Mithras (Partie roleplay).

*Après avoir déjeuner de bonne heure et rapidement chez Mme Borg, vous partez pour la ferme de Brénius Rorka. Il faut trois heures pour l'atteindre et il est 16h passé lorsque vous y arrivez. La ferme se trouve sur le haut d'une petite colline à l'orée de la jungle et quand vous approchez, tu peux constater que Brénius surveille votre approche avec des jumelles. Tandis que vous arrivez dans la cour de la ferme, une femme vous fait signe. Elle a environ 60 ans, des cheveux longs blanc coiffés en chignon et des yeux bleus inquiets. Elle est à l'entrée d'une grange dont elle tient la porte ouverte et vous fait comprendre de rentrer votre 4x4 dedans. Enoch hausse les sourcils, méfiant, et prépare son arme au cas où. Zaël est plus confiant et tente de rassurer son coéquipier.*

- " t'inquiète pas, Enoch, ils veulent juste être sûr qu'on ne nous verra pas discuté avec eux. Ils ont peur des possibles représailles si le patriarche venait à être mis au parfum."

*Une fois le véhicule garé dans la grange, la femme se présente rapidement comme étant Magda Rorka, l'épouse de Brénius, avant de vous entraînez jusque dans la longère de la ferme dont les volets sont clos. Vous pénétrez dans une grande salle avec une immense cheminée qui fait tout le pan du mur du fond. Une table en bois avec des bancs et un coin cuisine occupent le côté droit tandis que sur la gauche, un couloir mène certainement à la partie nuit et un coin salon est aménagé. Un écranpix trône sur un buffet et est allumé sur une chaine d'infos. A peine êtes-vous entrés que Brénius entre à son tour et vous sourit.*

- " Pardon, je préfère être prudent car le patriarche a le bras long. Je vous en prie, asseyez-vous."

*Le fermier vous indique les fauteuils près de la cheminée. Il regarde son épouse et lui demande de préparer du thé pour tous le monde tandis qu'il vient s'asseoir à vos côtés. Il pousse un profond soupir avant de te fixer d'un regard soulagé quoique torturé.*

- " Je suis heureux que vous ayez posé cette question ce matin, monsieur, cela va me permettre de révéler ce que je sais. Voilà, je soupçonne fortement le patriarche d'être à l'origine des disparitions même si ce n'est pas lui qui enlève les gens directement. Il a de nombreux employés à sa solde pour le faire et je crois savoir où il fait emmener les pauvres malheureux qu'il fait enlever..."

"je vous en prie Brénius nous vous ecoutons"
*je reste méfiant tout de même*
"mais avant s'il vous plait peut-être qu'il y a un point d'observation ou je pourrais poster un de mes hommes pour veiller au grain histoire que nous ne soyons pas surpris justement par un des sbires du patriarche ?"

*Brénius semble soulager que tu propose de poster un de tes hommes pour vérifier que personne ne vient. Il accepte immédiatement et son épouse conduit directement Zaël en haut de la longère. Via son com-vox, Zaël te dit qu'il s'est posté sur le toit de la longère d'où il peut voir loin à l'horizon.*

- " Je vous préviens si je vois quelque chose de suspect, chef."

*Le fermier reprend la parole.*

- " Vous savez les gens discutent entre eux derrière le dos du patriarche et de ses sbires. Personne n'est vraiment dupes à propos de ces disparitions. Seulement les gens sont terrifiés à l'idée que le patriarche apprenne que quelqu'un sait quelque chose et qu'il le fasse disparaitre à son tour, vous comprenez ?

Les gens enlevés, je pense qu'ils sont emmenés sur les terres de chasse du patriarche. Il possède des terres dans le sud, à 10 jours de 4x4 de Borgopater. Ce ne sont pas ses terres principales, juste des terres où il part quelquefois pour chasser avec quelques amis. Je crois...je crois que c'est là-bas qu'il fait emmener ses victimes et qu'il...qu'il s'en sert comme...comme gibier."

*Il pousse un soupir de soulagement mêlé de frayeur. Il est content de pouvoir en parler, cela se voit, mais en même temps, le formuler à voix haute devant toi est une épreuve qui pourrait le condamner à mort si le patriarche apprenait ce qu'il t'a dit et il en est terrifié. Il bouge sa main nerveusement avant de poursuivre.*

- " J'ai des amis qui font la route qui passe à côté du chemin menant aux terres de chasse du patriarche. Ils ont vu ses hommes avec un camion plusieurs fois de suite aller jusqu'au pavillon de chasse. Un jour, ça a été plus fort qu'eux et ils ont été jeté un œil pour voir ce que les hommes faisaient là alors que le patriarche était à Borgopater. Ils ont vu les hommes faire sortir du camion des gens attachés, avec des baillons et les faire entrer dans le pavillon. Quelques jours plus tard, le patriarche est arrivé à son pavillon avec des amis à lui pour une partie de chasse..."

*Le fermier se sert une tasse de thé en tremblant un peu tout en poursuivant.*

- " Bien entendu on a aucune preuve réelle mais je crois qu'il se sert de ces disparus comme gibier de chasse..."

*Il secoue la tête, horrifié par cette idée immonde.*

- " Par l'empereur, notre patriarche est un chasseur d'hommes !"

"je vous remercie de votre témoignage et je vois bien que cela est une véritable épreuve pour vous et dans quel danger cela peut vous mettre vous et vos proches. Il ne sera pas dit que je laisserait une telle injustice ne soit pas durement puni car l'Empereur est bon pour ses loyaux sujets mais ceux qui s'écarte de sa divine lumière ..... et bien cela verront trop tard sans doute que sa juste colère est aussi inéluctable que sa bonté."
*j'embrasse mon chapelet et je reprend un peu de mes esprits après ce moment de piété*
"j'ai besoin de quelques précisions comme le noms de vos amis disparus par exemple et qui parmi vos connaissances savent quelque chose. Est-ce que quelqu'un a votre connaissance a parlé a l'arbitrator Dunam de tous ces faits?"

- " Je n'ai aucun ami qui a disparu, monsieur, mais je peux vous donner les noms des deux qui ont vu le camion au pavillon de chasse du patriarche. Mes deux amis sont Avrar Beluga et Richard Grupper. ce sont des routiers qui font le même trajet depuis des années. Ils transportent des vivres et de l'équipement pour Borgopater. Voici leur numéro de com-vox, vous pourrez les joindre. Ils doivent être sur la route à l'heure qu'il est mais je ne sais pas où exactement. Ils vous le diront eux-mêmes.

Personne ne sait vraiment quelque chose à part moi et mes amis, du moins à ma connaissance. Cependant beaucoup de gens soupçonnent quelque chose mais je ne crois pas qu'ils puissent se douter de ce qui se passe vraiment. Vous savez, le simple fait qu'il y ai des disparitions et que celles-ci touchent souvent des adversaires connus du patriarche a suffit pour que les gens se fassent une opinion et se mettent à avoir peur.

Pour l'arbitrator Dunam, je ne sais pas, monsieur. Je dirais que non car il pourrait faire partie des sbires du patriarche. En tout cas, moi, je ne lui ai jamais rien dit car j'ai toujours eu peur qu'il puisse justement être à la solde du patriarche. Dans le doute, je me suis abstenu..."

"vous avez été prudent c'est une bonne chose continuez de l'être . Voici des coordonnées d'une personne à prévenir si toutefois vous apprenez que moi et mon équipe disparaissons dans des circonstances étranges. Vous aurez quelqu'un qui sert directement l'un des inquisiteurs Hardring, ils sauront quoi faire dans ce cas."
*je lui confie les coordonnées avec un sourire, ainsi que mon numéro de vox *
"Vous avez fait votre devoir je vous laisse aussi de quoi me contacter au cas où , si vous sentez un problème arriver n'hésitez surtout pas appeler moi. Nous allons vous laisser et que l'Empereur veille sur vous."
* je me retourne et saisi mon vox*
"Zaêl on va partir tout va bien?"

- " Oui chef, tout est calme aux alentours. Je redescend..."

*Prenant congé du fermier et de sa femme, vous repartez pour le long chemin de retour. Vous arrivez à l’hôtel-pension de Mme Borg vers 20h le soir.*

(hrp : Tu as reçu un appel de Varn en fin de matinée pour te demander si tu avais besoin d'aide. Vu qu'il y a un décalage temporel entre tes posts et les siens. Je considère que tu lui as répondu non et de rester à Borgopater pour voir s'il y avait du mouvement suspect durant ton absence. Toutefois, si tu préfères faire autrement ou lui dire autre chose, dis-le et je rectifierais.
Retour en section commune pour toi et Varn sinon. )

*Le fait que tu prennes Démorian à part pour t'expliquer semble le détendre, en effet. Il te sourit.*

- "Je comprend, monsieur, ne vous inquiétez pas et je remercie pour vos condoléances."

*Il perd son sourire quand tu reviens sur la mort de ses deux supérieurs, l'air réellement affecté par leur disparition si brutale.*

- "Vous savez, je n'ai jamais vu plus ici que des morts accidentelles, alors un pareil drame, ça nous retourne tous les tripes..."

*Il secoue la tête, encore sous le choc.*

- "Le chef Zornel était un homme droit et juste. Je l'aimais beaucoup, comme tous mes collègues d'ailleurs. Il était respecté et compétent. Bon, ça pouvait arriver qu'il y ai des tensions par moment entre lui et nous, c'est vrai, mais qui n'en a jamais ? Vous savez ce que c'est, des fois on veut faire d'une façon et le chef veut faire autrement ou on est pas d'accord sur telle ou telle chose et ça râle mais ensuite ça passe. Non, sincèrement, il était aimé de tous, j'en doute pas. Son épouse, Norma était une femme épatante, toujours aux petits soins pour nous...ah ses gâteaux à la noisette c'était quelque chose..."

*Il secoue la tête de nouveau, atristé.*

- "Par le trône quand je pense qu'on l'a tué, elle et le petit Rabnar...pauvre gosse, un bambin de 4 ans."

*Tu vois bien que cela l'affecte beaucoup, il pousse un soupir avant de poursuivre.*

- "Excusez-moi, j'ai encore du mal à réaliser."

*Il te fait un sourire d'excuse et poursuit.*

- "Garlon Brack était un sacré phénomène. Je veux dire qu'il était un type bien. Il était l'adjoint du chef mais ça ne l'empêchait pas de rester proche de nous. Malgré sa promotion, il était rester lui-même, un bon gars toujours prêt à rire et à faire le pitre quand la situation le permettait. Ne vous trompez-pas, monsieur, c'était un professionnel et un bon lui-aussi et il avait bien mérité sa place d'adjoint, ça c'est sûr. Mais il savait détendre l'atmosphère quand il y avait des tensions et j'ai toujours dit qu'il aurait fait un sacré diplomate."

*De nouveau, tu vois le chagrin envahir le regard de ton interlocuteur. Il pince les lèvres pour refouler son émotion et continue.*

- "Oui, Garlon était aimé de nous tous. Quand à avoir des problèmes dernièrement, je ne sais pas trop. Vous voulez dire des problèmes personnels ou des soucis au travail ?"

''Oui tout à fait car nous avons une idée sur les personnes qui ont commis ces crimes affreux, mais nous ne connaissons pas leurs identités. Donc il va falloir répondre à trois questions :
-comment, pourquoi et qui? Pour ça il va falloir recomposé les emplois du temps de leurs victimes, reprendre leur agenda, savoir si votre chef ou son adjoint était sur une enquête ou si ils ont subies des pressions de gens influents. Et tout ça sans révélé à qui que ce soit les avancées de nôtre enquête. Ce sera le meilleur moyen de leur rendre hommage."
*je affiche un air déterminé en embrassant mon chapelet *

*Te voir embrasser ton chapelet semble impressionner l'arbitrator. Son regard se fait admiratif et il hoche la tête.*

- "Oui monsieur, et je vais faire mon possible pour vous aider. Je ne pense pas que Garlon avait des soucis personnels ou si c'est le cas, il n'en a jamais fait mention. Par contre, je sais que lui et notre chef était sur une affaire sérieuse. Tout ce que je peux vous dire, c'est que le chef et Garlon ont été appelés, il y a quelques semaines, par le chef de chantier d'un futur hôtel à l'oasis-émeraude pour un gros souci. Je n'en sais pas plus. Quand j'ai questionné Garlon, il m'a juste dit que lui et le chef s'en occupait."

*Il hausse les épaules.*

- "Ça arrivait quelquefois ce genre de situation. Je veux dire, qu'on nous appelle pour une affaire et que ce soit mes supérieurs qui s'en occupent. Généralement c'est parce que ça concernait des huiles ou quelque chose qui demande de la discrétion."

''Très bien je vous remercie, voici les coordonnées de mon vox.Ne parler de cette affaire à qui que ce soit. Si quelque chose ne va pas contactez-moi et j arriverai au plus vite''
je affiche un sourire franc et je lui tends ma main
''Content d'avoir fait votre connaissance, je dois épauler mon collègue maintenant ''

*L'arbitrator acquiesce avant de répondre.*

- "Bien monsieur, je reste sur la terrasse, monsieur, à votre disposition."

*Tu entres dans la maison et tu aperçois Varn dans la chambre qui est en train d'écouter un enregistrement.*

je rentre prestement
" Enchanté Professeur je saisi la puce pour l insérer dans ma tablette data,j ai fait une demande pour devenir templier calix pour deux raisons. Le corps et l esprit il m est apparu que le cursus classique de la Schola Psykana nous apprenait à aiguisé notre esprit mais que nous delaissions notre corps quelque peu. Je crois que nous devons fortifié notre corps pour encore mieux parfaire notre esprit. Au cours des différentes mission auprès de notre inquisiteur mon corps à failli seule ma volonté à pu me permettre de m en sortir. Il me faut donc y remédier. Un corps fort pour un esprit fort si vous voulez."

jouant avec mon chapelet je suis très attentif
" Je n ai pas de question Professeur."

je laisse passer le moment de surprise
"He bien quel accueil,je me laisserai volontiers offrir un verre au bar si vous me laisser vous en offrir un en retour . Très content de voir d autre confrères. "

" Pour ma part je débute en télépathie et en télékinésie, Helios c est réellement impressionnant. J imagine que l on a dû te faire la remarque des millions de fois mais ta maturité psychique et en décalage complet avec ton âge. Comment est-ce que tu ne t ais pas retrouvé bloqué sur un vaisseau Noir?"

attendant de voir si quelqu'un prends la parole
" J ai une question professeur, sait on de quel grade est ce psyker renégat?"