CHAPITRE I : La Cité des Tours (section commune rp)

Confirmation du CC : +6

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2

Dommages de la lame de Couperet : D8 + 5

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2

* Les attaques répétées de Couperet commence à avoir raison de Virink. Cette fois, il n'a pas pu éviter à temps le terrible coup d'estoc qui a perforé son bouclier comme s'il s'agissait d'un morceau de beurre. Ces lames sont vraiment terriblement aiguisées ... *

" Meurt, chien ! "

A toi Hélyos

*Le Mage réitère son opération et relance son sort sur le forgelier*

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4

+1

*L'oiseau ténébreux fond une nouvelle fois sur sa proie *

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3

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1

* Le projectile magique de Sylus atteint sa cible *

Les attaques de Virink et Elaydren :

Elaydren +3

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7

Virink +7

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* Cette fois, l'orbe acide passe à côté du forgelier et va achever sa course sur la rambarde du pont.
Virink, quant à lui, arrive enfin à percer la garde de son cousin. *

Dommages Virink : D8 +3

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8

* Face aux attaques combinées de Sylus et de Virink, Couperet semble accuser le coup. Pourtant, sa détermination reste intacte. A travers le brou-ah-ah de l'averse, vous continuez à entendre les cris des habitants qui observent la rixe. *

Round n°5

Couperet : 15 (26)
Sylus : 13
Elaydren : 11
Virink : 7 (7)

* Apparemment, les chocs électriques consécutifs aux projectiles magiques de Sylus commencent à agacer Couperet. Aussi s'avance-t-il afin de gratifier le magicien d'une de ses lames. *



Lames +6/+6

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Dommages +5

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4

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2

* Le forgelier a agit avec une célérité déconcertante. Trompant la garde de Virink, il lui entaille la jambe, causant 9 points de dommages. Sylus n'a pas le temps de reculer que le terrible adversaire lui assène un coup d 'estoc qui vient pénétrer profondément dans son aine, causant 7 points de dommages *

" La chair est faible ! "

A toi Hélyos

*Sylus accuse le coup et sa blessure le fait souffrir le sang se répend lentement mais surement le temps devient compté avant que son esprit ne défaillisse sans soin d'aucune sorte. Il passe sa main sur son dracogramme pour se téléporter entre la rambarde et Virink puis il incante de nouveau*

(J utilise un point d action ou plusieurs pour recaster )

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3

+1

"Même si nous ne te vainquons pas tu as perdu un temps précieux pour t enfuir, les gardes sont déjà en route et arriveront d'une minute à l 'autre. Pauvre chose tu as ....échoué"

*Le Mage se fend d'un sourire narquois malgré sa blessure en contrecoup de celle ci peut être*

On prend le pas d'ajustement désolé pour ce bazar

* Sylus se recule ; puisant au plus profond de lui pour se remémorer l'incantation qu'il a déjà utilisée à deux reprises, il tend sa main vers le forgelier. Celui-ci est encore une fois frappé de plein fois par l'énergie éléctrique, ce qui déclenche une cri de rage. *

" Rahhh, je me baignerai dans ton sang, tas de chair !! "

* Virink et Elaydren profite de se moment de déconcentration de Couperet pour effectuer leurs assauts *

Attaque à distance orbe d'acide : +3

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5

Épée longue : +7

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13

Sylus, n'oublie pas d'enlever 1 pa

* Le forgelier est plus véloce qu'il n'y paraît et esquive sans peine l'orbe maladroitement expédiée par Elaydren. Par contre, l'épée de Virink passe entre les lames de Couperet. *

Dommages épée D8 + 3

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3

* Le coup de Virink était parfait ; pourtant, une partie semble avoir était absorbée par l'étrange armure de Couperet, ne lui effectuant que peu de dommages.
Un bruit de course se fait entendre de l'autre côté du pont. Vous distinguez vaguement un groupe de gardes portant des hallebardes qui viennent dans votre direction. *

" Au nom du guet de Sharn, cessez immédiatement de vous battre "

Round n°6

Couperet : 15 (32)
Sylus : 13 (7)
Elaydren : 11
Virink : 7 (16)

* Couperet jette rapidement un coup d'oeil derrière lui, puis d'un geste souple, enjambe le rebord du pont. Il déclare alors, méprisant : *

" Couperet vous retrouvera, sac-de-chairs ! "

* Puis il plonge dans le vide. Virink profite de cet instant où Couperet a baissé sa garde :*

Attaque d'opportunité de Virink +7

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11

* Virink assène un rude coup de taille alors que Couperet se prépare a bondir dans le vide. Encore une fois, son épée est repoussée par la puissante armure du forgelier. Cependant, la violence du coup arrache une partie de sa cape. Celle-ci tombe à vos pieds tandis que Couperet entame sa chute vertigineuse. *

A toi Hélyos.

"A nous la garde ! "

*Sylus la main à sa blessure commence à ne plus avoir la force de demeurer debout et s'écroule genoux à terre attendant les gardes*

* Quelques secondes les membres du guet arrivent sur les lieux, traversant le rideau de pluie sombre. La patrouille est constituée de deux hommes et une femme portant l'armure de cuir cloutée du guet de Sharn. Le chef, un nain chauve puissamment musclé à la barbe taillée de près, s'avance en levant son arbalète dans votre direction. Une petite boule de lumière magique, flottant juste au-dessus de son épaule gauche, illumine les lieux encore plus clairement que la lanterne éternelle. De part et d'autres, ses comparses tiennent leurs hallebardes prêtes à l'emploi.

" Par le nez ensanglanté d'Olladra " s'écrie le nain. " Sur ordre du guet, lâchez vos armes et expliquez-vous ! "

"Homme suspect.... *désignant la demeure du doyen*un silhouette encapuchonnée est sortie de cette bâtisse , le doyen de l'université Morgrave avait rendez vous avec cette Dame Cannith *désignant Elaydren* et moi même de la maison Orienne. .... Nous suspections une forfaiture et à mesure que nous nous approchions, le bruit de nos pas l'alerta et il voulu prendre la fuite tel un pachyderme.

Notre surprise fut grande d entrevoir un forgelier avec deux lames et dont la cape gît ici en morceaux *désignant le bout de cape* , un forgelier d'alliage obscur répondant au nom de Couperet qui fit volte face pour nous assaillir quand nous l'avons poursuivit .

Et vous voila ici sans que nous sachions même si le doyen est encore en vie "

*A partir de là, Sylus commence à sombrer dans une demi conscience dut à sa blessure ses paupières se font lourdes commençant à voguer entre rêve et conscience*

Tu me fais un petit jet de Diplomatie stp ?

* Elaydren prend la parole à son tour : *

" Je vous en prie, notre ami est peut-être en train de mourir à l'heure qui l'est : il faut nous hâter d'aller vérifier !*

* Virink, quant à lui, se contente de poser ses armes à terre, attendant que la vérité soit faite. La pluie continue à tomber. Au travers des gouttes, vous distinguer deux ou trois habitants du quartier qui se dirigent vers vous. *

Diplomatie +4

Helyos a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :

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* Le sergent nain écoute attentivement Sylus et Elaydren tout en jetant de temps à autre un œil inquiet vers votre compagnon forgelier. Lorsque Sylus semble tourner de l’œil, il indique vivement à l'un de ses gardes de l'aider. *

" Aussi vrai que je m'appelle Dolom, si votre histoire est confirmée, vous serez des héros ! Allons de ce pas voir si votre ami est toujours en vie. Passez devant madame, et montrez-nous le chemin je vous prie. "

* Elaydren fait un rapide 'oui' de la tête et guide l'escouade du guet vers la maison de Bonal Geldem. Aidé par l'un des gardes, Sylus arrive sans problème à se déplacer et peut ainsi suivre le mouvement. Puisqu'on ne fait pas attention à lui, Virink ramasse son épée et la rengaine. Il réajuste son bouclier et en profite pour ramasser le bout d'étoffe arraché à son adversaire et le mettre dans son sac. *

Le groupe arrive devant la porte du doyen et la trouve entre-ouverte. Après quelques instants de recherche, le sergent découvre le corps sans vie de Bonal dans une mare de sang. Il a manifestement été éventré. Devant l'atrocité de la scène, Elaydren tombe en pâmoison, et est retenue in extremis par les puissants bras de Virink.
Il semble évident que l'assassin de Bonal cherchait quelques chose, car l'appartement a été retourné sans dessus-dessous.
Après un rapide regard à Elaydren pour vérifier qu'elle n'a rien, Dolom s'agenouille auprès de la dépouille macabre et inspecte sa blessure mortelle.


" Hmmm, cette blessure a été causée par une lame très aiguisée. On dirait que deux coups ont été portés : de gauche à droite, puis de droite à gauche ... Pourrais-je voir votre épée un instant, monsieur le combattant ? "

* Dit-il en s'adressant à Virink. Son ton est courtois, mais direct.
Virink dégaine son épée à nouveau et la tend au sergent. Celui-ci la prend en main et regarde sa lame attentivement, tout en marmonnant à lui même : *

" Hmmm, cette épée est bien forgée ... elle pourrait causer une telle blessure ... mais aucune trace de sang détectable sur sa lame ... pourtant ce meurtre est très récent "

* Il se rapproche encore du cadavre et sans le toucher, mime le meurtre avec l'épée de Virink *

" Hmmm ... non ... trop longue ... et puis pourquoi donner deux coups alors qu'un seul suffisait ... "

* Il rend l'épée à Virink *

" Tenez ; navré de vous avoir suspecté, mais c'est mon métier d'être méfiant. Nous allons nous rendre au poste de garde et vous me raconterez en détails ce qui s'est passé. Si notre médecin n'est pas couché, vous aurez droit à des soins ; ensuite vous serez libre. "

*Sylus se laisse donc mener au poste de garde en compagnie de la Cannith après cette macabre découverte. L'homme est affaibli par sa blessure ne pouvant supporter la conscience du trajet il sombre dans l inconscient tandis que son corbeau se pose sur lui pour veiller sur son maître *

* Après quelques minutes de marche, le groupe arrive en vue de la caserne du guet. Aussitôt, un jeune adepte vient s'occuper des blessures de Sylus. Celui-ci est rapidement remis d'aplomb (Sylus récupère la totalité de ses points de vie). Dolom demande alors que vous racontiez en détails se qui s'est passé. *

Désolé Hélyos, mais étant le seul joueur présent, c'est à toi qu'incombe cette tâche !

"Je vous suis gré d'avoir secouru ma personne et panser mes blessures. "

*Le mage se montre fort aimable et est visiblement ravie de retrouver toute ses capacités*

"Voyez vous Dame Elaydren et moi même nous sommes connus lors du précédent convoi de ma maison ou j'étais l'héritier en charge d'aider notre chef de convoi. Une fois arrivé à Sharn nous avons tout deux vaquer à nos occupations, puis nous avons convenu d'un rendez vous à l'université Morgrave ou la délicieuse demoiselle que vous voyez ici m'avait convié pour rencontrer le doyen car nous sommes tout deux arcanistes et féru de magie, moi même j ai suivi une formation à l'école d'Arcanix."

*Sylus marque une pause et jette un regard à Elaydren plutôt compatissant pour la perte qu'elle vient d'essuyer*

"Nous nous sommes donc retrouvés, un homme charmant ce doyen et sans nul doute un puits de savoir, une fois les retrouvailles pontifiées, nous dissertâmes sur une certaine découverte dont l'issue fut mortel pour ce vieil homme. Le forgelier que vous voyez ici était des nôtres et lors de notre échange métaphysique et sur cette découverte, il nous alerta sur une présence espionne derrière la porte, nous avons voulu nous en assurer mais en vain cette oreille baladeuse avait déjà décampé ."

*Le mage laisse le temps au nain de s’accommoder de l'histoire et marque une courte pause*

"Le doyen nous invita chez lui le soir même Dame Elaydren et moi même pour pouvoir disserter à l'abris des regards et des oreilles de sa découverte . Le soir venu nous nous rendîmes chez lui et en descendant de l'aerodiligence nous vîmes une silhouette encapuchonnée se déplacer lentement vers le pont comme pour fuir. J'ai fais part de mon inquiétude comme quoi il pourrait s'agir d'une personne malveillante à son allure, à ce qui c était passé cet après midi et à la fonction de notre hôte .
Cela éveilla la vigilance de cet inconnu qui tenta de fui d'une manière si lente et pesante que nous avons pu nous interposer sur le pont l'obligeant à faire halte. Nous découvrîmes un forgelier à la teinte obscure rien à voir avec du mithral muni de deux épées et répondant au nom de Couperet selon ces menaces nous n étions que des sacs de viande. Ses intentions étaient hostiles à notre encontre nous n'avons eu d'autre choix que de nous défendre comme nous le pouvions en attendant que le bruit engendré vous amènes à notre rescousse "