L'affaire Éllyssandre de Valdoré : section commune.

Ce moment était véritablement délicieux, et le jeune homme buvait les paroles de la demoiselle autant qu'il se délectait de ses lèvres. Il la fixait avec intensité et un grand sourire :

- Nous formerons une équipe infernale, tous les deux ! Rien ni personne ne pourra nous résister !

il nota qu'elle ignora la seule question importante qu'il avait posé... son âge ! Ca ne se faisait pas d'insister, mais il accordait une importance démesurée à ce genre de détails, à croire qu'il en était déjà amoureux pour s'enticher de telles banalités.

- Je sais que ça ne se demande pas aux dames, mais vous n'êtes encore qu'une demoiselle, alors dites-moi donc combien de printemps avez vous connu, très chère ? Ne m'obligez pas à torturer votre grand père pour le découvrir ! conclut-il en riant.

Ce faisant, son regard fut attiré par Gayana en train de papoter avec un étranger et surtout par deux yeux colère qui se détournèrent pour quitter la soirée. Cruel dilemme pour le mercenaire. Ses yeux allèrent de la silhouette enflammée d'Ambre aux yeux turquoises de Sandryl et il lui fallait décider ce qu'il souhaitait faire. Courir deux lièvres à la fois était rarement une bonne idée, mais il n'oubliait pas qu'Ambre était une sorcière et donc autrement plus dangereuse que la jeune noble.
Puis après un instant de réflexion intense, il prit sa décision :

- Aviez-vous prévu de faire d'autres rencontres ce soir, très chère, ou m'accorderez-vous toute cette fête et la nuit qui suit ?

Parfois, le coeur a ses raisons que la raison ignore.

Sous son apparence insectoïde, Lander esquissa un sourire, qui se limita à soulever les coins de sa bouche sans lèvres, avant de chuchoter à l'intention de Méliok :

- J'pense qu'avec c'qu'on a trouvé, ton maître va faire un long séjour au cachot. Il faudrait prévenir les autres que c'est le moment de mettre les bouts.

Se rappelant soudain que le jeune domestique ne savait pas exactement qui étaient les "autres", l'adolescent expliqua :

- Tu connais le sergent Fredrick ? Dis-lui qu'on a des preuves et qu'il peut partir. Si tu vois aussi une génasi de feu à la chevelure rousse, Ambre qu'elle s'appelle, passe lui le même message. Moi, j'essaie de trouver le reste de l'équipe.

Et Kato Massawech, le Dromite d'un soir, alla se mêler de nouveau au invités, arpentant les différents salons à la recherche de Gayäna ou d'Astanndar. Il espérait les trouver rapidement et leur passer discrètement son message. Plus vite ils auraient tous quitté les lieux, mieux cela serait pour leur sécurité.

La jeune gith lui répondit;

Et bien, je suis pas mal demandez entre messire Malefosse ,Messire Rochenoir d'autre nobliaux avec qui j'ai fait connaissance autour de cette soirée... Mais rassuré vous dé que j'aurait un moment de libre, je tenterait de tous venir vous voir. Je suis sur une enquête a propros d'un voleur de spiritueux une fois capturer j'aurai pas mal de temps libre...A croire que ma personne attire tout les regars.. Finit-elle d'un léger sourire.

écoutant avec enthousiasme cette pluie de nouveauté d'histoire et d'aventure elle repris un regards plus fermes, pour répondre a sa question:

Ceux de ma races vouent une haine profonde et sans limite aux Illithides, ou flageleur mentaux que vous appeler par ici! Ces mangeurs de cerveaux vous transforme en légume en repas ou en serviteur de votre plein grés sans que vous en ayez conscience! Ces horrible créature ont asservie les miens en esclavages des siècle durant avec que la grande révolte n'aboutisse a notre liberté. Maintenant il se cache et nous les traquons et chassons quand nous en localisons certains. Mais pour cela nous avons besoin de plusieurs guerriers expérimenter qui sont sélectionner pour le rakmma.

D'aillieurs a la base, si je suis venue ici avec mon mentor, c'est qu'ils y a peut être des signes que l'un deux ce terre ici.

Astanndar, la joviale Sandryl glousse, amusée de te voir insister sur son âge.

- Je vois que mon âge vous tiens à cœur, mon ami. Eh bien soit, je vais vous le dire...je viens de fêter mes 21 ans.

Elle se penche vers toi pour te chuchoter.

- Presque une vieille fille !

Elle pouffe avant d'ajouter.

- Mais rassurez-vous, je garde un esprit jeune.

A ta question de savoir si elle doit voir d'autres personnes que toi ce soir, elle pousse un soupir déchirant.

- Ah que n'avez-vous garder cette question pour vous, mon tendre ami. Cela m'aurait donner une bonne excuse pour oublier mes devoirs de la soirée. Hélas, maintenant qu'elle est posée, je me dois de vous répondre qu'en effet, je dois offrir quelques instants à trois dames de la bonne société et à leur fils qui pourraient, croient-elles, faire pour moi un bon parti.

Elle secoue la tête.

- Cruelle désillusion qui va être la leur lorsque je leur ferais savoir qu'ils auront plus de chance de se marier avec une dinde ou une poule.

Elle se penche à nouveau vers toi.

- Bien entendu, je ne le dirais pas ainsi mais je n'en penserais pas moins !

son regard espiègle pétille tandis qu'elle dépose sur tes lèvres un doux baiser.

- Vilain curieux, vous allez devoir vous rongez d'impatience avant que je ne puisse vous retrouvez. Priez donc Tymora afin que nos retrouvailles aient lieu ce soir...sinon, cela devra attendre demain.

Avec un clin d’œil, elle te laisse et file vers une dame d'une cinquantaine d'années, maigre comme un clou dont la robe en soie noire ne fait qu'accentuer son état quasi cadavérique. Un maquillage outrancier n'aide pas à la mettre en valeur pourtant la dame semble persuadée du contraire. A ses côtés, un jeune homme d'une vingtaine d'années, très mince, un peu courbé en avant, aux dents de lapin et à la laideur certaine. Avant d'entamer la discussion avec la dame et son rejeton, Sandryl te glisse un dernier regard qui semble te dire : "tu n'as rien à craindre de ce laideron"...Hélas, la damoiselle a choisi, elle, la raison plutôt que les élans de son cœur, du moins pour la soirée. Il est vrai qu'elle a des obligations à rendre à sa famille, chose qu'ici, tu n'as pas à faire pour la tienne.

Lander, Méliok t'offre un sourire radieux à l'idée de voir son maître partir en geôle. Il chuchote.

- Puisse Tyr t'entendre. Ce serait une belle délivrance de voir cet homme réduit à l'impuissance et face à la justice.

Il grimace toutefois.

- Même si cela n'empêchera pas la faculté de nuisance de son épouse. Enfin, ça en fera déjà un de moins !

Il écoute tes recommandations et hoche la tête.

- D'accord, je vais prévenir le sire Frédrick. Que Tymora te garde, ami !

Il part aussitôt et te laisse seul regagner les salles de la réception. Alors que tu cherches, tu finis par apercevoir Astanndar qui se dirige vers un petit salon où se trouve Gäyana en grande conversation avec un calishite. La dame de la chance semble te sourire...

Gäyana, le sire Abiraï Salamm hausse un sourcil.

- Vous enquêtez sur une affaire de vol de spiritueux, dites-vous ? Seriez-vous un membre du guet de la cité, ma dame, ou êtes-vous employée par la victime de ce forfait odieux ?

Découvrir que tu es une enquêtrice semble l'étonner autant que l'intéresser. Il est vrai que les nobles n'ont pas pour habitude de côtoyer les gens du peuple surtout dans une telle soirée. Lorsque tu expliques qu'un illithid pourrait se cacher parmi les gens de l'île, le calishite te lance un regard épouvanté.

- Diantre, puissiez-vous avoir tord, ma dame ! Une telle créature pourrait faire des ravages incommensurables sur Gemmaline et asservir la population...

Le frisson qui parcours son corps n'est pas feint et tu le vois soudain devenir inquiet et lancer des regards soupçonneux autour de vous deux. Le doute, voilà une arme terrible et tu viens, volontairement ou non, d'en faire usage sur ton interlocuteur. Mais qui sait ? Finalement, n'est ce pas un bien que les gens puissent se rendre compte du danger qu'ils courent si un illithid était dans les parages ? En regardant les gens autour de toi, comme le fait le sire Salamm, tu vois Astanndar approcher...

Et bien comprenais vous, je suis nouvelle sur cette ile et il faut bien que je puisse trouvez de quoi gagniez mon pain... J'ai optez pour chasseur de prime cela me laisse pas mal de liberté tout en choissisant mes missions ainsi que de pouvoir me permet de découvrir la ville,... c'est environs.... et me faire par la même occasion quelque relation par la meme occasion.... si vous voyez ce que je veux dire Finit-elle d'un sourire malicieux.

Puis plus sérieuse elle répondit de nouveaux:

C'est la raison de ma venue de moi et mon mentor Gweinar, de nous assurer qu'il n'y en est point de présence de cette menace sur l'ile, Tout la population serait en danger! Mais notre missions principal a été retardé car nous avons était séparer... Et je le recherche... Mais j'ai pu avoir quelque renseignement pouvant peut être me permette d'avoir une piste sérieuse pour le retrouvé..

Le plus grand mystère de la soirée était enfin résolu ! Il ne put s'empêcher de hausser un sourcil d'étonnement lorsqu'elle annonça son âge :

- Je vous croyais plus jeune... Mais vous êtes la vieille fille parfaite à mes yeux !

Il avait encore beaucoup de choses à lui dire mais elle lui expliqua qu'elle avait quelques obligations. Il ne s'en faisait pas de son côté, assuré que personne ici ne pouvait l'égaler, et le baiser qu'elle déposa sur ses lèvres avant de l'abandonner pour les vieilles pies et leurs marmailles mal dégrossies le conforta dans son jugement.

- A très vite ma mie ! Il en était certain, il la retrouverait ce soir, du moins, il ferait tout pour.

Il la suivit des yeux, d'un regard tendre, avant de la laisser vaquer à ses occupations. Sa coupe était vide, et toutes ces émotions donnaient soif. Sur sa route : Gayana ; la belle et la bête, pensa-t-il. Il haussa les épaules et une fois son verre plein de nouveau, il put réfléchir sur la suite de la soirée.
Il en connaissait déjà la conclusion, mais il fallait meubler un peu d'ici là. Ambre avait disparu, et il serait de mauvais aloi de lui courir après : il n'y a rien de plus dangereux qu'une sorcière en colère. Donc l'être planaire discutait avec un vieux débris mal fagoté... Fallait-il la sortir de ce pétrin ?

A y regarder de plus près, les frusques du noble semblaient provenir du Calimshan, ou du moins, était-il la représentation typique d'un homme de ces contrées. S'il était bien calishite, il devait certainement connaître l'amie de Sandryl...?
Ah ! Que ne ferait-on pour s'attirer les bonnes grâces du beau sexe ?

Mais avant qu'il ne se décide sur son approche, il aperçut un dromite et se souvint que c'était Lander sous déguisement. Interloqué, il s'en approcha et ne se remémorant pas son nom d'emprunt, se contenta d'un :

- Hey, petit ! Tout se passe comme tu veux ?

Après avoir côtoyé les plus belles filles de la soirée, le voilà à parler avec un affreux dromite : quelle déchéance !

Alors que son tempérament naturel aurait conduit Lander à arborer un large sourire et à répondre chaleureusement à Astanndar pour lui faire part du succès de ses investigations, le jeune voleur se rappela juste à temps de son rôle de composition pour afficher un visage impassible et légèrement choqué par la familiarité du noble.

- Heureuse rencontre, messire, laissa-t-il tomber d'une voix pincée. Les festivités semblent tenir toutes leurs promesses et je gage que vous n'êtes pas le dernier à en profiter.

Après avoir lancé un regard circulaire pour s'assurer qu'aucun autre invité n'était assez près pour intercepter les propos d'une conversation tenue à voix basse, l'Aquafondien reprit en chuchotant :

- Nous avons les preuves que nous cherchions. Jehans est parti les mettre en sécurité et nous pouvons donc déguerpir nous aussi. Vous prévenez dame Gäyana pendant que je refais un tour pour vérifier qu'Ambre et le sergent Fredrick ont bien eu le message ?

D'ailleurs, si Lander voyait Gäyana et faisait confiance à Méliok pour prévenir Fredrick, où se trouvait donc la flamboyante génasi ?

Gäyana, le sire Abiraï Salamm t'écoute et hoche la tête.

- Ma foi, c'est une bonne façon d'allier l'utile à l'agréable, si je puis dire.

Il fronce les sourcils quand tu lui parle de ton mentor.

- Vous étiez donc en ville à la recherche d'une menace illithid ? Et vous y avez perdu votre mentor...voilà qui est fâcheux.

Le calishite semble réfléchir.

- Je n'ai pas une grande influence dans cette cité, ma dame, mais si je peux vous venir en aide d'une quelconque façon, n'hésitez pas à me le dire. Je me ferais une joie de vous assistez dans votre recherche.

L'offre semble sincère et ta révélation sur une possible présence aussi hostile que celle d'un flagelleur mental avoir crée chez ton interlocuteur une réelle inquiétude. Quand tu lui annonces avoir peut-être une piste, il te demande.

- Ah oui ? Laquelle ?

Astanndar, un domestique s'empresse de t'apporter une nouvelle coupe de vin avant de disparaitre pour remplacer aussitôt celles des autres invités qui en ont besoin. En regardant mieux du côté de Gäyana, tu t'aperçois que ce que tu avais pris pour un petit noble mal fagoté est en fait un calishite à la vêture recherchée et coûteuse. Est-il un ami de l'autre calishite ? Si oui, Gäyana n'est pas plus en sécurité face à ce triste sire qu'elle ne l'était face à son compatriote. Si non, peut-être pourrait-il faire un allié ou, du moins, une source de renseignements. En attendant de le savoir, tu vois approcher Lander sous son déguisement de hideux dromite. Ta familiarité lorsque tu t'adresse à lui choque un couple de noble d'une cinquantaine d'années qui se trouve tout près. La noble dame met sa main sur sa bouche pour montrer son indignation tout en poussant un petit cri de désapprobation. Son époux, du moins tu le suppose, te lance un regard de reproche, montrant ainsi, lui-aussi, son mécontentement face à cette entorse à l'étiquette. Heureusement, Lander joue la carte de l'indifférence face à ce manque de savoir-vivre et le couple, rassuré devant son attitude digne, se détourne de toi mais tu les entends chuchoter sur la déliquescence de la jeunesse noble...

Lander, voyant combien la familiarité d'Astanndar choque un couple de nobles invités, tu joues l'indifférence et tu entames la conversation avec lui comme si ce dernier ne s'était pas montré grossier. Rassuré face à ton attitude courtoise, les deux nobles se détournent mais tu entends, comme Astanndar, le couple chuchoter sur le manque d'éducation des jeunes nobles et leur laisser aller face au savoir-vivre. Le couple s'éloignant un peu, tu peux chuchoter à ton tour et être certain de n'être entendu que par ton compagnon d'enquête. Tandis que tu expliques la réussite de tes recherches sur Rochenoire, tu balaies la salle du regard pour y chercher tes autres compagnons. Gäyana est toute proche et discute avec un calishite tandis que plus loin, tu aperçois Méliok en train de servir un verre à Frédrick tout en lui chuchotant quelque chose...mais d'Ambre, tu n'en vois aucune trace. Cela te semble étrange car la superbe génasi de feu ne passe jamais inaperçue. Où peut-être bien être ? Sachant qu'Astanndar est arrivé avec elle, il doit savoir où elle se trouve...

Sauvé par l'attitude de Lander, Astanndar ne se formalisa pas des critiques et se contenta de rouler des yeux aux vieux grincheux. Il se fit toutefois violence pour parler à Lander comme s'il était lui aussi quelqu'un d'important :

- Les festivités sont toujours exaltantes lorsque je les honore ! Et je dois bien avouer que le seigneur Rochenoire sait recevoir et s'entourer de personnes de qualité... de manière générale, conclut-il avec un signe de tête vers le couple choqué.

Puis vint le temps des secrets, et le dromite de circonstance d'expliquer qu'il avait trouvé ce qu'il souhaitait. Astanndar acquiesça, prenant note de cette réussite et de la suite à donner. Il répondit sur le même ton que le jeune homme :

- Ambre est partie il y a peu, avec un peu de chance, nous pourrons la rattraper. Mais pour le reste, c'est très bien. C'était plus facile que ça en avait l'air, finalement.

Et évidemment, il devait lui aussi faire part de ses réussites :

- De mon côté, je n'ai pas chômé. J'ai décroché une invitation demain avec chacun des Rochenoire, y compris pour cette fameuse chasse : idéal pour appuyer vos preuves d'un témoignage au plus près. Et j'en ai profité pour résoudre mon enquête. Il ne me reste qu'à trouver un elfe noir marchand de mort, et à le faire parler pour qu'il avoue tout : la partie la plus amusante de cette mission !

Par contre, il n'oubliait pas le plus important :

- Je te laisse rattraper Ambre, de toutes façons, elle ne voudra sûrement pas me voir et je ne tiens pas à subir ses commisérations. Je t'envoie Gayana, j'aurais sûrement du retard, une petite affaire à régler... On se retrouve chez le kobold ?

Il parlait évidemment de retrouver Sandryl avant de rejoindre l'échoppe de Droog (ou autre lieu de rendez-vous).

Astanndar se chargeant de prévenir Gäyana, Lander n'avait plus vraiment de raison de s'attarder et, nonchalamment, gagna la sortie de la résidence Rochenoire. Sans dire un mot, il inclina simplement la tête pour remercier l'homme qui lui ouvrait la porte et fit quelques pas à l'extérieur, cherchant à apercevoir la chevelure flamboyante de la génasi.

Cette dernière était certainement partie depuis plus longtemps que ne l'avait laissé entendre le noble car le dromite d'un soir ne la voyait nulle part. S'éloignant encore un peu, Lander se fondit dans l'ombre pour reprendre son apparence normale, une fois hors de vue du personnel de l'hôtel particulier. Plissant les yeux, il leva la tête pour inspecter les toits, cherchant à trouver où Tily et Tikka s'était embusqués pour surveiller les allées et venues. Ambre n'était certainement pas passée inaperçue à leurs yeux exercés et les rouquins pourraient certainement confirmer son départ vers l'échoppe de Drog.

la jeune gith écouta la réponse du sire abiraï est lui répondit:

N'ayer crainte messire si vraiment je tombe a court d'idée je n'hésiterait pas a venir vous voir... Grace a messire Rochenoir j'ai pu me faire pas mal de contact a cette soirée moi qui était un peux réticente je m'en retrouve comblé un des invité de ce soir ma informé que on l'aurait vue dans une taverne.... Cela me donne une bonne idée de ou chercher.

Omettant quelque précisions facultative... Gäyana répondait a son interlocuteur tout en gardant des informations importante de coté. Elle n'était pas sur dans ce repère a loup de faire assez confiance a un membre proche du chef de la meute.

Puis d'un bref regard de l'assemblé elle tacha de voir si les sbires de rochenoir la reloquer toujour autant et au passge voir ou en était les autres..

Astanndar, après avoir parlé avec Lander, tu te diriges vers Gäyana afin de la prévenir de quitter les lieux. Tu vois Sandryl en pleine conversation avec une dame et son fils. Elle a l'air de s'ennuyer ferme et sourit mécaniquement tout en poussant de discrets soupirs. Sûr qu'elle n'attend qu'une chose : qu'on vienne la sauver !

Gäyana, alors que tu jettes un regard pour repérer les gardes de Rochenoire, tu vois Astanndar s'approcher de toi. Il est évident qu'il désire te parler mais pas avec le calishite à tes côtés. Il va te falloir prendre congé de cet homme avec diplomatie. On ne sait jamais, il pourrait te servir de contact en cas de besoin. Tu vois du coin de l’œil deux gardes qui t'observent mais ils sont à une distance qui ne leur permettent pas d'entendre ce que tu peux dire...

Lander, une fois ta discussion avec Astanndar terminée, tu sors de la demeure des Rochenoire mais tu ne vois Ambre nulle part. En t'éloignant un peu et en surveillant de n'être pas vu de personne, tu reprends ton apparence réelle avant de chercher du regard Tikka ou Tily. finalement, c'est un petit sifflement discret qui fini par t'indiquer Tikka sur un toit non loin. En grimpant à ses côtés, tu peux admirer la vue imparable qu'il a sur la demeure des Rochenoire et sur la rue qui la dessert. Dès que tu es proche de lui, tu vois qu'il est très nerveux et il ne te laisse pas le temps de parler.

- On a un gros gros problème ! Dame Ambre a été enlevée !!

Il t'indique la direction et t'explique l'attaque fulgurante de sa calèche.

- On a rien pu faire mais Tily suit la calèche par les toits. Elle pourra nous informer dès qu'elle reviendra.

Pour le moment, tu as juste la direction par où est partie la calèche. Tikka t'indique aussi la ruelle dans laquelle la calèche a tourné avant de disparaitre à sa vue. Il est très ennuyé et s'excuse.

- J'suis désolé, mais je ne pouvais pas partir de ma planque au risque que quelque chose d'autre me passe sous le nez, tu comprends ?

Il est très malheureux de ne pas avoir pu aider Ambre et de ne pas avoir pu te prévenir avant. Il te regarde et te demande.

- Je fais quoi ?

Astanndar voulait s'entretenir avec elle ! Etrange a moins que celas ne soit pour lui parlez d'affaire plus confidentielle...

Observant les alentours, et ne manquant pas de voir les nombreux profil exotique donc elle faisait partit elle expliqua:

Le temps passé avec vous était super cependant il y a quelque personne avec qui j'aimerait m'entretenir aussi mais avant cela il faut que j'aille au vestiaire mais je ne manquerait pas de retourner vers vous pour en apprendre plus sur vos histoire une fois que j'aurais enrichie mes connaissance avec toutes c'est merveilleuse peuplades venues de bien loin.

Puis, prenant congé elle ce dirigea vers le nobliaux qui semblait la demander.

Le poste d'observation choisi par la fratrie était idéalement situé. Non seulement, il offrait une vue imprenable sur la maison à surveiller mais il permettait également de le faire en était parfaitement dissimulé. Lander n'eut même pas le temps de complimenter Tikka pour la justesse de leur choix que le rouquin lui faisait déjà un rapport inquiétant.

Concentré, l'adolescent n'interrompit pas son camarade, le laissant lui livrer toutes les informations. Devant la détresse de son complice, Lander le rassura bien vite :

- Vous pouviez rien faire et vous avez réagi comme des pros, murmura-t-il en levant un pouce en signe d'approbation. Tu dis que la calèche est partie par là ?

Le jeune voleur réfléchissait rapidement pour essayer de déterminer la meilleure chose à faire. La sagesse recommandait d'aller chercher des renforts, notamment le sergent Fredrick qui pourrait mobiliser ses hommes mais cela risquait de prendre trop de temps et ne correspondant pas au caractère fougueux de l'adolescent. Il allait certainement faire une bêtise mais il ne perdrait pas une seconde de plus.

- Toi qui connait la ville comme ta poche, t'as pas une idée où ils peuvent aller ? reprit-il à l'intention de Tikka. On a pas le temps d'attendre que Tily revienne mais j'suppose que vous avez un code, ta sœur et toi, pour vous suivre à distance ? Tu crois qu'on pourrait facilement suivre sa piste pour la rejoindre ? Il faut gagner du temps mais sans risquer de la louper complètement si elle revient vers nous.

Ce serait idiot de perdre du temps à se chercher alors qu'Ambre était en danger.

- On y va ! décida brusquement Lander. Vas-y Tikka, j'te suis. N'oublie pas de laisser des marques pour indiquer à ta sœur ce qu'on fait, des fois qu'elle revienne par un autre chemin.

Une petite lueur d'excitation brillait dans les yeux de l'adolescent. Une chasse sur les toits de la ville. Il était vraiment dans son élément.

Tout semblait se goupiller à merveille : Lander retrouvait Ambre, il avait Gayana sous les yeux, et avec un peu de chance il ferait d'une pierre deux coups avant de sauver Sandryl et de terminer sa soirée de la meilleure des manières.

Après avoir marqué un temps d'attente, pour observer la scène, il s'approcha du couple Gayana-Calishite, et après s'être éclairci la gorge, s'excusa auprès du vieux riche :

- compatriote de la danseuse Alinor, permettez que je glisse quelques mots à mon amie..?

Son approche avait autant pour but d'informer Gayana que de piquer la curiosité de son interlocuteur et trouver quelques informations sur l'amie de sa mie.

Dès lors qu'il aurait accaparé l'attention de celle qui recherchait son mentor, il lui chuchotera :

- le petit Lander a trouvé ce qu'il cherchait et vous attend chez le gnome.

Il n'avait rien à dire de plus et reportant son attention sur le calishite s'excusera rapidement :

- mes excuses monseigneur, c'est une affaire urgente pour cette dame, et j'ai promis de lui transmettre l'information sans délai..

Pour le reste, il restait à savoir s'il montrerait un quelconque intérêt à la danseuse... Sinon, il aurait à sauver une Bellegarde.

Gäyana, Astanndar arrive devant toi au moment où tu prends congé de ton interlocuteur. Avec courtoisie, il s'excuse auprès de lui avant de t'éloigner un peu pour te parler en privé. Là, il t'explique que Lander a trouvé ce que vous cherchiez et qu'il vous attend chez le gnome. Le gnome ? Quel gnome ? De qui diable te parle t-il là ? Deux possibilités s'offrent à toi : soit Astanndar a fait la connaissance d'un gnome chez qui vous devez tous vous retrouvez et le jeune noble, qui semble un peu avoir la tête ailleurs en lorgnant vers une damoiselle non loin, omet de te donner son adresse; soit il parle de Droog et en ce cas, l'excès de boissons lui fait confondre le kobold avec un gnome. Bizarrement, en s'adressant à ton interlocuteur, Astanndar parle de la danseuse Alinor. Que vient faire une danseuse dans la conversation ? Pourquoi la mentionne t-il ? Tu observes l'attitude du calishite qui hausse les sourcils, surpris.

- Euh, la bonne rencontre messire. je suis le sire Abiraï Salamm. Pardonnez-moi mais je ne connais pas de dame Alinor, encore moins une Alinor danseuse de son état.

Une lueur de compréhension semble alors s'allumer dans le regard d'Abiraï.

- Oh, à moins que vous parliez peut-être d'une danseuse dont j'aurais pu louer les services chez moi ? Hélas, c'est mon intendant qui s'occupe des recrutements du personnel permanent autant qu'occasionnel. Cette dame vous aurait-elle d'avoir travaillé pour moi ?

Astanndar, ta perche ne donne pas grand chose. Abiraï Salamm ne semble pas connaître Alinor et ne semble pas vraiment s'y intéressé sauf sans doute pour tenter d'apprendre de ta bouche si cette potentielle ancienne employée de sa maison aurait pu te dire quelque chose sur sa maisonnée ou son ancien patron qui lui serait préjudiciable. Il te laisse partir avec Gäyana et te saluant d'un bref signe de tête. Pendant ce temps, tu remarques Sandryl qui a réussi à se sortir des griffes de la noble et de sa mocheté de fils. Elle zigzague entre les danseurs, tentant d'échapper à un autre jeune noble tout aussi moche qui semble bien décidé à l'inviter à danser. T'apercevant, elle te fait un petit signe discret voulant certainement dire : "au secours"...

Lander, à ta question sur par où pourrait se diriger la calèche, Tikka hausse les épaules et écarte les mains d'un air impuissant.

- Ils pourraient aller à plein d'endroits différents. Je peux pas te dire comme ça. Faudrait suivre leur piste pour avoir une idée de leur direction.

Il acquiesce quand tu parles d'un signe entre lui et sa sœur pour se "parler" une fois sur les toits. Il sort de sa poche des morceaux de tissus de couleurs différentes.

- La couleur bleue, ça veut dire à gauche. La couleur jaune à droite, la couleur grise, tout droit et le couleur noire demi-tour. La couleur verte c'est pour dire que tout va bien et la couleur rouge qu'il y a danger. Enfin, ça...

Il te montre un lacet de cuir puis un entremêlement de plusieurs morceaux de tissus de couleurs différents.

- Le cuir, c'est pour dire qu'on se retrouve à la maison. Le mélange de couleur, pour dire qu'on est passé par là. Voilà...Allez, suis-moi !

Il prend les devants et se met à marcher rapidement sur les toits, sautant de corniche en corniche, se rattrapant sans mal sur une bordure ou une gouttière. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il est agile et tu es heureux de retrouver cette sensation de liberté que procure le fait de se déplacer ainsi en hauteur, au-dessus des gens qui ne soupçonnent rien de ta présence. A peine le trajet commencé, tu vois une ruelle toute proche de là où vous étiez avec un cocher qui est en train de se faire malmené par un gobelours. Tikka désigne le cocher.

- Ce cocher, c'est celui qui conduisait la calèche d'Ambre !

Le message passé à Gayana, même s'il ne se rendit pas compte de suite de son erreur, il reporta son attention sur Abirai. La danseuse lui était inconnue visiblement, et il haussa les épaules.

- ça n'est pas grave monseigneur, je me doute que vous avez d'autres chats à fouetter que de conter fleurette à des danseuses. C'est juste que l'on me l'a recommandée pour une réception que je prépare prochainement...

Un demi-mensonge... Après tout, il envisageait réellement la plus belle des soirées pour la pendaison de crémaillère de sa future villa.
Il s'excusa encore auprès du calishite, et après avoir pris congé, reporta son regard sur la personne la plus importante à ses yeux ce soir.

Sa chère et tendre semblait avoir du mal à se dépêtrer des harpies et autres prétendants, et il vola à son secours :

- pardonnez-moi messeigneurs, mais dame Bellegarde m'a promis une dernière danse. Et vous vous doutez bien que je ne peux lui refuser cette faveur, et je prendrai comme un affront quiconque s'y opposera..

Sans laisser le temps de réagir à l'assemblée, il lui attrapait déjà la main : les mettre devant le fait accompli devrait suffire à refroidir leurs ardeurs...

Aurait il agi de la sorte s'il savait pour Ambre ? Mystère et boule de gomme.

Ecoutant Astanndar est son chic pour exhiber sa prétention. La jeune gith compris sans mal qu'elle devait retrouvait les autres chez Droog mais cela risquez d'être plus facile a dire que a faire car contrairement aux autres, celle ci était épiez et surveilliez par les sbires de Rochenoir.

Ayant fait le tour de la faite, elle ce dirigea vers le sire Frédrick pour l'avertir, de l'avancement de l'enquête est ainsi repartir de la fête en tout discrétion avec lui en calèche.

Lander ne pouvait que se féliciter de l'ingéniosité de ses recrues. Si tous les membres, actuels et futurs, de l'Essaim faisaient montre de la même débrouillardise, le réseau que le jeune voleur ambitionnait de mettre sur pieds serait d'une efficacité redoutable. Personne ne pourrait seulement éternuer dans les rues de Gemmaline sans que l'adolescent ne soit au courant. Comment utiliser au mieux ses informations serait un sujet à mettre sur la table avec ses lieutenants mais il n'était pas encore à l'ordre du jour. Pour le moment, primait le sauvetage d'Ambre et la découverte du cocher montrait qu'ils étaient sur la bonne piste.

- Impec, t'es un as, félicita-t-il son jeune complice. Ils sont bien passés par là. On laisse tomber le cocher, c'est pas lui qui nous intéresse, et on continue à la poursuite de Dame Ambre et de sa calèche. Faut absolument mettre rapidement la main dessus. J'te suis...

Ayant redonné le signal du départ, Lander s'élança dans le sillage de Tikka, admirant, une fois de plus, l'aisance avec laquelle le rouquin évoluait sur les toits, tout en ayant le chic pour repérer, en un clin d'œil, les traces laissées par sa sœur pour faciliter sa filature.

Astanndar, les jeunes nobles restent interdits devant ton audacieuse façon de leur ravir la damoiselle. L'un d'eux commence à vouloir s'approcher de toi, visiblement outré de ta conduite, mais il est vite retenu par un second jeune homme qui lui chuchote quelque chose à l'oreille. Le jeune courageux ou inconscient te lance un regard féroce mais se range à l'avis de son camarade. tous deux partent vers d'autres proies à séduire tandis que deux autres restent et continuent à te fusiller du regard. Sandryl, ravie de ton intervention se glisse avec bonheur dans tes bras et te chuchote à l'oreille.

- Mon sauveur !

Vous dansez au rythme de la musique, la jeune noble fixant de ses prunelles tes yeux avec tendresse. Elle finit par te dire.

- Vous aurez sauvé cette soirée de votre magnifique présence, mon ami. Que Tymora soit remerciée de nous avoir souri à tous les deux !

Elle se penche vers toi et te questionne.

- Que diriez-vous de finir cette délicieuse soirée chez moi ?

Elle fait une petite moue espiègle.

- Mes appartements sont dans une aile de notre demeure qui me permet de sortir et rentrer comme je l'entend sans que mes parents ne soient dérangés. C'est heureux, ne trouvez-vous pas ?

Elle dépose un baiser dans ton cou et souffle sur ton oreille avant de la mordiller légèrement pour t'aider à te décider plus vite. Un couple de jeunes nobles qui dansent près de vous s'arrêtent une seconde devant une telle familiarité. La jeune fille rougit jusqu'aux oreilles tandis que le jeune noble sourit benoitement, finalement charmé par tant d'audace. Lorsqu'il regarde à nouveau sa compagne de danse, cette dernière le fusille d'un regard de reproche qui le fait rougir à son tour. Sandryl qui s'aperçoit de la chose glousse discrètement. Elle te chuchote.

- Le pauvre n'aura pas la chance d'avoir son oreille mordillée, je le crains...

Gäyana, tandis que tu te déplaces dans les pièces, suivie par les sbires de Rochenoire, tu finis par retrouver Fédrick qui grignote un petit four. Il semble soulagé à l'idée de quitter cette fête trop pompeuse à son goût. Il te prend le bras avec galanterie et vous vous dirigez tous les deux vers la sortie de la demeure. Il te chuchote.

- Vous êtes suivie, dame Gäyana, et ce depuis un bon moment. Nous avons intérêt à être méfiant durant notre trajet de retour. Quelque chose me dit que nous pourrions bien avoir une mauvaise surprise...

Tandis qu'il te dit cela, tu vois deux des sbires de Rochenoire discuter entre eux. L'un s'éloigne rapidement tandis que l'autre continue à vous suivre, toi et Fédrick. Une fois dehors, un domestique vous fait patienter quelques instants afin de faire venir jusqu'à vous la calèche qui vous est dédiée. Le serviteur s'incline bien bas et vous souhaite une bonne fin de nuit avant de repartir s'occuper d'autres invités en attente de leur calèche. Du coin de l’œil, tu vois le sbire qui s'était éloigné revenir auprès de son complice et lui chuchoter quelque chose. L'homme acquiesce et sourit, satisfait. Les deux hommes vous regardent montés à bord de votre véhicule avant de se détourner pour vaquer à une autre occupation.

(hrp : Gäyana, suite dans ta section roleplay perso. Wink

)

Lander

(hrp : Lander, on passe également dans ta section roleplay privée. Wink

)

Il fit un large sourire, révélateur de son plaisir de retrouver la brune aux yeux verts d'eau, avant de reporter son attention sur les autres prétendants. Un instant il crut, et même espéra que l'un d'eux au moins aurait autant de coeur que d'estomac. Mais ce ne fut pas le cas et il ne bouda pas son plaisir :

- être loin de vous m'était insupportable... C'est vous qui sauvez ma soirée !

La soirée fila et il flirta avec la fille au fil de la fête. Et au bout de la nuit, elle proposa de finir ensemble chez elle. Ses arguments étaient imparables, et il y a longtemps qu'il avait abandonné la raison au profit du cœur.

- il y a bien d'autres choses à mordiller en plus de vos oreilles, ma chère !

Il devrait certainement prévenir ses équipiers qu'il decoucherait ce soir, mais l'idée ne l'effleura même pas, et il entraînait déjà la benjamine vers la sortie :

- nous devrions peut-être saluer nos hôtes avant de partir, ce serait plus correct..?

Le vernis de la raison était parfois déconcertant...
Après tout, il espérait peut-être qu'elle refuse pour se réfugier plus vite chez elle, ou encore que Rochenoire ou son épouse restent introuvable

Ton vœu est exaucé lorsque tu vois la jolie frimousse de Sandryl se mettre à grimacer face à ta suggestion de prévenir vos hôtes de votre départ. Elle secoue la tête et hèle un serviteur.

- Par les dieux, laissons donc le majordome leur annoncer que nous sommes partis. Je n'ai aucune envie de subir le regard dur du seigneur Rochenoire ou celui, glacial, de son épouse. Venez, mon ami, éclipsons-nous !

Joignant les actes à la parole, elle donne son congé au domestique et lui laisse le plaisir infini d'aller annoncer votre sortie de la soirée à ses maîtres avant de t'entrainer vers la sortie de la maison. Là, vous patientez quelques instants avant de voir votre calèche approcher. Vous grimpez à l'intérieur et le cocher d'un petit claquement de langue fait partir les chevaux au pas pour quitter la demeure des Rochenoire.

(hrp : Suite dans ta section rôleplay privée. Wink

)

L'escalier du navire vous amène à un long couloir éclairé pour des lanternes accrochées au mur. Les portes des cabines sont toutes ouvertes sauf celle du fond...les appartements du capitaine. Il n'y a aucun bruit en dehors du clapotis de l'eau sur la coque du navire et les grincements caractéristiques du bois.

Lander, tu fais le tour du couloir afin de déterminer s'il y a des pièges mais tu ne détectes rien de tel.

Jehans, Ton ouïe, plus développée que celle d'un humain, perçoit une respiration derrière la porte du capitaine. Elle est trop lente pour être celle d'une personne éveillée. Tu supposes donc qu'il s'agit de celle d'Ambre.

Lander, face à la porte du capitaine, tu utilises tes capacités de roublard pour détecter un piège éventuel. Mais non, rien, pas de pièges. La porte n'est même pas fermée à clé.

La porte ouverte vous fait découvrir une pièce assez vaste dans laquelle se trouve un superbe lit à baldaquin où repose la superbe Ambre, toujours endormie. Outre ce lit volumineux, vous voyez un bureau avec des cartes marines et derrière lui une commode fixée au mur. Un grand coffre est au pied du lit et un autre, plus petit, est niché au pied du bureau. Sur les murs, trois tableaux égaient la sobriété des lieux : le premier représente un paysage désertique avec un temple aux sculptures très exotiques et très belles. Le second représente une rue commerçante où passent de nombreuses personnes. Là encore, l'exotisme des tenues et de l'architecture vous indique qu'il s'agit d'une rue d'une cité de Kara-Tur. Enfin le troisième tableau représente une magnifique jeune femme aux cheveux verts et bleus, aux yeux bleus et portant une robe sublime faite d'algues fines, de coquillages et grains de sable brillants comme des diamants. Elle est assise sur un trône de corail et l'environnement est clairement aquatique autour d'elle. Vu la qualité de ces trois toiles, il n'est pas difficile d'imaginer qu'elles valent leur pesant de pièces d'or.

Lander, Tandis que Jehans s'occupe de la belle endormie, tu fouilles un peu la pièce. Le coffre du lit n'est pas fermé à clé et ne contient que des vêtements et une bourse contenant 3 bagues d'apparat en or et malachite, or et aventurine et argent et lapis-lazuli ainsi que 2 broches représentant un épaulard et l'autre deux vagues qui se heurtent l'une à l'autre, symbole d'Umberlie. Le coffre au pied du bureau est ouvert et contient des parchemins divers qu'il va falloir éplucher. Tu passes aux tableaux et tu remarques que derrière celui qui représente Umberlie, se cache un coffre encastré dans le mur. Ce dernier est fermé à clé...

Jehans, tu t'approches d'Ambre et tu te rassures rapidement en constatant qu'elle va bien. Elle est juste inconsciente suite certainement à une drogue qu'elle a ingurgité. En le secouant doucement, tu finis par réussir à la réveiller. Elle grimace et ses premiers mots sont :

- Oh, là, là, j'ai mal à la tête. Tout tourne...

Malgré cela, ses couleurs restent belles, preuve qu'elle n'est pas en danger. Elle est seulement un peu groggy...

Malheureusement la mort en avait décidé ainsi, le rôdeur-roublard vit le marin se faire assommer possiblement par Lander et il ne put se retenir de le tuer. * Les réponses nous les aurons quand même. * Se dit-il peu rassuré de sa pensée. Après avoir soigné Groignar et lui avoir demandé de rester sur le pont pour faire le guet, Jehans prit lui aussi, deux bonbons de soins. Ne sachant pas sur qui ils allaient tomber dans le ventre du navire, il ramassait sa rapière perdue pendant le combat, puis suivit Lander de proche. Rapidement son cœur se serrait dans sa poitrine quand il entendit le respire d’une personne qui dormait derrière une porte, cela ne pouvait pas être le capitaine, pourquoi dormirait-il sinon. * Une diversion. * Pensait-il encore inquiet que ce ne soit pas Ambre qui soit là, puis quand la porte s’ouvrit il ressentit un immense soulagement indescriptible qui le rendit autre sur l’instant. Il s’approchait et tentait de la réveiller croyant aux pires pour elle, mais Lendys en avait décidé autrement et récompensait son bras et son fidèle suivant d’une Ambre en vie, drogué, mais en vie.

Jamais de son existence, une personne avait pris son temps pour l’écouter, encore moins pour le coiffer, les simples choses qu’avait fait Ambre pour Jehans semblaient peut-être anodin pour la jeune femme, mais pour l’ex-sombre de Menzo elle était beaucoup plus et lui fit réaliser que tout ce qu’il possédait dans la vie était sa parole, bien sûr, mais aussi et maintenant, c’était Ambre. En fait il ne la possédait pas, mais il avait un lien d’appartenance qui perdurerait, elle deviendrait possiblement sa muse et à jamais son égérie… Jehans avait des chaleurs soudaines, il tremblait de joie, de désir, mais non d’un désir charnel, celui qui nous tire vers la profanation de la dignité de l’autre, non, c’était un désir de fidélité à l’expérience, la démystification de l’amour véritable, la bienveillance, oui, la bienveillance lui apparaissait soudain comme le plus grand amour qu’il pourrait porter pour Ambre, aimer l’autre pour son bien à elle. Le jeune bâtard évadé avait maintenant des ailes, il avait enfin trouvé une raison pour laquelle vivre de nouveau. La balance de son existence était menée par Lendys qui avait vu en lui un réel potentiel.

-Comme je suis rasséréné Ambre de vous voir en vie, vous m’avez donné une fameuse frousse, je croyais vous avoir perdu, l’essentiel est de vous voir saine et sauve. Ne forcez pas, la drogue doit faire encore son effet, je vais vous porter. –

Adrénaline aidant, le jeune demi-drow pris Ambre dans ses bras pour la sortir à l’extérieur. Le navire semblait vide, le danger semblait dissout et Groignar restait muet, donc rien ne venait perturber ce moment qui était pour l’évadé, le meilleur moment de son existence. Réalisant ce que faisait Lander, il se tournait vers lui puis dit…

-On prend tout Lander, Groignar va venir t’aider, cela ira dans le fond commun pour la suite. Ensuite, rendons-nous rapidement chez notre ami. Et... Merci l'ami, décidément tu semble devenir mon ange gardien ce soir. -

Si Lander ne savait pas pour l’abhorrassions que le jeune demi-drow avait pour les humains, cette dernière remarque pouvait sembler falote, mais ne l’était vraiment pas. C’était là un véritable aveu irénisme qui dévoilait une grande estime pour le jeune humain. Une première pour le rôdeur, c’était pour lui une hérésie, mais une fois n’était pas coutume.
Il appelait Groignar à venir les rejoindre pour aider Lander à tout apporter, il fit les présentations, mais en faisant attention pour ne pas dire aucun nom des présents. Si le gnoll l’avait loyalement secondé, restait que la nature de la relation était encore toute fraiche et le jeune apprenti fourbe ne voulait pas brouiller sa couverture aussi rapidement.

- C'est pas toi que je suivais, répliqua discrètement Lander, concentré sur la toile représentant Umberlie. Tu pourras dire merci aux rouquins. Ils surveillaient le manoir Rochenoire et ils ont vu m'dame Ambre se faire enlever. Du coup, nous v'là en renfort et vach'ment plus efficace que le guet...

Décidément, à chaque fois qu'il y avait un truc louche à Gemmaline, les adorateurs de la Reine Garce était dans le coup. Par acquis de conscience, le jeune voleur se concentra un bref instant, à affut de la moindre effluve magique, tant sur les objets déjà découverts que sur le coffre puis, prudemment, il examina ce dernier à la recherche d'un piège éventuel. Ensuite, en prenant son temps, il entreprit d'en crocheter le mécanisme d'ouverture. Si c'était fermé à clé, c'est qu'il y avait quelque chose d'intéressant qui se cachait derrière.

Entendant Jehans l'informer de l'arrivée de Groignar pour l'aider, l'adolescent fronça imperceptiblement les sourcils, ne trouvant pas très prudent de s'entasser tous à l'intérieur du navire. Heureusement, Tily et Tékka étaient toujours à l'extérieur à faire le guet, les prevenant ainsi de toute mauvaise surprise.

Devant le gnoll, Lander hocha simplement la tête en signe de bienvenue avant de le laisser décrocher les cadres pour les embarquer. De son côté, il avait déjà empoché les objets plus petits, bagues, broches et documents. Il serait bien temps, une fois au calme chez Droog, de faire un inventaire précis.

- On peut y'aller maint'nant, conclut-il, une fois la cabine vidée de tout objets de valeur.

Sortant à l'air libre, Lander émit un léger sifflement à l'intention de ses complices, attendant une confirmation de leur part que la voie était toujours libre. Souriant à la belle génasi qui reprenait progressivement ses esprits, il lui tendit la main pour l'aider à se remettre debout.

- Ça va, m'dame Ambre, s'enquit-il. Désolé qu'on était pas là quand on vous a enlevée. On a fait aussi vite qu'on pouvait, après...

Fouille à +7 pour trouver un piège, puis je fais 20 pour crocheter le coffre.

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