Arthur Debrefeuille , France , 1885. (partie roleplay)

-"Cela sera avec plaisir mais je ne suis pas un spécialiste de l'Afrique, juste un ancien militaire qui a passé plusieurs années la bas...Mais c'est un grand honneur d'être invité par vous, et je suis sûr que cette conversation sera très stimulatrice...
Tout vos amis sont des passionnés de l'Afrique? Ou ont-ils d'autres sens d'intérêts?"

*madame Hallett glousse , amusée par ta question.*

-"seigneur , non...et c'est tant mieux.
quel plaisir y aurait-il de ne parler que de choses que l'on connaît tous le temps ?
mes amis viennent tous d'horizons très variés et on des des intérêts tous aussi disparates.
cela permet d'avoir des conversations fort agréables et très instructives sur des sujets aussi éloignés qu'une exposition unique sur quelques statues méconnues de l'antiquité ou sur la composition d'un moteur à vapeur pour un navire.

mais vous-même monsieur Debrefeuille , à part l'Afrique , quels centre d'intérêts avez-vous ?
et qu'est ce qui vous amène à Dinard ?
le plaisir du séjour ou les affaires ?"

*Louise te dévore presque des yeux et attend avec impatience ta réponse...*

-"Ma foi, j'aime toucher un peu à tout mais je dois l'avouer en ce qui concerne les arts ma préférence va à la littérature.
Je me suis pencher récemment sur un ouvrage de Victor Hugo... fort intéressant...
Je suis à Dinard pour le repos, mes affaires m'ont épuisé et je suis venu ici faire le plein d'énergie dans cette délicieuse ville."

*Je regarde Louise à ce moment là.*

*Louise rougit jusqu'aux oreilles qu'elle a fort développées et t'offre son plus éclatant sourire.
madame Hallett devient grave tout à coup avant de prendre la parole.*

-"mais vous ne savez donc pas ?
mon pauvre ami...Victor Hugo s'est hélas éteint il y a deux jours de cela.
il a succombé à une congestion pulmonaire que les médecins n'ont pu soigner.
c'est une bien grande perte pour le monde littéraire , n'est-il pas ?
ahh que la vie est courte...c'est bien pour cela qu'il faut en profiter.
oh voilà ma petite-nièce Valentine et sa servante..."

*en effet , entrant dans le café , tu vois avancer une jeune femme d'une vingtaine d'années aux yeux parme , à la peau claire , portant un joli chignon de cheveux noirs aux reflets bleutés.
sa taille est fine et sa silhouette gracieuse.
elle est vêtue d'une robe mêlant le parme à de délicates fleurs roses du plus belle effet.
des gants assortis recouvrent ses mains fines et elle sourit , visiblement ravie de voir sa grand-tante.

tenant une ombrelle qu'elle ferme en entrant dans le café , tu vois une jeune fille d'à peine 18 ans , au teint chocolat au lait , aux cheveux nattés d'un noir de jais et au regard étonnant couleur d'ambre.
elle est vêtue d'un pantalon bouffant en soie bleu clair , d'un haut court assortis laissant voir son nombril orné d'une petite citrine et de perles bleue claires qui décorent sa chevelure d'ébène.

des bracelets dorés cliquettent à ses poignets et à ses chevilles et elle regarde tout autour d'elle avec une grande curiosité.
son regard se pose sur toi et elle te sourit timidement.
la petite-nièce de madame Hallett , au contraire s'approche en te détaillant sans grande discrétion et te fait même un clin d'oeil avant de parler.*

-"bonjour grand-tante , je vois que vous avez ramenez une bien belle prise dans vos filets pour votre promenade du matin.
je suis Valentine Hallett , enchantée et voici ma servante , Shanti , qui vient d'arriver des Indes...et vous êtes ?"

*Louise cache mal son mécontentement et son agacement vis à vis de la jeune effrontée...*

*Je me remets de la surprise de l'arrivée de cette drôle de jeune fille. je me lève pour saluer la nouvelle venue.*

-"Heu... Arthur Debrefeuille... Poisson volontaire dans les filets de votre grand-tante."

*je me rassois et fixe la table.*

-"Je ne savais pas pour monsieur Hugo. C'est effectivement une fin bien triste et une perte immense pour la littérature française..."

*Je me ressaisis et bois une gorgée de thé. Je regard la servante de Valentine.*

-"Les Indes ne sont pas la porte à coté et vu votre jeune ages vous n'avez pas dût connaître votre pays d'origine. Je me trompe?"

*Shanti te sourit et secoue la tête.*

-"vous vous trompez , sahib , je suis arrivée des Indes il y a deux ans avec le père de mademoiselle Valentine."

*Valentine hoche la tête.*

-"oui , père possède une mine d'émeraude là-bas et il fait souvent le voyage entre la France et l'Inde.
il a décidé de ramener Shanti dans ses bagages...c'est une bonne domestique , je dois dire."

*madame Hallett et Louise ont toutes deux un sourire bienveillants vis à vis de Valentine qui commande du thé en supplément et deux tasses.
Shanti a baissé les yeux sans rien dire , son visage est indéchiffrable.
la petite-nièce de madame Hallett de fixe sans vergogne et te questionne.*

-"et que fait un si beau poisson à Dinard , hmmm ?"

*madame Hallett glousse d'une telle effronterie tandis que Louise semble outrée...*

°° Malgré son jeune âge cette fille a le deçu sur ces deux femmes. Jusqu'au va ce privilège?°°

*Je tique lorsqu'elle parle de "il a décidé de ramener Shanti dans ses bagages...c'est une bonne domestique , je dois dire." mais je ne dis rien.*

-"En vacances, je suis venu, comme tant de français, me refaire une santé à Dinard. Et vous? Vous êtes de la région ou en visite chez votre grande-tante?"

*Valentine lève les yeux au ciel.*

-"Seigneur , vous me voyez , moi , jeune parisienne , vivre à l'année dans cette petite ville perdue et si tranquille ?
ai-je donc tellement l'air d'une simple fille de province ?"

*la jeune femme fait une petite moue dépitée qui fait rire sa grand-tante.
la donzelle semble être profondément aimée de madame Hallett et le sait fort bien.
Louise sourit poliment mais cette familiarité à ton égard semble lui avoir grandement déplut.
Valentine regarde sa grand-tante.*

-"vous avez invité ce cher monsieur à la prochaine réception j'espère , grand-tante ?
je serais ravie de le faire danser..."

*elle te fait un clin d'oeil amusé qui manque de faire s'étouffer la pauvre Louise de jalousie.
Shanti , malgré sa réserve , retient son rire pour ne pas paraître insolente et madame Hallett , quand à elle , sourit à sa petite-nièce chérie.*

-"bien sûr que je l'ai invité.
monsieur Debrefeuille connais un peu l'Afrique , comme moi et nous aurons certainement l'occasion d'en discuter ensemble."

*la jeune femme ne semble guère partager la passion de sa grand-tante et fait une moue dédaigneuse.*

-"ma foi , je préfère te laisser la conversation de monsieur Debrefeuille ma chère grand-tante et ne prendre de lui que le reste..."

*l'air si franchement coquin de la demoiselle fait virer au violet le visage rond de Louise qui la fusille du regard tandis que madame Hallett , elle-même , hausse les sourcils , interloquée par tant d'audace.*

-"pardonnez-moi ce trait d'humour qui peut paraître déplacer.
je suis sûr que le docteur Moriarty sera vert de jalousie de me voir danser au bras d'un autre homme."

*l'idée semble beaucoup amusé la donzelle qui te regarde en souriant...*

-"Le mot est faible mais je penses qu'il va pouvoir se remettre d'une telle mort par contre je crains vous décevoir en ce qui concerne la danse. Vos pieds risquent de ne pas apprécier cette expérience."

*Je lui souris en disant cela toujours aimable.*

°°Ce n'est pas le moment de déplaire à la nièce si je ne veux pas voir ma relation avec la grande-tante fondre comme neige au soleil. Le docteur sera là et j'ai mon premier sujet pour débuter une conversation avec lui.°°

-"Et que faites vous à Paris pour passer le temps à part faire mourir de jalousie une bonne partie de la gente masculine de la capitale?"

*la jeune Valentine minaude sous le compliment tandis que Louise ronge son frein.*

-"je fais de la peinture , mon cher...je suis une artiste.
mes toiles commencent à avoir une petite notoriété à Paris et je pense ouvrir une galerie d'ici le mois d'octobre prochain."

*Louise a un rictus ironique quand la demoiselle parle d'être artiste mais se garde bien de commenter ce qu'elle pense.
Valentine renchérit en te regardant.*


-"peut-être accepterez-vous de poser pour moi ?"

-"Je ne crois pas être un modèle de choix... Vous devriez demander au professeur Moriarty de poser. Si cet homme est jaloux de vous voir danser avec d'autres il ne posera pas de résistance pour se dévêtir devant vous."

*J'essaye de me re-concentrer sur la grande-tante.*

-"Et bien, j'ai hâte d'être à cette soirée, les discutions doivent être animées si elles commencent toutes comme ça."

*Dis avec le sourire bien sur.*

-"en effet , les discussions peuvent-être fort animées.
c'est ce qui les rend intéressantes , d'ailleurs."

*madame Hallett sourit et fini son thé avant de se lever , suivi des autres dames présentes.*

-"je vous attend donc pour la petite fête , monsieur Debrefeuille.
bonne journée et à très bientôt."

*elle te salue d'un signe de tête amical et se dirige vers la sortie du café tandis que Louise te fait un sourire énamouré et Valentine un clin d'oeil.
Shanti , quand à elle , te salue respectueusement comme savent si bien le faire les hindous.
tous ce petit monde quitte le café et te laisse seul à la table.
au loin , la cloche de l'église du Prieuré sonne les midi...*

*Je me lève pour les saluer poliment.*

-"Au revoir mes dames."

*Je règle la note auprès d'Eugène avec un petit mot gentil.
Puis je retourne à mon hôtel manger un morceau.
puis je vais au site du géologue Brassant près de la plage de la fourberie pour voir s'il a du nouveau sur la terre brune que je lui ai laissé.*

*l'archéologue Brassant est en train de manger avec ses ouvriers quand tu arrives sur le site de fouilles.
il te sourit et t'invite à le suivre un peu plus loin afin de discuter sereinement*

-"pour l'heure , je n'ai aucun autre renseignement à vous fournir sur cette terre , mon cher ami , mais avez-vous prit contact avec le géologue de Saint-Malo ?
il sera sûrement plus à même que moi de vous aidez dans votre enquête.
d'ailleurs , où en êtes-vous ?"

-"Oui c'est déjà fait et il semblerai que cette terre entraîne beaucoup de questions et bien peu de réponse.
Mon enquête avance, si on peut voir une avancé les maigres réponses que je réussit à récolter, qui sont le plus souvent malheureuses.
Je vous remercie des efforts que vous faites pour m'avoir des réponses sur cette terre.
Vous savez où me trouver."

*Je repars à mon hôtel ou je fais un courrier à l'inspecteur Magon :
"Cher inspecteur,
je suis dans le regret de vous annoncer que je n'ai aucun renseignement à vous communiquer à propos de cette terre brune récoltée sur les corps des jeunes filles.
Mon enquête m'a toute fois rapproché du Docteur Moriarty actuellement à Dinard. J'ai la conviction que cet homme ai mêlé de près aux disparitions de toutes ces personnes. Je n'ai pour le moment aucune preuve à vous soumettre mais je travail dessus.
Je vous confis cela en cas de disparition ou d'accident sur ma personne.
Ce sera une sorte de lègue pour votre enquête.
Je vous tiendrai au courant de toute évolution de mon enquête, je veux dire notre enquête.
Veuillez, monsieur, .....
Signé Arthur Debrefeuille."
Je descend à la réception pour faire porter ce plis au commissariat de Saint Malo.
Je sors marcher un peu en ville pour réfléchir...*

*à la réception , le patron te sourit et te demande en regardant sa montre à gousset.*

-"désirez-vous déjeuner , monsieur ?
il est déjà presque 14 h mais nous pouvons encore vous servir un repas si vous le voulez..."

*il prend ta lettre et fait sonner une petite clochette.
aussitôt , un jeune garçon d'une douzaine d'années à peine , arrive près du comptoir.
il a une tignasse blonde foncé et des tâches de rousseur qui lui mangent tous le visage.
ses grands yeux bleus sont rieurs et le jeune adolescent te salue en souriant.
l'hôtelier lui tend ta lettre et lui demande d'aller la porter à la poste.
le gamin s'exécute prestement et file en courant vers le centre-ville...*

-"C'est gentil, j'y vais de ce pas."

*Je m'installe à une table dans le restaurant, commande le plat du jour et commence à lire le journal local.*

*ton repas terminé , tu entends sonner la cloche de l'église.
il est 15H et le temps dehors semble se gâter.
des nuages noirs viennent recouvrir le ciel d'azur , le vent se lève et déjà , au loin , tu entends les grondements sourds qui annoncent l'arrivée de l'orage.
tout en débarrassant , l'hôtelier grimace et te dit.*

-"il ne va pas faire bon être dehors d'ici une petite demi-heure m'est avis...
si vous désirez sortir , monsieur , dites-le moi et je ferais chercher un fiacre pour vous conduire..."

-"Vous êtes bien aimable mais je ne pense pas que je vais me risquer à sortir par ce temps. Pourriez-vous m'apporter un café avec un cognac au salon, merci"

*Je me lève et me dirige vers le salon, je compte y rester une bonne partie de l'après-midi. Rien ne me force à sortir et vu le temps...
Je m'installe avec le journal en buvant mon café et mon cognac.*

*au bout d'une heure , la pluie commence à tomber et l'orage est tout proche.
des éclairs zèbrent le ciel de plomb et la luminosité baisse tellement que l'hôtelier se décide à allumer ses lampes pour le confort de ses clients.
Elizabeth arrive à ce moment précis et te voit au salon.
elle se dirige vers toi en tenant une petite sacoche en cuir à la main et désigne le siège libre en face du tien.*

-"je peux ?"

*n'attendant pas ta réponse , elle s'installe et ouvre sa sacoche pour en sortir quelques papiers.
elle commande du thé et commence son compte-rendu.*

-"bien , j'ai pu aller à Saint-Malo afin de demander à mes confrêres journalistes quelques renseignements sur ce que vous m'avez demander.
je n'ai pas trouvé grand chose sur le docteur Fornirel si ce n'est quelques articles élogieux sur les techniques innovantes qu'il utilise en médecine légale.
il semble que ce monsieur soit reconnu par ses pairs à Paris et respecté.

il travaille à l'hôpital Necker à Paris et dirige une petite armée d'assistants sur laquelle il règne en maître absolu.
je sais , grâce à un des journalistes qui vient de revenir de Paris , qu'il a eu un souci avec l'un de ses assistants.
ce dernier l'aurait traîner en justice pour tentative d'enlèvement sur sa personne.
le jeune homme a été débouté et évidemment , il a été renvoyé de l'hôpital.
c'est tout ce que j'ai pu recueillir sur Armand Fornirel.

quand à monsieur john Hillerton , l'avocat londonien , il est propriétaire de la villa Ker Willy depuis un an et a embaûché un colosse barbu ayant pour nom Etienne Armédek.
cet Etienne est un ancien bagnard qui a purgé une peine de 10 ans pour l'assassinat de deux marins.
ce n'est pas un enfant de coeur et visiblement , il est craint dans les cafés des environs.
il doit avoir dans les quarante ans passés mais c'est une vraie force de la nature.

il aime venir boire un verre ou deux mais c'est un homme qui aime dominer les autres et il déclenche souvent des bagarres dont il sort victorieux.
il aime frapper et voir les autres à ses pieds , en tout cas c'est ce qui a été marqué dans le journal dans la rubrique faits divers où il apparaît souvent.
mais le chef des gendarmes de Dinard semble l'apprécier car il le sort toujours des ennuis où il a tendance à se mettre.
je dois encore chercher de ce côté-là...savoir quel lien il y a entre le chef des gendarme et cet Armédek.

à part ce homme , Hillerton possède un cocher , monsieur Robert Frankier et une cuisinière , madame Marie Kerliran.
je sais aussi qu'il a eu plusieurs jeunes domestiques qui ne sont pas restés et dont certaines ont disparues.
là encore , je dois rechercher d'autres renseignements.
mais j'ai suffisamment travaillé pour aujourd'hui."

*elle remercie l'hôtelier qui vient d'apporter le thé et se sert une tasse tout en te tendant les papiers où tout ce qu'elle t'a dit est scrupuleusement noté...*

*Je notes toutes ces informations sur mon carnet et recoupe avec celles que j'avais déjà notées.*

-" Le cas d'Etienne Armedek me semble intéressant. Je vais aller faire un tour au café des casinos; vu sa situation géographique notre homme doit y être connu.
Vous m'accompagnez?"

*Je demande au réceptionniste de m'appeler un fiacre pour me rendre au café.*

*le fiacre arrive peu de temps après.
le grondement du tonnerre est , par moment , assourdissant tandis que les éclairs zèbrent le ciel.
la pluie tombe avec force et la capote du fiacre dans lequel tu montes se gondole sous le poids de l'eau qui s'y accumule.

le cocher , engoncé dans un ciré , fait claquer son fouet et les chevaux partent en trépignant de peur.
le chemin est boueux et tu sens par moment les roues du fiacre glisser quand les chevaux tournent trop brusquement.
enfin , au bout d'un trajet qui te semble bien long , le fiacre s'arrête devant le café des casinos...*

*je descend et paye le côcher avec un bon pourboire. Je cours me mettre à l'abri à l'intérieur.
Je vais m'asseoir au comptoir pour pouvoir discuter avec Eugène.
Je commande un café et lui propose de lui payer un verre.*

"Bonsoir Engène comment allez-vous? Un bien sale temps...
... Dis-moi, tu n'aurais pas eu des difficultés avec un certain Armedek? On m'a dis qu'il faisait pas mal de chahut des les bars du coin... Tu as déjà eu affaire à lui?..."

*Eugène se montre un peu réticent aux premiers abords , visiblement toujours froissé de ta conduite envers lui lors de votre première rencontre.
mais dès que tu parles d'Armédek , il redevient bavard.*

-"ah ça oui , monsieur , c'est un gars qui aime la noise , croyez-moi !
il m'a déjà cassé du mobilier deux ou trois fois alors qu'il avait bu un coup de trop.
c'est un colosse , vous comprenez ?
alors bien sûr , personne n'ose trop se mesurer à lui.
je l'aurait volontiers interdit dans mon café mais j'ai trop peur de ce qu'il pourrait faire pour se venger.
et puis...il a toujours réglé rubis sur l'ongle toute la casse qu'il avait faite chez moi , alors..."

*il hausse les épaules avant de te demander ce que tu désires boire , sa rancune envolée pour de bon...*

-"Une bière et sert toi quelque chose c'est pour moi...
Et cet homme se balade en solo ou il a des amis dans le coin?
Il casse et paye après c'est plutôt étrange non? Généralement les personnes qui aiment boire et se battre ne sont pas les premières à revenir le lendemain pour régler ses bêtises...
J'ai des chances de le voir ici ce soir?"