Section commune.

-*J'étais effectivement présente, et si le docteur Moriarty est mort à cet instant c'est parce qu'il allait me sauter dessus et que Arthur m'a défendu*

*si la chose n'était pas si sérieuse, l'expression du visage de l'inspecteur aurait fait éclater de rire l'un ou l'autre de ses interlocuteurs tant la surprise, l'incompréhension et l'ahurissement y était mélangé de façon comique.

il regarde successivement Arthur puis Alice et recommence plusieurs fois pour être certain qu'il ne s'agit pas d'une plaisanterie douteuse.

le temps passant, il finit par se rendre compte que ce n'est pas le cas et reprend un visage sérieux et attentif.*

-"hum, pourquoi le docteur Moriarty voulait vous agresser, mademoiselle ?
qu'a t-il fait pour que vous en veniez à lui tirer dessus, monsieur ?"

*il sort de sa poche un calepin et un crayon de papier et se met à griffonner des notes dessus...*

-"je vous demanderais d'être précis et de détailler vos dires, je vous prie.
vous comprendrez que pour reprendre l'enquête, je vais en avoir besoin."

*Je prends le temps de réfléchir avant de répondre. Je le regarde puis fixe son calepin.*

-"je pense que vous n'avez pas saisis l'étendu de cette affaire. Nous ne sommes pas là pour ré-ouvrir cette enquête, ni pour avouer un délit. Nous sommes là pour savoir ci nous pouvons compter sur vous dans notre combat contre cet organisme.
Je vous laisse le temps pour prendre votre décision."

*Je vide ma tasse à m’apprête à partir.*

*il plisse les yeux et dit d'un ton contrarié.*

-"avant de partir, répondez à mes deux dernières questions, je vous prie.
que j'ai au moins un peu d'éléments pour savoir ce que j'ai à faire..."

*Je me rassois.*

-"Le docteur a voulu prendre mademoiselle en otage pour se sortir d'un mauvais pas. Il l'a menacé avec une arme à feu. Vu qu'il est responsable de plusieurs meurtres je n'ai pas hésité à l’abattre. C'est aussi simple que ça..."

°Il s'arrête à des détails... ce n'est peut-être pas la personne qu'il nous faut...°

*J'attend de voir q'il a d'autres questions mais mon attitude montre bien que c'est une perte de temps.*

-"de quelle organisation parlez-vous, monsieur Debrefeuille ?
qui tire les ficelles ?"

*le regard dur que lance l'inspecteur montre qu'il n'est pas décidé à vous laissez partir tant qu'il n'aura pas les réponses qu'il désire...*

*Je pousse un soupir navré.*

_"Si je vous donne des noms, vous voudrez des preuves. Puis, vous enquêterez sur ces personnes pour vous apercevoir rapidement qu'elles sont irréprochables en tout points. Elles s'apercevrons rapidement qu'elles sont observées et elles en déduiront que nous vous avons parler. Cela mettra moi et mes amis en danger....
Je ne vous dirai rien de plus avant que je soit sûr que vous nous croyez et que vous êtes de notre coté.
Nous avons l'intention de mener notre enquête pour découvrir la vérité et lutter que cette organisation.
Si vous voulez nous aider vous nous le direz. Je suis actuellement à l’hôtel du Prieuré dans l'éventualité que je change d'adresse je vous le ferai savoir."


*Je me lève; (J'ai toujours mon manteau).
A Alice :*

-"Nous y allons."

-"Réfléchissez et dites moi si vous êtes près à nous suivre dans cette aventure."

*Je sors du café et appel un fiacre.*

*l'inspecteur regarde partir les deux jeunes gens sans broncher.
l'assurance d'Arthur l'a ébranlé et il se sent pris dans un tourbillon de questions qui fusent et virevoltent dans son esprit.

oui, il a besoin de temps pour réfléchir...aussi étrange que cela puisse paraître, il a confiance en cet homme et sent qu'il ne partira pas en catimini avant de l'avoir revu.

il sort à son tour du café et repart vers son bureau pour mettre de l'ordre dans ses pensées confuses...


un fiacre s'arrête devant Arthur et Alice et le cocher demande où il doit emmener ses clients.*

-"A l’hôpital s'il vous plait."

*Je me rend dans la chambre de Al.*

*Al voit entrer Arthur et Alice et son regard se fait interrogateur.*

-"déjà de retour ? alors ? racontez-moi ce que vous avez fait..."

*J'enlève mon manteau et m'assois dans le fauteuil des "visiteurs"*

-"Je voulais savoir si tu avais besoin de quelque chose avant que je ne reparte sur Dinard...
Tu es sûr de vouloir continuer sur cette voie? C'est risqué et nous ne sommes pas sûr d'avoir des résultats. J'ai pris contact avec l'inspecteur... Je ne sais que penser de lui. Il me semble assez borné et très terre à terre pour ce genre d'aventure mais il me semble honnête.

Quand pourra-tu sortir de cet hôpital. Je ne suis pas très rassuré de te savoir seule ici. On ne sait jamais, ils pourraient s'en prendre à toi.

Il nous faudrait un endroit pour nous loger tous ensemble... Une sorte de villa que nous pourrions défendre..."

*Al se rembrunit.*

-"le docteur m'a dit que je ne pourrais guère sortir avant une bonne semaine, hélas.

la blessure est profonde et je n'ai pas de peine à le croire vu la douleur qu'elle me cause lorsque je bouge un peu trop.

quand à répondre à ta question : oui, je suis toujours décidé.
l'inspecteur, s'il arrive à dépasser ses convictions sur ce qui est réel ou non, sera une aide plu que précieuse.

laisses-lui du temps, Arthur, il n'est pas facile de remettre en question tout ce qu'on croyait être la vérité.

s'il ne te crois pas, au pire, il te prendra pour un fou.
qu'importe alors cela n'aura pas d'incidences..."

*Al semble réfléchir quelques secondes avant d'ajouter d'un air goguenard.*

-"quoique si, peut-être pour toi, qui risque fort de te retrouver dans un asile d'aliénés.

ne crains rien, je te promet de t'en sortir dès que je serais sur pieds si cela arrivait..."

*il te fait un clin d'oeil mais Alice grimace.
l'idée que l'inspecteur vous ai pris tous les deux pour des fous est, en effet, une hypothèse fort probable.
le temps, seul, dira si oui ou non il vous a cru et s'il sera des vôtres ou pas.*

-"pour ce qui est de trouvé une villa à louer, il y en a dans Dinard mais, pour ma part en tout cas, je n'ai guère les moyens de la payer.

il faudrait voir cela avec Alexandre.
de par son métier, peut-être aura t-il plus de facilité pécuniaire."

*Alice réfléchit avant de dire.*

-"tu parles de Dinard mais peut-être pourrions-nous trouver à Saint-Malo ?
ou même dans les environs ?
il y a le village de Pleurtuit, celui de Saint-Briac ou de Saint-Lunaire, même.

je m'occuperais, si vous le voulez bien, de chercher demain un logis adapté à nos besoins.
cela vous convient-il ?"

*J'éclate de rire à la blague de Al.*

-"Je suis d'accord avec toi en ce qui concerne l'inspecteur : il lui faut du temps. De toute façon s'il avait pris sa décision trop vite je n'aurai pas eu confiance en lui.

Pour la villa, qu'elle soit sur Saint Malo ou Dinard cela ne change pas grand chose. Mais il nous la faut rapidement.
Je vais aller voir mon dernier client. C'est un homme riche et il pourra peut-être nous aider de ce coté.

Repose toi bien Al et soit prudent..."

*Je remets mon manteau et sors.
Je prend un fiacre.*

-"A Saint-Servant, connaissez-vous l'adresse de monsieur Riou?"

HRP : je ne me souviens plus si je lui ai rendu compte de mon enquête.

*le corps trempé d'Alice est froid, ses lèvres et sa peau sont blême.
elle semble très légère et ses traits sont un peu déformés comme si...elle manquait de consistance.

dans un mouvement de tes bras, sa tête roule sur le côté et tu distingues sans l'ombre d'un doute deux petites traces dans son cou blafard.

elle est morte et lorsque le médecin arrive, il ne lui faut pas deux minutes pour le constater.

il secoue tristement la tête et te regarde avec compassion, se méprenant sur qui tu étais pour elle.

il pose sa main sur ton épaule dans un geste de réconfort avant de demander qu'on fasse venir un chariot pour emmener le corps.*

-"où désirez-vous que l'on mène son corps, monsieur ?
à votre domicile ?"

*pour le médecin, il semble évident qu'elle s'est noyé.
il n'a pas l'air d'avoir fait attention aux deux petits trous qui perce la peau du cou d'Alice...*

°°Ils n'attaqueront pas qu'ils disaient... C'est bien une guerre qui se prépare que l'on ne me dise pas le contraire!!!!!!!!!!!!!!!°°

*Je fixe le visage sans vie de mon amie.*

-"Non, c'était une amie de voyage.... Je n'habite pas le coin et je ne connais même pas sa famille...... Elle s'appelait : Alice Rendell... Je ne peux pas vous dire grand chose de plus... S'il y a le moindre soucie avec le corps faite le moi savoir, je suis descendu à l'hotel du Prieuré, demandé Arthur Debrefeuille."

*Je quitte le quai pour me rendre à mon hotel.*

°°Des goules, des morts-vivants et maintenant des vampires! Il faut que je me trouve un coin protégé et des armes efficaces!°°

*J'accours vers la plage en reconnaissant la voix d'Arthur et reste sans voix à la découverte du corps d'Alice.
Je m'agenouille devant elle et passe ma main sur son visage, toujours sans voix.

Puis je regarde Arthur*

-"Qu'est ce qu'il s'est passé?"

-"Il y a trop de monde ici... Viens, laissons les s'occuper du corps de notre amie."

*Je lui fais signe qu'il faudrai se mettre à l'écart pour discuter de ces choses.*

*Je le suis.*

*vous vous éloignez tandis que le médecin et d'autres hommes s'occupent de porter Alice jusque dans un fiacre qui s'est offert pour transporter le corps...*

-"J'ai remarqué deux marque sur son coup qui font pensées à une morsure de vampire.
Il se passe ce que je craignais le plus : nous n'avons pas été assez discret et nos ennemis sont passés à l'offensive. Il vont finir par nous avoir un par un! On ne se quitte plus jusqu'à ce que nous ayons trouvé un refuge sûr où passer la nuit.
J'ai trouvé une personne ayant accepté de nous financer en payant le louer d'une villa. On demandera aux sœurs de le bénir pour nous protéger de toute attaque à l'intérieur.

Cette mort nous montre bien que nos ennemis ne resterons pas inactifs.

Il faut retrouver les autres pour les prévenir et être plus prudents.

Tu sais où les trouver?"

-"Les autres? Je ne connais que toi et....Alice...

Al est encore à l'hôpital."

Ouppssss Je pensais que l'on était plus nombreux... Oublis la réplique précédente....

-"J'ai remarqué deux marque sur son coup qui font pensées à une morsure de vampire.
Il se passe ce que je craignais le plus : nous n'avons pas été assez discret et nos ennemis sont passés à l'offensive. Il vont finir par nous avoir un par un! On ne se quitte plus jusqu'à ce que nous ayons trouvé un refuge sûr où passer la nuit.
J'ai trouvé une personne ayant accepté de nous financer en payant le louer d'une villa. On demandera aux sœurs de le bénir pour nous protéger de toute attaque à l'intérieur.

Cette mort nous montre bien que nos ennemis ne resterons pas inactifs.

Il faut mieux s'organiser et être plus prudents."

-"Je vois.

Restons ensemble pour l'instant alors. Ils ont agit de jour cette fois, ça n'annonce rien de bon...

Il nous faut savoir comment ils s'en sont pris à Alice."

-"Ça marche."

*Je retourne vers l’attroupement entour du corps.*

-"Est-ce que quelqu'un à vu quelque chose sur la navette?
Elle devais se rendre à Dinard... Elle est tombée à l'eau?.... Elle a glissée???"

*Je suis à 100% dans mon job....*