur le sujet mais il serait peut-être bon de mener une enquête approfondie sur lui. Je vais demander à Dorlinn de fouiller un peu de ce côté-là...

Il réfléchit avant d'ajouter.

- Maintenant que j'y pense, c'est vrai que je ne l'ai pas vu user d'imposition des mains depuis un moment...

Il semble troublé mais n'en dit pas plus, désirant visiblement vérifier ses doutes avant de porter des accusations précises. Quand tu annonces que tu vas voir l'usurier, Périfin acquiesce.

- Je vais, de ce pas, parler à dorlinn au sujet du père Turial.

Tu sors alors du manoir et te rends dans le village afin d'aller voir l'usurier. Les deux gardes qui t'escortent te mènent jusqu'à la devanture de sa petite échoppe. A l'intérieur, tout est propre et bien rangé. Des étals proposent un bric à brac d'objets divers et variés allant du plat ouvragé en fer au vase décoré en passant par des tableaux, vêtements et, en vitrine sur le comptoir, des bijoux. Derrière le comptoir, un humain d'une quarantaine d'années est assis sur un tabouret haut. Les cheveux courts bruns, les yeux noirs, vêtu sobrement mais de tissus de bonne qualité sans être pour autant luxueux, il est en train d'écrire dans un registre et lève la tête lorsque la petite clochette de la porte d'entrée de l'échoppe se met à sonner, preuve qu'un client potentiel entre. Il fronce les sourcils en te voyant, un peu surpris, mais reprend vite un air neutre. Il se lève du tabouret et te salue.

- La bonne rencontre, dame-seigneur Airia, soyez la bienvenue dans mon humble échoppe. Je suis Mordrinn Maindargent, que puis-je faire pour vous servir ?

L'homme semble ouvert à la discussion, ce qui est bien pour en apprendre plus sur le père turial et ses pratiques douteuses. Un de tes gardes est resté à l'extérieur mais l'autre est entré avec toi et se positionne près de la porte. Il te laisse ainsi la discrétion nécessaire pour ton entretien avec l'usurier tout en étant suffisamment proche pour intervenir au cas où tu aurais besoin d'aide...

Airia acquiesça quand périfins proposa une enquête sur ce prête véreux. Il fallait obtenir des informations sur ses pratique qui commençait a devenir étrange et mystérieuse. Puis laissant son archiviste faire son devoir, elle alla en ville voir ce fameux usurier.

L'échoppe était remplie de toute chose, preuve que les affaire ce porter bien...en même temps, avec un prête qui demande un payement conséquent les villagoie devait bien trouvait de l'argent...

Regardant de tout part , elle répondit a l'usurier:

Bonjour, je viens m'entretenir avec vous , Je voit que votre modeste boutique comporte pas mal d'objet en tout genre ...Les affaires ont l'aire de bien marcher .... Laissant un temps pour observer les divers marchandise, elle repris Mes divers recherches, m'ont conduite jusque ici, je tiens en apprendre un peux plus sur père Turial...et ses pratique...

Mordrinn Maindargent sourit lorsque tu évoques la bonne santé de sa petite échoppe.

- Oui, les affaires fonctionnent plutôt bien. Je n'ai pas à me plaindre.

Quand tu parles du père Turial, l'usurier grimace.

- Ah...le père Turial.

Mordrinn s'installe plus confortablement avant de balayer d'un mouvement de la main son échoppe et de te répondre.

- D'un certain côté, ses agissements bénéficient à ma petite entreprise, je ne peux qu'en convenir. Mais...de l'autre, il est pire qu'une tique sur un chien !

Il sourit brièvement.

- Pardonnez-moi cette image fort peu ragoûtante mais c'est un peu ainsi que je le vois. Il préssure le personnel du manoir pour la moindre de ses interventions en leur faveur et les pauvres sont obligés de se séparer de leurs biens pour payer la facture qui es toujours salée, hélas.

Il soupire.

- Je comprends la nécessité de ces personnes qui, pour se soigner ou soigner un de leur proche, sont prêts à venir me voir pour obtenir de quoi payer le père Turial. Ils n'ont pas le choix et moi, je me sens mal à chaque fois pour eux mais je dois bien vivre de mon commerce...

Il baisse les yeux et tu vois combien cela l'affecte moralement de devoir participer, bien malgré lui, à cet état de fait. Il poursuit.

- Toutefois, je tente de mon mieux de les aider en allongeant le temps qu'ils ont pour rembourser la somme qu'ils m'empruntent. C'est tout ce que je peux faire.

Il serre les mâchoires.

- Je ne comprends pas comment un prêtre d'Ilmater peut agir ainsi ? Pourquoi le haut-clergé ne fait rien ? Ils doivent bien être au courant des agissements du père Turial. Ils ont dû recevoir plus d'une plainte à son encontre mais il est toujours en place. C'est incompréhensible pour moi.

Il lève le doigt en l'air.

- Ou il a des appuis en haut-lieu ou le grand-prêtre du temple de la cité est corrompu...voire les deux, peut-être ?

Il hausse les épaules.

- Je ne saurais le dire mais une chose est sûre, les gens du manoir en souffrent énormément. Et pas qu'eux, d'ailleurs. Il y a une dizaine, à peine, Eugénia Portebois, la veuve de l'ancien forgeron, est venue me voir pour me confier la chevalière de son défunt époux.

Il sort un petit coffret en bois qu'il ouvre devant toi pour te faire voir une chevalière en argent sertie d'une petite turquoise.

- Elle m'a emprunté 30 pièces d'or pour payer les soins du père Turial pour son arrière-petit-fils, Sam, atteint d'un mauvais zona.

Il secoue la tête, indigné.

- C'est un prix exorbitant !

Il referme le coffret et le range tout en poursuivant.

- Je ferais tout ce que je peux pour qu'Eugénia puisse récupérer la chevalière de son époux. Elle mettra du temps pour réunir la somme car ses maigres revenus ne lui permettent pas d'économiser beaucoup, hélas.

L'usurier fait grise mine, réellement affecté par le sort de la vieille veuve. Il relève les yeux sur toi pour dire.

- Si j'ai un conseil à vous donnez, dame-seigneur, c'est de vous débarrassez au plus vite de ce vil individu ! Trouvez un prêtre digne de ce nom qui saura se montrer aussi éfficace pour vous e votre famille que pour les gens de votre manoir. Après tout, la bonne santé de vos gens, ma dame, impacte directement le fonctionnement de votre maisonnée. S'ils sont en mauvaise santé parce qu'ils ne peuvent se soigner correctement, ils ne pourront pas travailler et votre quotidien en deviendra médiocre.

Les paroles de Mordrinn sont pleines de bon sens.

Airia écoute Mordrinn sur ses impression de père Turial...et encore une fois le prête était mal vue....Elle répondit d'un ton calme et

Je ne veut pas nuire a votre commerce, mais je tiens bien a m'occuper des pratique scandaleuse de Turial. Les villageois n'ont pas a souffrir niveau financier pour être soigner. Ses relations avec le Grand prête lui permet de continuer a exercer ses manigance... Je vais faire le nécessaire.

Visiblement, l'usurier Mordrinn était quelqu'un de bien qui ce soucier malgré son métier du bien être des gens... Observant l'humain elle rajouta

J'aurais bien besoin de plus de gens comme vous qui ont l'aire de ce soucier des habitant que de leur propre personne....J'ai un poste d'intendant qui et libre j'y réfléchirait si cela vous intéresse... Mais pour l'heure, je compte sur vous pour continuer a aider les villagoie a votre manière. Il faut que j'aille voir Père Turial et discuter avec lui. Je vais devoir m'absenter pour essayer de renflouer les caisse du domaine.

L'usurier semble très intéressé par ton offre de poste d'intendant du manoir. Tu peux le comprendre car c'est un poste de prestige. Visiblement, Mordrinn n'est pas impressionné par le fait que tu ais éliminer promptement ton précédent intendant. Soit le fait ne l'inquiète pas, soit, il n'est pas au courant de ce fait. En tout cas, il hoche la tête avant de dire.

- Cela serait un grand honneur pour moi, ma dame, de prendre ce poste à grandes responsabilités.

C'est vrai que l'idée est plutôt bonne car l'homme connait bien le monde des chiffres et des affaires tout en se montrant très humain vis à vis de ses clients. Il serait certainement un très bon intendant. Quand tu évoques le fait d'aller parler au père Turial, l'usurier te met en garde.

- Soyez prudente, dame-seigneur, je n'ai aucune confiance en Turial et je ne serais pas plus étonné que cela qu'il puisse vous nuire via ses relations. C'est bien grâce à elles qu'il est encore en place, j'en mettrais ma main à couper !

Le fait que tu partes pour renflouer les caisses du fief lui fait hocher la tête.

- Qu'Heaum vous protège, dame-seigneur.

Les réponses de Mordrinn était satisfaisante peut etre le mettre a l'essai aux début et de lui laisser faire ces preuves... acquiesçant sur ses dires,

J'ai pour intention de l'amenait a la vielle tour de mage sur les terres d'a coter voir ce qu'il vaut vraiment ses talent de guérison nous seront utile je vais aller le voir et le convaincre de nous accompagner... Réfléchissant elle ajouta

Avait vous une idées de comment je pourrais le convaincre ? a part par le payer?

Puis une fois les élément pris il fallait qu'elle aille voir l'intéresser. Elle avait pas mal de chose a faire et de personne a voir, il fallait voir aussi préparer son départ pour la tour du mage...

L'usurier te donne son avis.

- Le payer semble la bonne méthode mais, cela va vous coûter cher, dame-seigneur. Sachant où vous allez, il va savoir qu'il risque gros et, comme ce n'est pas le courage qui l'étouffe, il va s'éffaroucher. Seule l'assurance de toucher un joli pactole pourra le décider...Et encore, ce n'est pas certain qu'il accepte. Mais, s'il le fait, il se sentira en confiance, valorisé, et vous pourrez ainsi mieux l'observer et vous faire votre opinion. Mon conseil ? Il ne va peut-être pas vous plaire mais je dirais, soyez fourbe ! Brossez-le dans le sens du poil. Faîtes-lui croire que vous admirez sa façon d'agir. Ainsi assuré que vous ne le jugerez pas, il sera lui-même.

Il hausse les épaules.

- Mais ce n'est que mon humble avis, bien entendu.

Tu retournes en ton manoir où, après renseignement pris, tu trouves le père Turial dans la chapelle du manoir, en train de superviser le travail d'une domestique qui est en train de nettoyer l'autel. Le prêtre, d'un ton autoritaire, ordonne à la jeune fille.

- Fais attention ! Humidifies bien la pierre afin qu'elle soit bien propre.

Il lève les yeux au ciel, visiblement agacé par la domestique qui ne fait pas assez bien à son goùt. De quoi rendre le personnage antipathique dès la première rencontre ! Lorsqu'il entend le bruit de tes pas, il tourne la tête en fronçant les sourcils, prêt à invectiver l'intrus qui vient le déranger. Il change subitement d'attitude lorsqu'il te voit. Il affiche alors un sourire aimable, parle avec une voix douce, posée, et a un regard où une fausse bonté s'affiche avec la plus parfaite hyppocrisie.

- La bonne rencontre, dame-seigneur Airia. Soyez la bienvenue à la chapelle.

Se retournant vers la domestique qui vient de te saluer discrètement, il fait un petit geste de la main pour la congédier.

- Tu finiras ton ouvrage plus tard, mon enfant, va...

La voix douce constraste avec le ton cassant qu'il utilisait l'instant d'avant. Il te fixe à nouveau et te demande.

- En quoi puis-je vous aidez ?

Remerciant l'usurier pour ses conseille, Airia prend congé et ce dirige vers la chapelle ou le père Turial devrait ce trouver...

Elle remarqua bien vite le changement d'aptitude qu'il prit lorsque elel apparue...soulagement éphémère pour la servante....

Mais il fallait maintenant faire en sorte de l'amener a vouloir faire partit de l'expédition...

Elle proposa ainsi :

Je vais bientôt partir en expédition dans une ancien tour de mage ou git apparemment moulte richesse et trésors... Et j'ai penser a vous pour nous prodiguer des soin d'exception vue que vous êtes le meilleurs prêtre de la région... A moins que vous ayez quelqu'un d'autre aussi doué que vous voir plus disponible... J'ai quelque nom en tête

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+11 bluff

Le but de la manœuvre était de l'appâter avec les possibles montagne d'ors et qu'il pourrait peut être en tirer partie... la seconde était de flatter son orgueil et égaux afin qu'il se sente flatter d'être reconnue par la dame seigneur puis ensuite le confronter a son appât du gain désirait il venir ou laisser les richesse a quelqu'un d'autre...

Airia avait sa franchisse, et elle essayer d'aller droit aux but même si parfois elle devait agir par des moyen détourner.

Ton bluff fonctionne à merveille et le mélange de flatterie et d'appât du gain n'a aucun mal à décider ce prêtre vénal à participer à l'expédition. Il cache sa cupidité sous un faux-air bienveillant.

- Si votre seigneurie a besoin de mes soins, je ne saurais les lui refuser. Je lui là pour veiller à votre santé. Cest pourquoi je me fais un devoir de vous accompagnez.

Il s'incline, sourit et te laisse une désagréable impression d'écoeurante hypocrisie. Pas de doute, les mots "moulte richesse et trésors" ont eu raison de sa réserve bien plus que ceux louant le fait qu'il est le meilleur prêtre de la région. En à peine une heure, il est fin prêt à partir à tes côtés et à ceux de tes hommes. Dans la cour du manoir, une agitation anormale te fait découvrir l'arrivée de ton hérault, accompagnée par un...gobelours ! Olara te présente alors Borgor.

- Borgor est le garde personnel du seigneur Ssnirr à qui il a confié ma sécurité pour le voyage de retour. Le seigneur Ssnirr vous attend à la tour, dame-seigneur.

Le gobelours te fait un bref signe de tête sans dire quoi que ce soit si ce n'est...

- Bon, on y va ?

Olara grimace face à ce manque flagrant de courtoisie mais lève les yeux au ciel pour te faire comprendre qu'il ne faut pas s'attendre à mieux de ce genre de créature. Néanmoins, le garde de Ssnirr n'a pas tord et mieux vaut ne pas traîner pour gagner la tour. Une fois tes dispositions prises et tes ordres donnés à Périfin, escortée par Borgor, tu gagnes la tour...

(hrp : la suite dans la section commune.)

Airia, tandis que Ssnirr s'envole pour le fief de la dame-seigneur Mérésankh, qu'Amalkar regagne le manoir du seigneur Mereden afin de le tenir au courant des derniers événements, tu commences à écrire une missive à donner au baron. Turial t'interrompt toutefois pour te dire.

- Pardonnez-moi, dame-seigneur, mais ne vaudrait-il pas mieux que vous alliez vous-même prévenir le baron ? Je veux dire, en vol, vous serez bien plus rapide que moi à cheval. Pour ma part, je peux regagner le fief afin de prévenir Périfin de ce qui s'est passé à la tour et lui demander de commencer à préparer un contingent ?

Son raisonnement semble, en effet, plein de bons sens mais c'est à toi de décider...

Airia, te rangeant au bon sens de Turial, tu décides de partir toi-même prévenir le baron, laissant ton prêtre retourner à ton fief pour donner tes ordres à Périfin. Tu t'envole donc et parcoure la distance qui te sépare de la cité baronnale. La nuit est avancée et la lune te permet de bien voir lorsque tu atterris à quelques mètres du château du baron. Les environs du château sont éclairés par des piliers à lumière magique qui sont allumés et éteints tous les jours. Les gardes, d'abord sur le qui-vive, t'écoutent lorsque tu te présente à eux avant qu'un des leurs ne parte chercher son supérieur. Ce dernier, une fois qu'il t'a identifié, t'amène dans un salon où un serviteur t'apporte une collation pour te faire patienter. Enfin, au bout d'une quinzaine de minutes, entre dans la pièce une semi-drow que tu reconnais comme étant Zafrina Til'zorfinn, l'intendante du château. Elle te salue d'un bref signe de tête avant de te demander.

- La bonne rencontre, dame Airia Porfends, que nous vaut cette visite nocturne si peu protocolaire ?

D'une phrase dite sur un ton pourtant courtois, la crinti te montre combien ton arrivée surprise est malvenue. Sans te laisser démonter, tu expliques alors rapidement le souci à la belle Zafrina qui t'écoute attentivement avant de te répondre.

- Je vais, de ce pas, prévenir le baron. Prenez le temps de vous restaurez un peu en attendant qu'il arrive.

il faut une petite demi-heure avant que la porte ne s'ouvre sur le baron. Ce dernier s'assoit et te demande des précisions sur ce qui s'est passé dans la tour du mage. Une fois ton récit terminé, il hoche la tête et te dit.

- Je vais faire préparer une troupe de 100 hommes qui partiront dès demain matin vers le fief du seigneur Mereden. Prenez la nuit pour vous reposez, ma dame, et vous repartirez en même temps que mes hommes.

Prenant congé de toi, le baron te laisse aux bons soins de ses serviteurs qui te guident jusqu'à une chambre où tu peux passer le reste de la nuit. Le lendemain matin, tu prends ton petit-déjeuner avec le baron avant de l'accompagner jusqu'à la cour intérieur du château où un humain d'une trentaine d'années, cheveux noirs courts, yeux gris, portant une cicatrice qui descend de sa tempe gauche jusqu'aux limites de son menton. Il s'incline devant toi tandis que le baron le présente.

- Voici le commandant Philianir Hauteplume, qui va commandé ma troupe. C'est vous qui lui direz quoi faire.

La responsabilité est lourde car le moindre faux pas te sera directement reprocher par la baron. Mais c'est également une marque de confiance. Le baron prend congé de toi et te souhaite bonne chance.

- Surtout, tenez-moi au courant de tout ce que vous faites, je veux être informé régulièrement !

Il vous laisse partir, toute la troupe à cheval faisant un sacré défilé que les citadins regardent tout en vous acclamant. Pedant le voyage, Philianir te présente la troupe qui est divisée en 4 contingent de 24 hommes + leur capitaine respectif.

1er contingent, capitaine Khémed Sabledor
2ème contingent, capitaine Farax Ferécu
3ème contingent, capitaine Evendur Viféclair
4ème contingent, capitaine Koundé Flècherouge

Te fixant intensément, Philianir te demande.

- Avez-vous déjà commandé une troupe, ma dame ?

La question semble le tarauder, ce qui est légitime au vu de ce que vous allez affronter.

Aria se déplaça rapidement pour aller chez le baron, celui ci malgré l'heure compris l'urgence de la situation et l'accueilli. Expliquant le problème, le baron détacha des troupes pour régler la menace vampirique.

Elle en profita pour demander a lui ou son intendant si ils avaient déjà eu vent des problème de perifon voir d'un druide les contrôlant dans la région qu'elle administre puis après une bonne nuit de sommeille elle partie accompagner des troupes.

Elle répondit a Philianir :

J'ai déjà mener une escouade aillé lors de la guerre contre les orques . J'ai avec l'aide du seigneur Snnir mener des hommes contre la menace souterraines j'ai encore beaucoup a apprendre et a appliquer certain stratégie pour minimiser les pertes tout en augmentant nos chances de victoire... Je n'ais cependant jamais mener autant d'homme d'un coup mais ma faciliter aériennes aura un impact significative sur le champs de bataille pour mener les troupes... Nous allons affronter des vampires avoir des protection contre ces vermines nous sera du plus grand secours pour protéger la vie de nos hommes. Vous qui les connaissait bien j'attend de vos conseille aviser pour éviter les pertes.

Elle montrait ainsi quelle avait de l'expérience et qu'elle ne demandait que a apprendre de manière a sauver le plus d'homme possible du conflit a venir

A ta question de savoir si le baron a eu vent de soucis avec les pérytons sur ton fief, il te répond par la négative. Décidément, tu te rend compte que Borwir n'était pas vraiment l'intendant idéal. En même temps, ce scélérat s'était sans doute dit que s'il prévenait le baron, ce dernier aurait nommer plus rapidement un nouveau seigneur et lui aurait retirer le pouvoir qu'il avait grâce à sa place de remplaçant temporaire. La mort de cet imbécile n'est finalement pas une si mauvaise chose...même si tu es la seule à le penser. Lorsque tu parles des protections pour les hommes face au vampire, Philianir te répond.

- La meilleure protection contre ce genre d'adversaire reste le prêtre et le mage. Je suppose que ces créatures de la nuit ne doivent pas aimer beaucoup le soleil et par extension le feu ? La magie du feu et de la lumière du jour sera très utile tout comme les sortilèges des prêtres pour nous protéger et leur foi pour repousser ces monstres.

Il ajoute.

- Heureusement, parmi mes combattants se trouvent 4 prêtres de Tempus. J'ai pris également 4 mages pour nous appuyer. J'espère que cela suffira face à ces créatures...

Voyant que tu n'es pas une débutante en matière de combat, Philianir hoche la tête et te dit ce qu'il compte faire.

- Je pense que, d'après vos explications, je vais séparer les hommes en quatre contingents de 25 hommes chacun pour pouvoir encadrer le palais du vampire.

Il te fixe.

- Qu'en pensez-vous ?

Le fait qu'il te consulte prouve qu'il t'associe bien au commandement de la troupe. Lorsque tu parles de "nos" hommes, il te demande.

- A ce propos, quand allez-vous chercher les hommes de votre fief pour grossir nos rangs ?

Il revient sur tes dires concernant le fait de voler lors du combat.

- Attention car ces créatures savent voler également, il me semble. Si vous êtes en vol, vous serez isolée car aucun de nous ne pourra vous venir en aide au contact. Peut-être serait-il préférable de ne voler qu'en dernier recours ?

» Airia Porfends
» Sualtam (Partie roleplay).
» Cyprien (partie roleplay).
» Varn (Partie roleplay).
» Mithras (Partie roleplay).