William Magnus , France , 1885. (partie roleplay)

*je reprend apres cela mon travail dans mon labo, mais juste avant je prévient la dame que la sonnette est installé*

*si l'installateur a laisser des poils ou autre je les prélèves et fait une recherche dessu, P.S. je tente de classifié tout se qui se trouve ici pour pouvoir avoir une base de donné fiable sur ce que contient disont le carton, plastique, verre, crystal et autres non déjà repertorier*

(hrp : pas de soucis mais il va te falloir du temps pour répertorier tout cela. )

*Les poils de l'installateur révèle un ADN parfaitement normal d'être humain...*

*je prend tous le temps nécessaire et j'informe mon boss des avancée sur ces traveau, mais pas des résultats de mon voisin (sa je garde le secret absolue)*

*Au petit matin, Guénaëlle vient te réveiller à 7h30 précise. C'est horriblement tôt compte tenu que tu t'es couché tard, la veille. Elle frappe à ta porte et te dit d'un ton ferme.*

-"Debout monsieur, Monsieur Lemorlec va arriver dans à peine une demi-heure. Je vous ai laissé dormir le plus tard possible mais là, il faut vous lever. Le docteur Ferdinand Vallée va arriver d'ici peu et je ne doute pas une seconde que monsieur Lemorlec viendra vous chercher, même si vous êtes encore en tenue de nuit..."

*je me lève, m'habille, prend un ptit déjener tres rapide, me brosse les dent, me peigne, et j'attent leurs arriver*

*Tu viens à peine de reposer ta brosse à cheveux que Félicien frappe à la porte. Guénaëlle lui ouvre, tu entend leur bonjour mutuel et le vétérinaire apparait, tout sourire, dans l'encadrement de la porte de ta salle de bain.*

-"Allez, collègue, les bonnes âmes attendent après nous."

*Félicien sort en saluant la cuisinière et monte dans une carriole où un homme de quarante ans bien dépassé attend en sifflotant. Il possède des cheveux coupés courts gris, des yeux verts pétillants de joie de vivre et une belle moustache grise soigneusement taillée. Le vétérinaire te le montre de la min et te dit en souriant.*

-"Voici le docteur Ferdinand Vallée. Ferdinand, je te présente mon nouveau voisin d'immeuble, monsieur William Magnus. Il est médecin, comme nous, mais se consacre à la recherche. Il va nous accompagner pour notre tournée."

*La voix du bon docteur Vallée est joyeuse et chaleureuse.*

-"Bonjour, William, vous ne voyez pas d'inconvénients à ce que je vous appelle ainsi, mon ami ?"

"Non du tout. Je suis enchanté de faire votre connaissance. J'ai hâte de commencer"

-"Fort bien, montez en ce cas."

*Une fois que tu es monté, il laisse le cheval se mettre au pas et vous partez dans les rues encore peu fréquentées, vu l'heure matinale, de l'intra-muros. Ferdinand te dit.*

-"Nous allons dans un petit quartier de Paramé, à quelques kilomètres d'ici. C'est un quartier de miséreux qui vivent difficilement du ramassage de coquillages. Il y a des cas d'angines et de bronchites à surveiller de près.

Avez-vous une trousse de médecine, William ? L'avez-vous prise avec vous ? Si ce n'est pas le cas, rassurez-vous, j'ai toujours une trousse de secours dans la carriole. Vous verrez combien les pauvres gens des environs ont besoin de soins. Ils sont souvent soumis à une vie rude qui les affaiblit et les rend prompt à tomber malade."

**s'achant que j'allais partir pour soigner des gens j'ai pris ma trousse, sa me parrait logique**

**j'ai aussi emporté le nessaire pour faire des prélèvements, je sort jamais sans, le tout est dans un sac à dos**

*Au bout d'une demi-heure, tu arrives à Paramé. La carriole dépasse les belles demeures et s'en va jusqu'à arriver devant une sorte de petit village de maisons de bois, presque des cahutes tant elles sont rudimentaires.

L'endroit est odorant, tant par les embruns venant de la mer à quelques pas de là que par les relents de saleté qui y circulent. Les gens y sont vêtus de vieux vêtements reprisés bien des fois. Les mines sont ternes et tous, hommes, femmes, enfants semblent mal en point.

Aussitôt, le bon docteur Vallée s'en inquiète et descend promptement de la carriole avec sa trousse. Il regarde des femmes qui s'approchent avec leurs bébés dans les bras. Elles sont 3 avec des tout-petits n'ayant pas plus de 3 ou 4 mois et demandent aussitôt de l'aide.

Il prend le bébé des bras d'une des mères et s'en va vers une cahute précise. Il entre et te lance un regard par dessus son épaule.*

-"Bienvenu, mon jeune ami et puisse le seigneur nous venir en aide car il va y avoir du labeur à faire."

*A peine a t-il fini sa phrase qu'une des trois mères, une toute jeune fille d'à peine 15 ou 16 ans, te mets son enfant dans les bras.*

-"Aidez-moi, monsieur, de grâce, mon Pierrick est malade."

*L'enfant ne gémit même pas tant il est à bout de force. Il te fixe de ses beaux yeux bleus enfiévrés. A travers tes vêtements, tu sens sa chaleur, bien trop haute, qui prouve combien la fièvre ravage le pauvre petit corps...*

*J'utilise toute mais connaissance afin de faire descendre sa fièvre, s'il y a de la glace a porté (je l'utilise pour la faire descendre)*

*Pas de glace dans les environs mais tu fais de ton mieux avec ce que tu as. Le défilé n'arrête pas et quand midi arrive enfin, tu es fourbu de fatigue. Au vu du visage épuisé qu'offre également le docteur Vallée et Félicien, tu te rend compte que tu n'es pas le seul à avoir trouvé la matinée terriblement difficile.

Le docteur t'informe que vous avez une petite heure de répit avant que le flot des gens du coin ne reviennent jusqu'à la tombée de la nuit. Il t'invite, avec Félicien, à partager un pique nique sur la plage toute proche afin de vous reposer un peu.

Au menu, tranches de viande froide, salade de tomates et tarte aux pommes, le tout accompagné d'une bouteille de cidre doux. Le bon docteur Vallée, une fois la nappe du pique nique et les mets installés sur le sable, te demande.*

-"Alors mon jeune ami, que pensez-vous de cette matinée ?"

"he bien esce toujours ainsi? ou esce une journée exceptionnelle? Quoi qu'il en soit il serait bien de tenir un registre afin de pouvoir effectuer un suivit de ces patient, comme cela nous serions plus informer sur ce qu'ils sont sujet a avoir ou pour posé un meilleur diagnostique"

"Je suis près a tenir ce registre mais il faudrait se recruter une infirmière, et si possible avoir un local, je propose une levé de fond auprès de la hôte court, Comme cela il serait plus aisé pour obtenir les médicaments dont nous avons besoin. Qu'en pensez-vous?"

*Le docteur Vallée semble soucieux et secoue sa tête de façon négative.*

-"Non, cela s'est aggravé depuis la semaine dernière de façon alarmante, je dois dire. C'est vraiment étrange et beaucoup souffrent de fièvre comme s'ils avaient pros froid mais ils n'en ont pas les autres symptômes."

*Félicien approuve les dires de son collègue.*

-"Oui, j'ai remarqué cela également et cette fièvre ne semble pas vouloir les quitter. Pierrick Pétron m'a dit avoir cette fichue température depuis déjà plus de 3 jours et qu'elle le met complètement à plat. Ces gens sont épuisés par cette fièvre.

Il faut absolument trouvé ce qui la déclenche et rapidement car nos pauvres patients ne survivront pas bien longtemps dans ces conditions de santé. Pour vos idées, cher ami, elles sont excellentes, mais la haute-cour ne donnera rien pour de pauvres pêcheurs comme eux.

S'il s'agissait d'une épidémie avérée, peut-être les choses seraient-elles différentes, mais ce n'est pas le cas...du moins, rien ne le prouve pour l'heure. Peut-être pourrions-nous organiser un évènement caritatif et récolter des fonds de cette manière, mais rien de mieux hélas."

*Le docteur Vallée sourit.*

-"Oui, organiser un évènement me parait une bonne idée, Félicien. Mais que pourrions-nous faire pour attirer les âmes charitables ?"

"he bien un banquet attire toujours, surtout s'y il y a un chanteurs ou personnalité connue, de plus si l'on pouvait faire en sorte de mettre en valeur ceux que nous voulons aider (dison que le banquet pourrait venir de leur nourriture/recette, en fait tout devrait venir de ce cartier, il verrait qu'il y a du talent dans plusieurs dommaine et ils verraient ce qu'ils peuvent raté juste a ignoré les problèmes, de plus il faut les sensabilisé, car ce qu'eux ont ils pourraient l'avoir, donc la recherche est importante pour éviter les épidémies)

En résumé il faut leurs montré ce que les gens d'ici peuvent apporter, leurs faire prendre conscience que s'ils sont malades tous peuvent être toucher, et que comprendre et ressensé les maladies permette d'évité les épidémis. Les Attirer, les informé et les effrayer juste asser pour qu'ils offrent d'aider"

*je prend des échantillons de sans d'une des victimes pour l'analyser avec mon mini labo portable, et j'entreprend de comprendre ce qu'ils ont... si je suis pas sur je montre aux 2 autres médecins*

*Félicien approuve.*

-"Oui, ces gens sont des pêcheurs côtier, ils vivent des coquillages qu'ils pêchent et revendent au marché. Ils attrapent également des étrilles et des crevettes grises. Certes, il faudra agrémenter le banquet d'autres mets car cela ne régalera guère les papilles de nos futurs donateurs, mais l'idée est bonne."

*Les deux autres reprennent, après le déjeuner, leurs soins et te laissent faire l'analyse de sang. Ton analyse révèle une grave anémie mais rien qui puisse engendrer une fièvre...étrange.*

*je cherche dans la composante de leurs sang leurs ADN voir s'il y a quelque chose de Non-Humain*

*Tu passes le reste de l'après-midi dans la carriole où se trouve ton matériel pour analyser une substance que tu as détecté en quantité si infime que tu as faillit passé à côté. Après des heures de travail, tu finis par savoir qu'il s'agit de particules minérales presque noires.

Des particules de pierre noire, voilà ce que ces gens ont dans leur ADN...comment une particule de pierre noire peut-elle s'accrocher ainsi à un brin d'ADN...mystère. Lorsque tu sors de la carriole, il est presque 19h et tu vois les mines fatigués de tes deux collègues ainsi que leur regard de reproche. Félicien est le premier a parlé et son ton est amère.*

-"Votre présence pour soigner ces pauvres gens nous a bien manqué, Magnus !"

*Le regard du docteur Vallée est pire : la déception qui se lit dans ses prunelles fait peine à voir. Il secoue doucement la tête sans parler et pose sa trousse de soins dans la carriole avant d'aller s'installer pour conduire l'attelage.*

"dsl mais il fallais savoir se qu'ils avait et j'ai découver qu'ils ont une sorte de pierre noir dans leurs sang, si je parvient a découvrir ce que c'est je pourrait trouvé un remède, mais dans tous les cas, je devrait travaillé la deçus, et au fait je suis dsl du temps que j'ai pris"

*Félicien a un sourire un peu crispé.*

-"Je ne doute pas que cela était nécessaire mais vous auriez pu attendre la fin de la journée de soins pour vos recherches, cher confrère. Enfin passons, si d'aventure vous décidiez de revenir avec nous, s'il vous plait, faîtes passer les soins à ces gens avant les analyses.

Nous aurions pu donne des soins à une vingtaine de personnes supplémentaires si vous aviez été avec nous sur le terrain. Quand à cette pierre noire dans leur sang, je me demande bien d'où elle peut provenir car comme vous le voyez aux alentours, il n'y a pas ce genre de roche."

*Le docteur Vallée réplique.*

-"Nous devons revenir ici dans deux jours, nous demanderons aux gens où on peux trouver de la pierre noire. Allons, allons, Félicien, laissez donc notre confrère tranquille. Je pense qu'il a bien compris, cela ne sert à rien de ressasser ce qui s'est passé...allons de l'avant, voulez-vous ?"

*Le reste du chemin se fait dans la discussion sur les autres soins donnés ce jour : soins de blessures, de rhumatismes, d'allergies diverses, etc...*

*arriver je tente de faire une analyse poussé de cette roche, et sur le sang récolté, je cherche a connaître l'origine et les composantes de celle-ci*

*En y passant une bonne partie de la nuit, tu finis par trouver l'origine de cette roche noire. Elle vient des tumulus anciens dont le sol est un mélange de terre et de morceaux de roche. D'après ce que tu peux te souvenir, il n'y avait pas de tumulus visibles dans les environs du village mais la végétation aurait très bien pu la cacher à ton regard.

Il te faudra retourner sur les lieux pour savoir où un tumulus peut se trouver. Malgré tous tes efforts, tu ne trouves rien de plus qui puisse expliquer pourquoi ces poussières de roche s'accrochent ainsi aux brins d'ADN. Tu ne peux que supposer que la forte fièvre qui touchent les villageois est dû à une réaction de défense de l'organisme.*

*je vais dormir et demain je vais tenté de trouvé un moyen d'aller la-bas pour trouvé ce fameux rocher afin d'en extraire une partie afin d'analyse*

*Le lendemain matin, tu n'as aucun mal à trouver un fiacre pour t'emmener. Le cocher, une fois arrivé aux maisons des pêcheurs, te demande s'il doit rester à t'attendre ou repartir. S'il repart, tu n'auras que tes pieds pour refaire le chemin inverse...à moins de lui donner une heure précise pour qu'il vienne te rechercher. Lorsque tu arrives chez les pêcheurs, il est à peine 9h du matin.*

*je lui dit de revenir vers 15h*