Section commune.

je regarde Ézéchiel avec un regard vide juste un bref instant
" Au complexe j ai été téléporté pendant plusieurs heures dans le warp, harcelé par des démons de toute part. C'est une expérience assez pénible je dois dire. Mon âme n a pas été déchiré ni consumé que par miracle ou Plutôt que grâce à l intervention de l Empereur je pense"
je reste quelques instants le regard dans le vide

" une telle aura lumineuse.....cela ne pouvait être que lui. Alors mené un combat mentale contre cette créature dans un tel endroit alors que la moindre manifestation est complètement instable, non Ézéchiel. Et même si j y arriver en évitant à tout le monde d etre posséder par un démon ou pire.Le problème resterait le même, pénétrer dans un complexe hostile avec des ennemis maîtrisant le terrain alors que nous sommes amoindris. Varn je pense qu il faut partir d ici et poursuivre notre mission initiale et prévenir le plus tôt possible à propos de la situation sur cette planète."

"Je préfère souffrir pendant le voyage que risquer mon intégrité en utilisant une technologie xenos et risquer de finir comme cette chose!"
En regardant Moltia. "Sa fin est proche mais elle ne reconnaît pas son hérésie et persévère dans son blasphème..."

Je tire mon épée "désire-tu renier ton hérésie avant de mourir ?"

Quand Moltia vous entend dire que vous allez partir et prévenir le plus rapidement possible de la situation ici, elle semble jubiler. Te voir sortir ton épée ne la déride pas, au contraire.

- Oui, c'est ça, tues-moi, larbin impérial, et partez...Bientôt vous verrez notre vengeance s'accomplir et vous n'aurez pas pu l'empêcher !

Ses yeux pétillent par avance de ce qui va se passer. Jéricho la regarde d'un air très inquiet et Ezékiel tend sa main pour te stopper, Varn.

- Attendez, chef, ne la tuez pas maintenant !

Le regard furibond que lui lance Moltia semble le conforter dans ses doutes. Il ajoute.

- Regardez-là, elle jubile à l'idée de mourir comme si...comme si sa mort allait déclencher quelque chose.

Bien que fugace, une expression que vous reconnaissez bien, Varn et Mithras, se peint sur les traits insectoïdes de la mutante. Celle de quelqu'un qu'on vient de percer à jour. Elle se reprend vivement et sourit, féroce.

- Que je meurs ou pas ne changera rien à ce qui va arriver...Vous allez payer pour tout ce que vous nous avez fait endurer !

Les autres se regardent, incertains sur ce qu'il y a de mieux à faire, mais Hagrold, lui, est catégorique.

- Non, il faut la tuer ! C'est un véritable poison et elle cherche à nous embrouiller l'esprit. Elle est dangereuse !

Benjamin ne pipe mot mais Bayen semble d'accord avec Jéricho et le fait savoir.

- J'ai peur que Jéricho ai raison. Moltia semble bien pressée de se faire tuer. Je me demande si...

Il plisse les yeux.

- Si elle n'aurait pas une implantation qui permettrait de prévenir les autres s'il lui arrivait quelque chose. Je donnerais cher pour savoir ce qu'est cette arme qu'ils ont trouvé exactement. Que ne ferais-je pour pouvoir anéantir cette arme avant qu'elle ne cause des dégâts aux nôtres...

Moltia éclate de rire.

- Aux nôtres ? Décidément tu continues à te bercer d'illusions, mon pauvre Bayen. Le pouilleux avec son chapelet te promet de te donner une chance de vivre et tu le crois ? Mais tu n'as pas compris, regardes-les ! Ils sont de l'inquisition, crois-tu que l'inquisition laissera vivre un mutant comme toi ? Ils vont te disséquer vivant et tu subiras les pires souffrances avant d'être éliminé. Tu n'as aucune utilité pour eux à part celle de servir de cobaye pour les élèves de la scola-medicae.

Bayen se rembrunit et lance un regard de pitié à son ancienne coéquipière.

- Femme de peu de foi ! Je crois en la justice de l'empereur et je sais que mon destin sera celui qu'il a choisit pour moi. Si j'avais dû mourir, je serais déjà mort, tué par ces gens que tu calomnies.

J'ai un moment de doute dans mon envie de vengeance, en effet, ça semble trop lui faire plaisir pour être normal...

"Payer pour ce que nous vous avons fait endurer... tu ne t'es jamais dit que le transport que vous attendiez avait peut-être subi une attaque des ennemis de l'Imperium...? Et ce serait à nous d'en être responsables...? Je me méfie trop de toi et de ce que ton corps est capable de faire pour m'engager dans une voie qui te ferait aussi plaisir...
Baillonnez la et mettez la assez loin pour qu'elle ne puisse pas essayer de nous pourrir l'esprit."

Vos hommes bâillonnent Moltia et l'embarque dans la navette. Bayen n'a pas de vivres hélas à fournir et le peu que vous possédiez dans votre propre navette a été détruit avec le complexe impérial. Jéricho, cette fois, se met directement aux commandes dans le cockpit et lorsque tout le monde est à bord, il décolle. Tandis que la navette s'élève, malgré les rafales de vent de la tempête, Ezékiel pointe quelque chose du doigt.

- Par le trône, regardez ça !

Grâce à la hauteur que la navette prend, vous pouvez voir à des kilomètres et des kilomètres à la ronde et ce, malgré les vents qui charrient la poussière du sol. En direction du complexe xénos, vous voyez un canon aux dimensions titanesques monté sur une colonne articulée. Pour que vous puissiez le voir aussi bien à cette distance, l'ouvrage doit faire au moins une soixantaine de mètres de haut, au minimum. Hagrold n'est pas aussi poli et jure.

- Oh putain !!!

Zaël siffle entre ses dents, ébahis, tandis que Bayen frissonne avant de déclarer.

- Par l'empereur-dieu ! Cette monstruosité doit avoir un rayon d'action épouvantable !

Il se triture les mains, terrifié, et demande.

- Y a t-il des mondes habités à proximité ? Le trône fasse que non !

Jéricho continue sa montée mais pianote également sur le cogitateur avant de jurer.

- Merde, d'après les scans de la navette, il y a deux mondes habités qui pourraient peut-être servir de cible à ces fous-furieux !

D'un coup, Jéricho blêmit.

- Oh putain, le canon est en train de nous prendre pour cible !!

En effet, sur son bras gigantesque, le canon pivote dans votre direction. tout le monde se tétanise sauf Jéricho qui sans prévenir plonge complètement vers le sol comme si les moteurs de la navette avaient été brusquement coupés. La seconde qui suit, vous sentez une onde de chaleur intense dans l'habitacle et des alarmes se mettent à hurler. Vous avez tous vu le rayon incandescent partir du canon et vous ne devez votre survie qu'à l'intuition et aux réflexes de Jéricho. La navette vient frôler le sol et fait du rase-motte tandis que votre pilote vous ramène au relais caché.

- Pas question de refaire une tentative tout de suite, la navette a subit des dégâts et on doit réparer si on ne veut pas se désintégrer en quittant l'atmosphère. On va améliorer le camouflage du relais pour ne pas être repérés même s'ils passent en navette ou en véhicule terrestre, le temps de faire les réparations. Désolés, chefs, mais pour le moment, on est coincés ici.

Vos hommes remettent Benjamin et Moltia dans leurs cellules improvisées avant que tous le monde ne se retrouve pour un conciliabule dans la salle de repos du relais. Bayen reste épouvanté par ce qu'il vient de voir.

- Jamais je n'aurais pensé qu'ils puissent trouvé une pareille arme et encore moins qu'ils décident de s'en servir. Mais j'ai peur maintenant...pas pour moi, non, mais pour les mondes qui sont menacés. Le trône fasse que je me trompe.

Jéricho secoue la tête.

- J'ai bien peur que vous ne vous trompiez pas, Bayen. Maintenant qu'ils ont expérimenté la puissance de cette arme, ils ne vont pas s'arrêter et je crains qu'ils tentent même de faire en sorte de pouvoir augmenter sa portée. En tout cas, si j'en voulais à mort après quelqu'un et que je rêvais de l'anéantir, c'est exactement ce que je ferais.

Vos hommes approuvent, conscients que cette arme ne doit pas être laissée en état. Zaël soupire.

- Que pouvons-nous faire ? On ne peut pas laisser ces tordus jouer avec cette arme de destruction massive mais en même temps, il va nous falloir du temps pour guérir.

Ezékiel propose d'une voix dure.

- Je n'aime pas ça mais il va falloir cuisiné Moltia. Elle est la seule qui puisse nous fournir des informations concises sur le complexe. Parce que à part si vous avez une meilleure idée, on a pas d'autre choix que de retourner là-bas et de détruire ce canon de la mort !

Tout le monde se tait. Retourner au complexe n'est pas réellement le souci. Pour tous, le problème vient de vos blessures qui vont mettre du temps à cicatriser...trop de temps. Jéricho vous regarde.

- Des idées, chefs ?

"Ils commencent à me les briser les deux autres sous merdes!!!"

Je fonce vers Moltia, sors mon couteau et en pose la pointe sur son abdomen en appuyant légèrement:
"Tu vas parler, tu ne vas peut-être pas mourir de suite mais tu vas avoir tout le temps d'avoir mal, surtout si tu guéris vite... ça me laissera le temps d'envoyer un message auquel la réponse qui viendra te donnera l'impression que je suis petit, délicat et très gentil, tu comprends...? Après, si tu aimes la terre brûlée..."

je me tiens prêt à faire un examen mental si Varn echoue

(hrp : Varn, tu n'as pas la compétence intimidation mais tu peux faire un jet sous force. Wink

)

Force 41

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Le regard de Moltia reste déterminé. Elle te sourit.

- Vas-y, je ne te dirais rien ! Je préfère être torturée et mourir plutôt que de vous divulguer des infos qui pourraient vous être utiles !

Elle te crache au visage.

Je lui décoche un coup de tête et j'enfonce la lame de quelques cm
"Tu vas me le payer..."

Le coup de tête la sonne à moitié mais elle revient vite à elle lorsqu'elle sent la lame s'enfoncer dans sa chair. Elle crie et vocifère.

- Bâtard...je ne dirais rien, rien, tu m'entends ?

Bayen détourne les yeux et s'éloigne, incapable de voir son ancienne collègue torturer de la sorte. Jéricho vient le voir et lui pose la main sur l'épaule.

- Je suis désolé que vous deviez voir cela, Bayen, mais elle ne nous laisse pas le choix.

Bayen hoche tristement la tête.

- Je le sais bien, Jéricho, mais c'est difficile de la voir torturée ainsi pour moi. Mais je comprend, ne vous inquiétez pas. Puisse l'empereur réussir à la faire changer d'attitude avant qu'elle ne subisse encore pire.

La prière de Bayen, en tout cas pour le moment, n'est pas exaucé. Il va te falloir faire plus qu'une égratignure, Varn, pour faire céder cette furie.

Je pousse un peu plus et je tourne la lame d'un quart de tour
"Toujours pas envie de parler...?"

Cette fois, elle hurle de douleur et tu laisses la lame suffisamment longtemps en place pour que la cicatrisation commence. Lorsque tu sens que c'est le cas, tu refais un quart de tour avec la lame. Moltia beugle de plus belle et se contracte, les yeux embués de larmes. Elle te lance un regard de pure haine avant de lâcher entre ses dents.

- Que veux-tu savoir, immonde déjection impériale ?

Bayen pousse un soupir de soulagement en entendant Moltia céder.

- L'empereur m'a entendu !

"Je veux savoir tout ce que tu sais du complexe xenos et de ses défenses et les caractéristiques de l'arme qu'on vient de voir fonctionner: sa portée mini et maxi, son temps de recharge, la position du système de commande, son alimentation en énergie, le nombre de servants nécessaires, ses points faibles... tout..."

Avec du temps et quelques tortures supplémentaires, tu réussis à apprendre que le canon xénos n'a besoin que d'un seul pilote pour le faire fonctionner. Sa portée minimum est de 10m et sa portée la plus longue peut atteindre jusqu'aux planètes à mi-distance entre vous et Scintilla. A cette annonce terrifiante, tous écarquillent les yeux d'épouvante. Chacun prend conscience que la menace est encore plus grande que ce que vous pensiez tous et que le canon pourrait atteindre et détruire bien des mondes habités. Moltia ajoute néanmoins.

- Mais pour qu'il aille aussi loin, il faut beaucoup de concentration et d'énergie. Les réacteurs xénos sont en parfait état mais il faudra au moins une heure entre chaque tir longue portée pour ne pas les faire surchauffer. Le canon n'a pas besoin de temps de recharge car il puise directement son énergie des réacteurs. Seul les tirs longue portée demande un temps de latence pour les réacteurs. Le système de commande est situé loin en profondeur, dans le huitième sous-sol. Mais je n'en sais pas plus car c'est Yoltan qui se sert du canon et il ne nous laisse pas l'utiliser.

Elle décrit ensuite les machines que vous avez déjà combattu : Les araignées bleues et les machines rouges qui sont présentes à chaque niveau du complexe. Les trois premiers sous-sol possèdent le même nombre de machines que le rez-de-chaussée, c'est à dire : 14 araignées bleues et 6 machines rouges. Mais les niveaux suivant en ont plus :

- Le sous-sol 4, 5 et 6 contiennent 20 araignées bleues et 14 machines rouges.
- Le sous-sol 7 contient 10 super-araignées et 4 super-machines rouges.
- Le sous-sol 8, qui contient la salle de contrôle du canon, est défendue par 6 méga-araignées et 2 méga-machines rouges.
- La salle du canon proprement-dite n'est accessible que par un téléporteur du sous-sol 8 et est protégée par 2 araignées bleues ultra et 1 machine rouge ultra.

Le point faible du canon xénos ? Les réacteurs. Si les réacteurs sont HS, l'arme devient inutilisable. Mais comme vous venez de l'entendre, arriver jusqu'à elle sera un vrai parcours du combattant. Bayen se mêle soudain à la conversation et demande d'un ton ferme.

- Et quand est-il d'une unité de soins ?

Moltia lui décoche un regard hautement malveillant mais face à la menace de la torture, elle parle.

- Il y a bien une unité de soins automatisée dans le sous-sol 5, à l'infirmerie. Elle permet de soigner les blessures en quelques minutes à peine. Mais pour arriver jusque là, avec les sentinelles (c'est ainsi qu'elle nomme les araignées bleues et les machines rouges), bon courage !

Les hommes se tournent vers vous, Varn et Mithras. Jéricho demande.

- Vous en pensez quoi, chefs ?

Je retire mon couteau de son abdomen, me relève et me retourne pour qu'elle ne me voit plus, pour souffler et me remettre, il y a une différence importante entre se battre et torturer quelqu'un...

"Mithras, je peux te parler en privé?"

"Je ne crois qu'on n'a pas les moyens d'atteindre le 8ème sous-sol... j'avais lancé ça en l'air à Moltia pour lui faire peur, mais l'appel à des renforts me semble nécessaire surtout vu les risques. A t-on un moyen de communication interplanétaire ? Ou as tu un autre plan?"

"Mes dons de télépathe ne me permettent pas de communiquer sur de grandes distances. Mais nous avons récupérer une navette son système de communication est opérationnel nous devrions demander de l aide à la base où nous nous rendions."

"-Solarion! Tu pourrais venir 2 secondes ?

-le système de communication de la navette est fonctionnel ? Il pourrait émettre au-delà de l'atmosphère ? "

Solarion approche et hoche la tête.

- Oui, le système de communication fonctionne et passe aisément l'atmosphère. Je m'y met.

Il essaie durant plus d'une demi-heure mais rien n'y fait. Il se tourne vers vous d'un air de total incompréhension.

- Je n'y comprend rien ! Le signal passe sans souci et la base est à portée, ça j'en suis certain. Donc, ils doivent entendre le message mais il n'y a aucune réponse.

Jéricho grimace.

- C'est pas bon signe, ça. Soit la base a un souci de communication, soit c'est encore pire...

Il laisse sa phrase en suspens, ne voulant pas dire tout haut sa crainte que la base ai été attaquée ou détruite. Bayen s'approche et prend la parole.

- Je suis navré mais mon ouïe s'est grandement améliorée et je vous ai entendu. Vous savez, s'il y a une base secrète dans les parages, elle vous entend sûrement mais ne répondra pas. Elle ne le fera pas plus qu'elle ne l'a fait durant les 20 années que j'ai passé à envoyer des s.o.s avant que l'antenne ne soit détruite par une tempête.

Ezékiel intervient à son tour.

- Ça se tient. La base devant rester secrète, c'est parfaitement normal qu'elle ne nous réponde pas. Pour cela, il faudrait un code de secours que nous n'avons pas. Nos inquisiteurs n'ont pas pensé à nous le donner...en temps normal, nous n'en aurions pas eu besoin. Et puis la navette n'est pas la même que celle que nous avions et son encodage ne correspond pas au codage que la base doit avoir pour notre arrivée. Bref, on est coincé ici !

Bayen lève un doigt pour attirer votre attention.

- Il y a un moyen d'entrer dans le complexe xénos sans se retrouver face à face avec toutes ces machines. Mais cela reste extrêmement risqué.

Ayant l'attention de tous le monde, il poursuit.

- Les canalisations d'air. Elles circulent dans tout le complexe et on doit donc pouvoir passer par là.

Jéricho approuve d'un hochement de tête.

- C'est risqué, en effet, parce que si les machines nous entendent, on est cuit !

Bayen acquiesce.

- C'est vrai, mais avons-nous réellement le choix ?

Il se tourne vers Moltia, hésite une seconde, puis continue.

- Elle doit savoir comment entrer dans le cogitateur de l'entrée du complexe. Je pense que nous n'auront pas trop de mal à trouver les plans des canalisations. Une fois les plans acquis, nous pourrons entrer et passer les sentinelles afin de trouver l'arme et la détruire.

Malazlo grimace.

- Hum, ça fait beaucoup de si et de peut-être tout ça.

Jéricho hausse un sourcil.

- Tu as mieux à proposer ? Sincèrement, si c'est le cas, je suis tout ouïe.

Malazlo ouvre la bouche mais la referme finalement, ne trouvant pas de meilleur plan d'action. Tous se tournent une nouvelle fois vers vous. Jéricho demande.

- Chefs, vous en pensez quoi ?

"Vous connaissez bien ces réseaux Bayen?"

Bayen fronce les sourcils avant de secouer la tête.

- Les réseaux d'aération ? Non, hélas. C'est bien pour cela qu'on a besoin de Moltia. Elle devrait pouvoir nous fournir les infos nécessaires pour entrer dans le cogitateur et accéder aux plans des canalisations de tout le complexe.

"Moltia, vous auriez omis de nous donner cette info?"

Moltia lance un regard assassin à Bayen avant de revenir sur toi, Varn.

- Vous m'avez demandé de vous parlez du système de défense du complexe, pas du système d'aération.

Elle relève le menton, bravache, mais en voyant ton arme, elle se dégonfle...Bien consciente que si elle ne parle pas, elle subira encore des tortures. Elle grommelle alors.

- Cette vermine de Bayen a raison, je peux entrer dans le cogitateur de l'entrée du complexe et trouver les plans des canalisations.

Un sourire féroce s'affiche soudain sur ses lèvres.

- Mais pour cela, il va vous falloir m'emmener avec vous !

Bayen tique.

- Quoi ? Et pourquoi cela ?

Moltia garde son sourire.

- Parce que le cogitateur a été modifié de façon à ce que seuls moi et les autres puissions nous en servir. Une sécurité au cas où...

Jéricho plisse les yeux, sceptique.

- Je ne suis pas certain qu'elle dise la vérité sur ce coup-là.

je me campe devant Miltia, je triture mon chapelet
" Moltia j ai l impression que tu te moque de nous et je suis à deux doigts d utiliser mes pouvoirs sur toi, je pourrais me insinuer dans ta tête et si ça me chante je pourrais même te persuadé que l Empereur est ton seul recours tu me supplira de t aider pour t amender tu demandera pardon pour toutes les insultes que tu as dite contre l imperium. La seule chose qui me retiens c est le risque que je prendrai pour le faire. Je suis juste en train de calculer si il me reste d autres options ou pas."
je lui laisse 2 secondes
" Alors Moltia tu me dis la vérité ou tu t obstine à me vomir toutes tes conneries sur vos préparations contre une attaque qui a mis 20 ans à venir?"

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