CHAPITRE I : La Cité des Tours (section commune rp)

"Très bien, j'y vais de ce pas."

*Nolorine se dirige immédiatement vers un des gardes Halfelins. Sa beauté et sa taille de semi-Elfe ne passent pas inaperçus, elle en est sure. Elle aborde le premier garde qu'elle croise.*

"Bonjour mon ami. Mon nom est Nolorine d'Médani. (Elle marque un léger silence pour laisser l'information passer, au cas ou son nom serait reconnu, ce qui, selon elle, devrait être probable). Mes compagnons et moi-même sommes à la recherche d'un Halfelin de la maison d'Jorasco nommé Roscoe. A qui devrions-nous nous adresser s'il vous plait? A moins que vous ne le connaissiez vous-même?"

Diplomatie Nolorine D20+3

JW WOLF a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :

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J'ai fait le jet de Diplomatie pour toi, afin d'accélérer les choses.

Le garde observe le trio approcher. Quand Nolorine parle, elle remarque que son regard s'arrête un instant sur la chevalière aux armoiries de la maison Médani qu'elle porte. Il incline ensuite légèrement la tête en signe de salut. Puis, il se tourne vers un de ses coéquipiers et lui donne un ordre en langue halfelin. Le soldat ainsi interpelé hoche de la tête et part en direction de l'intérieur de l'hôpital. Le garde se retourne alors vers vous et dit :

" Je l'ai envoyé chercher. Il ne devrait pas tarder. "

* Puis, indiquant une table à quelques mètres de là : *

" Si mesdames souhaitent s'assoir en attendant ... je vais vous faire porter des rafraichissements "

"Je vous remercie."

*Nolorine s'incline légèrement, puis va vers la table indiquée, accompagnée de ses amis, bien disposée à profiter des rafraîchissements à venir en attendant Roscoe.*

Au bout de quelques minutes, que vous passez à siroter une citronnade, sous le soleil timide de cette journée annonciatrice de printemps, le garde vient vous voir.

" Mesdames, il semblerait que l'héritier Roscoe ne soit pas en ces murs. Souhaitez-vous lui laisser un message ? Nous le porterons dans ses quartiers et il en prendra connaissance dès son retour ... "

"C'est très ennuyeux. Peut-être devrions-nous le chercher nous-même dans ce cas là..."

*Nolorine se tourne vers ses compagnons pour recueillir leurs avis.*

* Elaydren ferme les yeux et profite du doux soleil de ce début de printemps pour se chauffer le visage. C'est les yeux fermés et d'un ton paresseux qu'elle répond à Virink *

" Bah, il finira bien par revenir à son camp de base ; nous n'avons qu'à l'attendre ici. Profitons de l'hospitalité Jorasco ... "

Cela ne sert à rien de continuer : il faut attendre que les 3 autres reviennent (ou meurent).
Vous pouvez développer si le cœur vous en dit, ou mettre ce temps à profit pour acheter du matériel.

*Il s'est à peine écoulé 5 minutes avant que Nolorine se mette à s'agiter, puis finalement, se lève.*

"Elaydren, peut-être pourrions-nous visiter les environs en attendant? Depuis mon arrivée, je n'ai vu que les bas-quartiers de la ville. J'aimerai jeter un oeil à ce quartier, et peut-être faire du lèche-vitrine..."

*Elle rougit légèrement en avouant sa motivation première...*

Je précise que votre repas s'est fait dans les hauts quartier et que, actuellement, vous êtes dans le central moyen.

* L'interpellation de Nolorine semble sortir Elaydren de sa rêverie *

" Bien sûr ma chère. Il y a tant à voir à Sharn ! Pour commencer, il me semble que le dispensaire Jorasco pourrait intéresser une guérisseuse telle que vous. Si c'est le cas, nous sommes au bon endroit.
Ensuite, nous pouvons aller dans les hauts quartiers visiter les boutiques de luxe. "

"Oh oui! Faisons ça!"

*L'enthousiasme presque enfantin de Nolorine s'efface assez rapidement derrière une façade de dignité. Elle se tourne vers Virink.*

"J'espère que cela vous convient également Virink."

Virink qui, en l'absence d'action, était tranquillement resté à garder ces dames concentra soudain son attention sur elles lorsqu'elles commencèrent à parler entre elles. L'idée de visiter un peu, même pour "faire du lèche-vitrine" comme disait Nolorine, ne lui déplaisait pas. Il ne comprenait pas tout de ce concept, mais sa curiosité naturelle faisait qu'il était envieux de le découvrir.

"Je vous accompagne volontiers" répondit Virink en réponse à la question de Nolorine. "Par où voulez-vous commencer ?" continua-t-il, se demandant quelle merveille de cette ville il allait voir grâce à elle.

*Un dilemne intérieur se lit sur le visage de Nolorine à la question de Virink. Que doit-elle faire d'abord? S'amuser ou tenter d'avoir l'esprit pratique?*

"Et bien, tant que nous sommes là, visitons l'enclave. Devrions-nous quémander un guide?"

Au fait, j'ai oublié de préciser que Sylus était avec vous ; Comme Hélios se fait rare, j'ai tendance à oublier son magicien.

* Attablé confortablement à la terrasse improvisée du dispensaire Jorasco, Sylus et Elaydren sont en grande discussion. Le thème étant la magie profane, Virink et Nolorine se sentent un peu exclus. Lorsque Nolorine propose d'aller visiter l'enclave, Sylus lui répond avec un sourire un peu géné : *

" La vue du sang me déplaît ô combien ; si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je préférerais de beaucoup demeurer ici avec dame Elaydren. Mais je vous en prie, ne laissez pas mes tendances phobiques vous gâcher la visite. "

Note HRP : Je me suis efforcé d'imiter le style ampoulé d'Helyos, qu'en dites vous ?

* Et Elaydren d'ajouter *

" Accompagne Nolorine, mon Virink ; je ne risque rien ici, et je préfère savoir notre soigneuse sous ta protection. "

Jet de psychologie pour Nolorine et Virink svp.

Psychologie +3

Kelmeth a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :

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Virink avait attendu patiemment une décision quant à ce qui allait suivre. Il avait entendu la suggestion de Sylus et n'avait rien ajouté. Il ne comprenait pas en quoi la vue du sang pouvait déranger. Pour lui, c'était même quelque chose d'intrigant, une chose qu'il ne possédait pas et qui le fascinait au moins au tant que le fait de respirer. Du moins, il se posait des questions à ce sujet.

Puis il entendit la question d'Elaydren et ne put qu'accepter.

"Bien sûr", fit-il alors. Comme d'habitude, il obéissait sans broncher au moindre ordre qu'il recevait d'elle. Bien entendu, il avait cependant évalué ce dans quoi il s'engageait et avait estimé que c'était tout à fait louable. Ceci dit, il déclara tout de même "Soyez prudente, maîtresse", inquiet pour elle.

Psychologie :

Kerawiel a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :

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* Virink et très étonné que sa maîtresse se défasse ainsi de sa protection. Mais son inquiétude et vite oubliée lorsqu'il comprend qu'elle désire simplement passer un peu de temps en tête-à-tête avec le magicien de la maison Orienne. Nolorine, quant à elle, est tout à sa visite, et n'a rien remarqué. *

Nolorine et Virink abandonnent donc le duo et se dirigent vers l'intérieur du dispensaire. Mais à peine ont-ils fait quelques pas, qu'ils sont à nouveau arrêtés par un garde halflin. Celui-ci n'a pas l'air belliqueux, mais il vous bloque néanmoins le passage.

*Bien qu'elle tienne vraiment à passer, et qu'elle soit tentée de le faire, Nolorine préfère ne pas faire d'esclandre.*

"Maitre Halfelin, mon ami et moi desirerions visiter les environs. Pouvons-nous passer?"

*Bien que le ton soit doux, le message est clair: nous passerons, par là ou ailleurs.*

* Le garde reste planté devant Nolorine et Virink et déclare tout en montrant le bâtiment derrière lui de sa main *

" Je suis navré, dame médani, mais le dispensaire n'est pas un lieu de tourisme. Ceci est le plus grand hôpital de Sharn, où nous accueillons de nombreux malades quotidiennement. Pour guérir, ils ont besoin de soins et de repos. Seules les familles ont un droit de visite. "

* Son ton est définitif, bien que très courtois. *

*Nolorine se retourne vers Virink. Aurait-elle été seule, elle aurait tenté de passer grâce à ses compétences de guérisseuse, mais la présence de Virink compromettait ce plan. Elle reste contrariée, toutefois. Elle remercie le garde halfelin et s'en va vers l'entrée, avec le forgelier. AU moins, personne ne l'empêchera de sortir.*

Virink avait suivi Nolorine, qui avait caressé un moment le doux espoir de visiter le dispensaire des Jorasco. Mais apparemment, les gardes du coin ne semblaient pas de cet avis et n'avaient pas l'air décidés à la laisser rentrer. Elle n'eut pas le temps d'annoncer à ces personnes ce qu'elle pouvait leur apporter qu'ils avaient déjà donné leur décision. Et pourtant, d'après ce qu'il avait pu entendre à son sujet, Virink était persuadé que Nolorine pouvait être d'une grande utilité au sein d'un tel établissement. Il parut même un peu déçu qu'elle ne puisse pas accéder à ce désir.

Il posa son regard sur la demi-elfe qu'il était chargé d'accompagner et finit par lui dire :

"Si vous le souhaitez, vous pouvez y aller, je resterai ici à vous attendre." Bien entendu, il sous-entendait qu'elle pouvait tenter de réitérer sa demande en mettant en avant ses talents de guérisseuse cette fois.

Mais, dans l'optique où la décision du garde ait été sans appel, il restait néanmoins prêt à continuer sa visite du district en compagnie de Nolorine.

*Entendant cela, Nolorine se retourne vers Virink. Ce dernier distingue alors dans les yeux de la semi-elfe une lueur rare: celle de la colère. Les pas rapides et raides de Nolorine trahissent également son humeur. La "princesse" ferait-elle un caprice?*

"Virink, merci pour votre proposition mais je n'en ai plus envie."

*Elle se retourne, et, pour se donner une contenance, pars à toute vitesse vers l'étal qu'elle vient d'apercevoir.*

En s'approchant plus près, Nolorine et Virink constatent que l'étal est en fait une échoppe. Derrière un grand comptoir se tient un halflin un peu bedonnant, ce qui jure avec l'habituelle finesse des membres de cette race. Il est entièrement habillé par une robe pourpre à capuche qui ne laisse transparaître que ses avant bras et son visage. Par delà sa silhouette, notre duo distingue des étagères recouvertes de flacons et parchemins.


* Vous voyant approcher, l'halflin vous interpelle d'une voix grave. *

" Bonjour madame ; désirez-vous vous procurer la meilleure magie de guérison du Khorvaire ? "

*La perspective d'achats immédiats semble calmer Nolorine, ainsi que la promesse de matériel sophistiqué pour elle.*

"Qu'auriez vous à proposer à une herboriste comme moi, maitre halfelin?"

*Nolorine examine du regard les marchandises du vendeur.*