Gäyana (Partie roleplay).

Sérisséa fronce le nez lorsque tu parles de marins dormant dans la cabine.

- Je doute que quiconque puisse dormir par un temps pareil.

Sinon, pour le reste, les deux semblent d'accord avec ton plan. Prenant les chaînes, Sérisséa s'approche de la porte et avec rapidité réussie à coincer la poignée de porte. Le bruit de la tempête est tel qu'il couvre aisément les cliquetis des chaines. Une fois cela fait, Mordaî use de sa griffe aiguisée comme d'un outil de crochetage pour ouvrir les portes une à une. Rien, les autres cabines sont vides. Sérisséa, au fur et à mesure que vous revenez vers la cabine du capitaine éteint les lanternes plongeant le couloir dans l'obscurité. Elle prend place dans la cabine faisant face à celle où vous étiez prisonniers pour surveiller l'escalier.

- Je verrais arriver les gens et eux n'y verront rien. Je pourrais ainsi vous prévenir sans être vue tout de suite.

Votre sentinelle aux aguets, Mordaî et toi allez jusqu'à la porte du capitaine. Là, selon ton plan, le léonal parle d'une voix affolée mêlée de crainte. Une belle performance qui a le mérite de fonctionner à merveille. De derrière la porte vous entendez une voix grave pester aussitôt.

- Par les enfers, comment avez-vous pu les laisser sortir de la cabine ! Ne devaient-ils pas être enchaîner ? Sacrebleu !!

La porte s'ouvre à la volée sur un homme d'une quarantaine d'années au visage grêlé et aux cheveux courts et bruns. Ses yeux noirs flamboient de rage tandis que sa fine moustache frémit d'indignation. Il est vêtu d'une chemise écru et d'un pantalon en toile beige. Ses bottes en cuir noir sont huilées afin de résister aux assauts de l'eau salée. Il ne porte pas d'armure ni même d'arme...du moins apparente. La colère de son regard fait place à de l'ahurissement et il blêmit en voyant devant lui les fameux prisonniers disparus. Mordaî ne lui laisse pas le temps de réagir et d'un formidable coup de pied en plein torse le repousse vers l'intérieur de la cabine. Déséquilibré, le capitaine s'étale de tout son long sur le tapis de sa cabine. Réagissant avec promptitude, il se tourne pour se relever, les yeux rivés sur son bureau. Il ne t'es pas difficile d'imaginer qu'une arme doit s'y trouver. Te laissant gérer le capitaine, Mordaî referme la porte derrière vous et se place devant pour empêcher votre geôlier de s'enfuir...

Le capitaine eu la gentillesse de venir ouvrir la porte a ses prisonnier... sa tête de mécontentement ses vite fait transformer en déconfiture lorsqu'il vue la jeune gith et Mordaî a sa porte. Ne perdant pas de temps l'homme lion le mit aux sol d'un bon coup de pied puis si mit devant la porte empêchant toute possibilité de fuite.

L'homme penchant son regard plutôt sur son bureaux que vers la porte méta la puce a l'oreille sur une potentielle arme ou moyen de donné l'alerte ou de fuir... S'élançant, d'un bond, elle tenta de le maintenir au sol affin de l'assommer pour pouvoir ensuite l'attacher et lui posé des question.

Attaque à mains nues : +7 / 1d8+2 (Déluge de coup -2 à l'attaque + 1d4-1 pour le nombre de coups)

Gäyana a effectué 1 lancé(s) d'un (D4.) :: 3

Gäyana a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 7

+7

Gäyana a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 10

+7

Puis une fois maitriser elle lui demanderait si il y a d'autre prisonnier et voir aussi si il a déjà amener un autre gith sur l'ile ...

je sais pas trop comment marche les dégât non létaux pour l'assommer, ensuite l'attacher pour le questionner. Pendant que il roupille On en profite pour fouiller la pièce et son bureaux.

(hrp : Je vais considérer que tu le rend groggy, le temps de l'attacher. Wink

)

Une fois attaché, le capitaine met quelques secondes à se remettre de tes coups. Il t'écoute, l'air buté, mais face à la menace de tes poings, se décide à être raisonnable. A tes questions, il répond, d'un air bourru.

- Non, à part vous, je n'ai pas d'autres prisonniers sur le navire.

Quant à savoir s'il a déjà transporté un autre githzeraï que toi, il avoue.

- Oui, un mâle, il y a déjà quelques temps.

La tempête n'a pas l'air de vouloir s'arrêter et le regard inquiet du capitaine vers le carreau qui donne sur la mer déchainée t'indique combien cet état de fait l'effraie. Mordaï, lui-même, ne peut s'empêcher de le remarquer.

- Quelle tempête...on dirait qu'Umberlie, elle-même, se déchaine contre notre navire !

Cette allusion à la déesse garce te rappelle soudain l'affaire de la chapelle du festival et la mort de la prêtresse et de ses requins-garous. Ta présence pourrait-elle avoir un rapport avec la fureur de la mer contre le navire ?

En entendant que un autre membre de sa race fut déjà emmener sur l'ile la gith lui répondit :

QUAND SA !? COMMENT ETAIT-IL !? SON NOM ?! finit-elle en voulant des réponse... si le capitaine ne passait pas une bonne journée c'elle si ne risquait pas de s'améliorer... Puis reprenant c'est esprit est sa concentration elle ajouta :

Bien! Nous somme loin de notre destination ? comment se passe votre trafique? votre façon de procéder et d'agir et de refourguer vos victimes capturer ? Il me faudrait un plan de l'endroit de l'ile ou nous allons... sont infrastructure, ses garde... le nombre de prisonnier ! Je vous assure qu'il est dans votre intérêt de coopérer! Finit-elle puis elle ce mit a fouiller le bureaux en écoutant le capitaine.

Tout en fouillant son bureaux elle écouta les inquiétude de son collègue... Gäyana se souvins des mésaventure qu'elle avait eu avec une prêtresse... est déclara en se tournant vers le capitaine et ce rapprochant de lui.

Il ce peux que mon groupe est moi est contrarier Umberlie l'ors d'une de nos missions, quel idée de me faire traverser les eaux vous voulez notre mort a TOUS ! Finit-elle avant d'appuyer : coopérait est nous pourrons peut être nous en sortir tous!

Est-il possible de faire demi tour? Ou nous sommes plus prés de l'ile ou vous nous amenez ? Finit-elle

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