L'affaire Aryldinn Soufflenuit : Section commune.

Le sergent semble accepter tes paroles, Gäyana, et hoche la tête avant de donner l'ordre à ses hommes de se mettre en marche.
La patrouille repart donc vers la caserne, emmenant avec elle un Malyk tout content de s'en tirer à si bon compte. Le voleur ne capte pas le regard assassin que tu lui lance, Jehans, ni le grondement sourd de Wyrm qui se délecte par avance de la traque future dont l'insouciant sera la proie...

Vous reprenez votre marche et vous débouchez quelques instants plus tard dans une rue populeuse. En face de vous, l'échoppe de Bartag Finebouche ne passe pas inaperçue. Sa vaste vitrine offre aux regards des passants des cubes en bois assez grands dans lesquels des bouteilles sont mises en valeur grâce à un décor rappelant le pays d’origine du vin ou de la liqueur. A l'intérieur, l'échoppe possède des espaces dédiés à différents royaumes ou pays et plusieurs crus, liqueurs et autres breuvages y sont exposés dans de belles petites vitrines superbement ouvragées. Un espace dégustation est aménagé de chaque côté de la salle et le comptoir, courant sur tout le mur du fond de l'échoppe, est occupé par plusieurs vendeurs. Au bout du comptoir, côté droit, un homme de belle stature proche de la cinquantaine est assis et est en train d'écrire dans un registre. Il a des cheveux courts poivre et sel, une moustache assortie et des yeux noirs calculateurs. Les quelques regards furtifs que vous surprenez des différents vendeurs vers cet homme vous laisse penser qu'il s'agit certainement du propriétaire, le sire Bartag Finebouche en personne. Lorsque vous vous approchez de lui, il lève la tête, soupire, fronce les sourcils, visiblement contrarié qu'on puisse le déranger, et demande d'une voix un peu bourrue.

- Oui, vous désirez ?

Jehans tentait de s’enlever de la tête ce qu’il venait de passer pour avoir l’esprit libérer pour la suite des évènements. Marchant plus gaiement, ils arrivèrent chez l’autre marchand de vin. Après avoir donné l’ordre à Wyrm de rester sur place de l’autre côté de l’échoppe du marchand, ils entrèrent. L’accueil à leur égard fut mitigé, ce qui ne donnait pas du moral au forestier qui baissait légèrement les sourcils en guise de mécontentement.

À la question posée, jehans se demandait s’il n’était pas mieux de laisser parler Gäyana car elle avait toujours été plus diplomate que lui, mais la colère du moment fit en sorte que le rustre personnage prit la parole sur un ton agacé…

-Pour commencer, nous ne désirons rien, cette vilaine manie est une tare agaçante des égoïstes. Nous sommes venus enquêter sur les protections de sécurité du marchand qui s’est fait voler à deux reprises, fait étrange et peu commun qui apporte un lot de questionnement sur les réelles possibilités d’un tel fait. En gros, nous voulons inspecter les lieux du vol pour comprendre comment un voleur pourrait-il pénétrer les lieux aussi facilement deux fois de suite, et ce, sans se faire prendre, soit il est un expert jamais égalé, ce qui serait hors de l’ordinaire, soit il a eu de l’aide par une tierce personne. Avant toute accusation, nous devons faire la lumière par extension, sur cet arcane.-

Finissait-il de dire arborant un sourire un peu gavroche.

Jehans, ta réplique surprend le marchand qui hausse les sourcils avant d'afficher un mince sourire en coin, amusé. Visiblement, il apprécie ton sens de la répartie et ta façon de ne pas te laisser démonter par un accueil peu chaleureux. Il plisse les yeux lorsque tu mets un sous-entendu dans tes paroles concernant le fait que le voleur ai pu cambrioler les lieux deux fois sans se faire pincer. Sa voix se fait plus sèche.

- Je n'aime pas du tout votre sous-entendu, messire. Quant à répondre à vos questions ou vous faire visiter les lieux, il faudrait pour cela que vous me disiez qui vous êtes exactement et de quelle autorité vous dépendez pour penser que je vais vous obéir au doigt et à l'oeil !

Cette fois, son regard est hostile...décidément, tu as l'art et la manière d'hérisser les gens à qui tu t'adresses. En tout cas, votre échange n'intéresse absolument pas les clients ou les vendeurs qui continuent leur petit bonhomme de chemin comme si vous n'étiez pas là. Il n'y a vraiment que les riches pour ne pas s'intéresser à ce qui se passe autour d'eux. Il faut dire que tant que cela ne les concerne pas directement, ils s'en fichent comme de leur premier lingot d'or. Avec des gens plus humbles, il est certain que toute l'échoppe se serait arrêtée de bourdonner pour vous fixez et ne rien raté de votre échange...les potins, ça, c'est le ciment de la vie sociale !

Gäyana, le marchand se tourne vers toi, sourcils froncés à nouveau.

- Vous êtes avec lui, dame ?

Sa voix s'est un peu radoucie lorsqu'il s'adresse à toi mais tu sens bien que sa colère reste à fleur de peau.

Après ce petit contretemps, Jehans et la gith purent enfin aller chez l'autre marchand...Mais l'affaire malik restait encore au travers de la gorge du rodeur qui commença a répondre au marchand de manière un peu amère. La gith tenta d'expliquer alors:

Excuser la manière un peut Brute de mon collègue, nous venons de nous faire agresser par des bandit sur la route... Nous sommes Bon, Nous faisons partie des traqueur assermenter par un juge et nous enquêtons pour coincer et attraper le Truand et voleur qui sévit chez vous et vos confrère...

Laissant le temps au marchand de bien comprendre l'affaire elle enchaina:

Donc comme la indiquer mon ami, nous voudrions voir, si celas vous est possible le lieux du vole ainsi de par quel moyens magique et matérielle vous protéger vos biens...

Gäyana venait encore de sauver la mise. Réalisant ainsi le fait, l'ex-sombre de l'Outreterre ne dit mots pendant que la moine discutait avec le marchand. Suspicieux, Jehans était, car si Bartag Finebouche était offusqué, c'était que le néophyte enquêteur avait vu juste, il allait lui dire sèchement que la vérité fâchait, mais il se retient pour ne pas envenimer la situation explosive que Gâyana venait de désamorcé. Il ne manquait pas de faire un signe de remerciement à sa compatriote.

Il fit qu'un signe de tête affirmatif vers Bartag aux dires de sa compagne puis attendit docilement que le marchand coopère pour leurs faire visiter la boutique. Donc il ne se présentait même pas attendant de finir la visite pour possiblement enfoncer le clou plus profondément.

Il devait se calmer et en prenant de grande inspiration et expulsant celles-ci avec ordre et précision, il réussi doucement à baiser son tempérament du moment. Il se savait en retard et très peu accoutumé à l'étiquette local, il lui fallait donc pondérer ses ardeurs pour mieux saisir et mieux comprendre les us et coutumes de l'endroit. Lui rustre sylvestre devenait tranquillement un citadin, si l'on pouvait sortir le sauvage du bois, il en était autrement de sortir le bois du sauvage. Il en prenait bonne note, car en seulement quelque pas deux évènements fâcheux venait d'arrivé dû à son manque d'adaptation.

Silencieusement il se parlait intérieurement, demandant humblement un peu d'aide de Lendys pour sa tare diplomatique.

Gäyana, ton intervention désamorce bien vite la situation d'autant plus que tu montres ton accréditation au propriétaire des lieux. Bartag, quoique restant ronchon, accepte tes explications et hoche la tête. Il désigne Jehans et réplique.

- Il faudrait lui apprendre à parler aux gens de façon plus diplomate, ma dame. Je suis navré pour votre attaque, le guet fait ce qu'il peut mais il y a toujours des bandes de voleurs qui réussissent à passer entre les mailles du filet.

Un peu radoucit, il vous invite à le suivre dans l'arrière-boutique où des vendeurs préparent les commandes et les achats des clients. Sur le côté droit de la pièce, se trouve un escalier qui monte à l'étage. Vous empruntez l'escalier et vous vous retrouvez dans un petit couloir qui dessert trois portes. Les deux qui se font face sont ouvertes et laissent voir un bureau et une pièce d'archives. La porte du fond est en métal et possède 3 toutes petites serrures. Bartag soulève sa chemise et découvre son ventre autour duquel se trouve nouée une petite cordelette. Au bout de la cordelette, une petite bourse en cuir plate contient les trois petites clés. Les nombreux cliquetis que vous entendez vous prouve que la sécurité des serrures est ultra costaud et qu'il faudrait un sacré bon voleur pour réussir à l'ouvrir.
La porte s'ouvre sur une "cave en hauteur". La pièce possède deux grands meubles pour entreposer les bouteilles les plus onéreuses ou les plus rares. L'un des meubles est froid quand on s'en approche. Bartag vous explique qu'il s'agit d'un meuble magique qui tient les vins au frais.

- Certains vins ne dévoilent toutes leurs saveurs qu'à une température fraiche...

Il se tourne vers le meuble qui est à température ambiante.

- ...tandis que d'autres vins sont bien meilleurs à température ambiante.

La pièce possède trois petites fenêtres tout en hauteur mais qui, en largeur, ne font guère plus de 15 cm. Il est donc impossible à quiconque de passer par là. Là encore, comme dans les autres pièces de l'échoppe, il y a des bouches d'aération mais trop petites pour qu'on puisse s'y faufiler...à moins d'être une créature miniature ou sous forme gazeuse. Bartag se met à raconter ses mésaventures avec ce "satané" voleur.

- Après son premier forfait, comme on ne savait pas par où il était passé, on a fait changer la porte d'entrée de la pièce. A sa seconde visite, j'ai de nouveau acheté une nouvelle porte avec des serrures qui sont enchantées et qui déclenchent des sortilèges si on tente de les forcer.

Il se redresse, pas peu fier de lui.

- Qu'il y revienne et il va avoir une sacrée surprise. Cette fois, il ne pourra rien faire par cette porte, ça c'est certain.

Il désigne les vitres des fenêtres.

- Elles disposent également de protections magiques mais ma plus belle défense c'est celle-là.

Il se retourne et marche vers la porte d'entrée quand soudain cette dernière se referme toute seule sur un claquement sec tandis qu'apparait une armure animée. Son harnois est étincelant de propreté et elle possède une épée et une arbalète. Son épée à deux mains prête à découper les intrus que vous êtes, elle s'avance, menaçante. Bartag se met alors devant vous et lève la main.

- C'est moi, tu peux disposez.

L'attitude guerrière de l'armure s'interrompt directement et elle s'incline dans un simulacre parfait de salut avant de disparaitre. Le marchand se tourne vers vous et sourit.

- Cette fois, s'il revient, il sera bien accueilli !

Jehans, pendant la visite, tu observes les employés qui vaquent à leurs occupations. Aucun ne semble plus nerveux que les autres ou ne vous regardent d'un air inquiet. Rien ne te permet de suspecter l'un d'eux mais cela ne veut rien dire. Un complice est toujours possible, il n'est peut-être pas présent aujourd'hui ou bien il ne travaille peut-être plus ici. Bartag t'ignore depuis votre petite altercation et ne s'adresse qu'à Gäyana. Une façon comme une autre, pour lui, de te montrer son dédain. Tu repères plusieurs bouches d'aération et tu n'as pas l'impression qu'elles soient protégées sauf dans la pièce où sont entreposés les vins rares et chers. Là, une petite lueur bleutée entoure la bouche d'aération. Lorsqu'il te voit l'étudier, il daigne enfin t'adresser la parole.

- Le dispositif magique est relié à l'armure magique. Si quelqu'un tente de passer par là, l'armure apparaitra.

Le sourire suffisant qu'il affiche montre combien il est sûr que, cette fois, son échoppe ne sera plus cambriolée. Un sourire un tantinet agaçant...

L’observation était de mise et ceci était révélateur, donc c’est en silence et avec précaution que Jehans inspectait les lieux. Le moment ou l’armure se déclenchait, ce fut prestement que les deux pommeaux de ses rapières se retrouvèrent dans ses mains avec un judicieux pas de placement, mais Bertag réagit pour faire cesser cette mascarade inutile. Le visage du demi-drow s’assombrit de nouveau pestant silencieusement contre le marchand. Sans le regarder, le sylvestre continuait son inspection des bouches d’aération et pour lui il devenait évident que le voleur devait passer par-là, et ce, en forme vaporeuse ou nuageuse, peu importait, Droog le renseignerait plus sur cette possibilité, mais pour lui il était évident que c’était de cette façon. Le rustre forestier n’avait pas la fibre d’enquêteur, donc pour lui sauter aux conclusions était de mise, acceptable et pratique. Quand il vit que l’un d’eux était protégé magiquement et pas les autres il laissait un sourire moqueur apparaître, sans pour autant regarder le marchand pour envenimer la situation, par contre il dû tenter quelque chose et poser des questions.

Il allait prendre une bougie non loin et vint l’éteindre dans la bouche d’aération qui était protégée magiquement question de savoir si une forme vaporeuse déclencherait le processus de protection, se qu’il doutait, mais fallait-il en avoir le cœur net. Dans son opération il dit, toujours sans regarder le marchand comme s’il parlait à Gäyana…

-Il y a plusieurs bouches d’aération et une seule de magiquement sécuriser, en plus il n’est vraiment pas difficile de voir la lueur magique, un bon magicien-voleur ne serait pas berné par ce truchement. –

Puis cette fois il s'adressait directement à Bertag sans le regarder...

-À part vous et nous, qui est entré dans cette salle? Et comment? Vous avez la liste des spiritueux volés la première fois et de la seconde? –

Dans l’attente des réponses, il continuait d’inspecter les lieux.

HRP: Fouille+1

Jehans a effectué 1 lancé(s) d'un (D20.) :: 14

HRP.

Si il continue son mode opératoire il ne risque que de venir l'année prochaine en s'occupant de vos autre confrère ... Mais si il arrive jusque ici avec un moyen de rapetissement ou par passe muraille vos dernière défense devrait avoir leur lot de surprise . D'ailleurs , qui vous a installer c'est défense magique ?

Utiliser un système de traçage sur la marchandise voler pourrait etre pratique pour la retrouver di il agit chez le prochain marchand sur la liste... Mais pour cela il faudrait voir avec l'Académie, de magie d'enchentait une bouteille pour la localiser rapidement dit-elle a Jehans voir ce quil en pensait

Ce qu’il aimait de Gäyana était qu’elle voyait les choses différemment de lui, comme si elle était ailleurs avec un regard totalement différent. Jehans répondit de suite au moine tout en continuant de faire son inspection…

-Tu as une bonne idée Gäyana, effectivement avec un rapetissement il peut aisément entrer et sortir, mais il lui faudrait refaire un rapetissement sur les bouteilles pour ressortir, donc onéreux, à moins qu’il les dépose dans un sac sans fond avant de partir. Un passe muraille et une porte dimensionnelle lui demanderait de savoir où exactement arriver, donc doit obligatoirement connaitre les lieux, et ce, parfaitement; c’est le pourquoi de ma question à messire Bartag, à savoir qui est entrée ici et quand. Encore une fois Gäyana, utiliser une bouteille piège serait ce qui à de mieux pour le retracer et c’est le pourquoi de ma deuxième question à messire Bartag, à savoir par quel spiritueux notre voleur est-il intéressé puis cette réponse nous amènera à savoir quels clients est intéressé par les spiritueux volés.-

Tout au long qu’il avait parlé il avait continué de chercher un indice, soit sur le dessus des meubles, des barils ou au sol puis bonnement il demandait au marchand sans le regarder…

-Vos employés sont-ils tous présents présentement?-

Jehans, lorsque le marchand te voit souffler la bougie, il hausse les sourcils, perplexe. Quand il réalise que la fumée engendrée déclenche l'apparition de l'armure magique, il ronchonne.

- Vous avez l'intention de la faire apparaitre longtemps comme ça ?

Tandis qu'il désamorce de sa présence le gardien magique, tu as la réponse à ta question : Oui, une forme gazeuse déclenche bien la sécurité magique. Cette fois, en effet, si le voleur veut récidiver il lui faudra trouver une autre manière de se glisser dans la pièce. Face à tes constatations, Bartag hausse les épaules.

- Les autres bouches d'aération de l'échoppe sont protégées mais plus globalement et avec des moyens mécaniques. Mes articles les plus précieux se trouvent ici, dans cette pièce, et c'est la seule que j'ai fais protéger au maximum. Le fait que la protection magique soit bien visible est volontaire. Le voleur qui s'approche de cette salle doit savoir ce qui l'attend. C'est dissuasif pour la plupart des voleurs et un suicide pour ceux qui tenteraient de passer malgré tout. Quand au magicien qui réussirait à désamorcer cette sécurité, croyez-moi, il devra avoir une connaissance arcanique très élevée pour y parvenir.

Le ton pompeux qu'il prend montre qu'il a toute confiance en son système de sécurité. Il fronce les sourcils à tes autres questions avant d'y répondre.

- A part vous et moi, il n'y a que Auguenar Fildor, l'elfe qui a installé la protection magique et Perilin Finetouche, le maître-halfelin qui a posé les sécurités mécaniques. Bien entendu, ils sont venus ici séparément et ne se sont jamais rencontrés dans mon échoppe. Ils sont entrés ici avec moi et je suis resté présent tout le temps qu'ils sont restés pour leur installation.

Pour répondre à ta dernière question, il énumère sur ses doigts.

- Lors du premier vol, on m'a volé :

- Une caisse de vin rosé, cuvé de Chuteneige et de brandy des îles Moonshae
- Une caisse de whisky de Mirabar
- Une caisse de nectar de Padhiver
- Une caisse de cidre, cuvée de maître Célian du Bief de Vilhon
- Une caisse d'Hydromel argenté d'Evereska (rare)

Au second, on m'a prit :

- Une caisse de Vodka de Sossal
- Une caisse de vin blanc Alurlyath d'Eauprofonde (rare)
- Une caisse de vin Kaorph des Monts étoilés de la Haute-forêt (rare)
- Une caisse de vin ambré de Calimshan (rare en dehors du Calimshan)
- Une caisse de vin de Kung-Lu (kara-tur) (rare)

Le second vol a permis de récupéré plus d'articles rares et donc très cher. La grimace que fait Bartag ne trompe pas...le marchand l'a vraiment mauvaise sur ce coup-là.

Gäyana, le marchand te redonne le nom de l'elfe qui a installé les défenses magiques de la pièce : Auguenar Fildor.

- C'est un mage elfe du soleil...hautain, certes, mais très compétent et réputé.

Quand tu proposes l'idée d'un sortilège de traçage à mettre sur une bouteille de vin rare, Bartag te regarde avec intérêt.

- Voilà une excellente idée. Je vais m’empresser de suivre votre conseil, ma dame...juste au cas où.

Malgré sa confiance dans son nouveau système de protection, le marchand ne crache visiblement pas sur un petit supplément de protection si cela peut lui permettre de protéger sa marchandise. Et si en plus cela peut amener la capture du voleur, il n'en serait que plus heureux. L'homme va s'empresser d'aller à l'académie de magie pour voir si cela peut se faire.

Jehans, le marchand t'explique que les clients qui sont preneurs pour ce genre de marchandises sont peu nombreux.

- Il faut avoir les moyens pour s'offrir ce genre de spiritueux. Parmi les nobles de la cité, seules trois familles ne sont pas mes clients et je suppose qu'elles doivent en être malade de jalousie. Il s'agit de la maison Aubétoile, la maison Lysdor et la maison Hautecouronne.

Il hausse les épaules et ouvre ses mains.

- Mis à part ces trois familles, vous pouvez considérez que tous les bourgeois de la cité pourraient faire parties des clients potentiels au marché noir. Qui ne rêverait pas de faire voir à ses proches que l'on a suffisamment de moyens pour s'offrir l'une de ses bouteilles ?

Quand tu lui demande si tous ses employés sont présents, il secoue la tête.

- Non, bien sûr, il y a toujours un roulement entre mes employés afin de leur permettre d'avoir un jour de repos. Pour aujourd'hui, il manque :

Mélan Perlécaille
Arolio Grandechope
Perguélian Vertefeuille
Arilyne Chênargent
Géral Crin-noir
Isabeau Plumacier

Bartag vous regarde tour à tour pour savoir si vous avez d'autres questions à lui poser.

Étonné du bon fonctionnement du moyen magique, le sylvestre ne répondit pas au marchand lorsque ce dernier se plaisait à le ridiculiser, même si l’intention y était, le rôdeur retenait de misère, sa fragile patience. Jehans fut surprit et ce fit envoyer dans une toute autre perspective lorsqu’il apprit que ce qui avait été volé n’était pas que quelques bouteilles , mais bien cinq caisses la première fois et cinq caisses la seconde fois. * Comment transporter cinq caisses et sortir d’ici sans se faire voir ni entendre ? 20-25kg par caisse minimum, ça fait toujours bien 100 à 125 kg !* Songeait-il en regardant les yeux grand ouvert Gäyana comme s’il attendait qu’elle trouve la réponse.

Il levait son index de la main gauche vers le marchand puis demandait à la fin de ses dires...

-Vous avez de quoi écrire, vraisemblablement il me faut prendre des notes, merci.-

Les trois familles devaient être rencontré ou visité, pour voir leurs caves à vin, parmi les familles il pouvait possiblement y avoir l’une d’entre elle qui était derrière tout cela. De plus il y avait six employer à rencontrer sans parler des employé en place pour l’interrogatoire. Lui, être d’action physique, n’était pas sorti des questions et trop de gens jusqu’à présent, pouvait être complice et suspect et ils n’étaient qu’au deuxième marchand de rencontrer.

* Dans quel foutoir je me suis embarqué ?* Sans vraiment se demander la question ni sans vraiment y répondre. Ce qu’il venait d’apprendre changeait sa vision du vol, mais ils avaient les noms des vins et spiritueux volé, c’était déjà cela de prit et il lui semblait que ce serait peut être assez pour trouver une piste, fallait-il maintenant les noter. Avec tout cela il commençait à avoir soif. Il chassait cette idées farfelu en regardant la moine lui demandant des yeux si elle avait d’autre question pour Bartag.

A l'écoute du discours du marchand, pas mal d'informations venait voir trop d'information plus il parlait et plus de potentielle personne, groupe ou tierce personne pourrait être impliquer dans cette affaire.... Mais d'autant plus de relation celas pouvait déboucher...

Voyant que Jehans aller prendre de quoi noter, pour mettre sa sur papier et y voir plus claire elle demanda:

Dit-Moi , si cela n'est pas indiscret....Pourquoi interdisait vous la vente d'alcool a ces 3 familles ? Que vous ont-t 'ils fait ? est pas aux autre ? N'importe qui pourrait ce faire passait pour une tierce personne leur appartenant ?

Puis laissant le temps de répondre elle demanda aussi,

Si vos bouteilles, comme celle de vos conçurent ce retrouve sur le marché noir c'est que le voleur doit être bien connu de ce milieux... Une autre piste a explorer...

Ces spiritueux attirait pas mal de convoitise et le voleur semblait agir a sa guise .Le temps passait et il fallait bientôt se mettre en œuvre pour le piéger. A part si Jehan a d'autre chose a lui dire le mieux était soit qu'ils aille a la possible auberge ou le voleur résider ou d'installer un piège dans son prochain forfé mais pour cela passer a l'académie des mage pourrait être utile. Il fallait aussi pensait a aller au tribunal pour aller rendre la tête du chef des voleur ou du moins ce renseigner comment prouver que lavi de recherche avait bien était accomplie.

Jehans, le marchand vous invite, toi et Gäyana, à sortir de la salle sécurisée afin de poursuivre votre conversation dans son bureau. Une fois sur place, il te tend un parchemin, un encrier et une plume et te laisse à ton travail d'écriture. Comme si ton envie de boire se matérialisait, une odeur un peu sucrée flotte dans a pièce. En embrassant la pièce du regard, tu repères une petite console sur laquelle une cave à liqueurs est posée. La boite, en bois précieux, est marquetée et quelques arabesques en fils d'or réhausse encore sa beauté. Pas de doute, cette cave à liqueurs a été faite par un maître-ébéniste et doit valoir son pesant de pièces d'or. Posées à côté de cette petite merveille en bois se trois bouteilles de liqueur. L'une contient un liquide ambré, l'autre un liquide bleu et la dernière un liquide laiteux. Chaque bouteille porte une étiquette donnant des indications sur ce qu'elle contient et sur sa provenance. La première bouteille est une liqueur de dattes de Zakhara, la seconde est une liqueur d'oranges venant de Maztica et la dernière est une liqueur de litchis en provenance de Kara-Tur. Voilà trois liqueurs qui doivent être goûteuses au possible...

Gäyana, Bartag te regarde avec surprise quand tu lui demandes pourquoi les Aubétoile, Lysdor et Hautecouronne sont interdits de vente d'alcools dans son échoppe.

- Mais enfin, je n'ai jamais dis qu'ils étaient interdits de venir acheter des spiritueux chez moi ! Je disais juste que ces trois familles, bien que faisant partie de la noblesse, n'ont pas les moyens financiers de s'offrir de grands crus. Ils ont certes un lignage prestigieux mais des revers de fortune ou une mauvaise gestion de leur patrimoine a rendu ces gens aussi peu argentés que de simples bourgeois.

Le ton de sa voix, lorsqu'il compare ces familles nobles désargentées à des familles bourgeoises, te montre tout le mépris qu'il a pour cette classe de la population dont il fait pourtant partie. Quelque chose te dit qu'il rêverait de pouvoir se compter parmi la noblesse de l'île et qu'il déteste sa place d"inférieur" vis à vis de ses nobles clients. Quand tu lui dis que ses bouteilles doivent sûrement se trouver sur le marché noir de la cité, il acquiesce vivement.

- Je le pense aussi, ma dame, et c'est certainement de ce côté-là que vous risquez de trouver une piste...du moins, je l'espère. Vu les vols de grands crus qu'il a fait, il doit commencer à avoir une bonne réputation en tant que fournisseur de spiritueux rares. Puisse Tymora vous sourire dans votre recherche de ce malandrin !

Il est clair que sa prière pour votre réussite est sincère et qu'il a grande hâte de voir ce voleur derrière les barreaux.

Une fois rendu dans le bureau les quelques boissons auprès de lui, se laissait désirer. Opportuniste, Jehans décidait de briser la glace avec le marchand, d’ailleurs, s’il voulait avoir plus de social avec les humains il fallait commencer un jour. Il prit donc la plume et le velin puis commençait comme suit après avoir sortie une bouteille de son havresac qu’il déposait devant lui et …

-Voici un restant de Sec arabelan, de la cuvée spéciale de 1336, tirée pour le couronnement d'Azoun IV, je serais bien aise de l’échanger avec une dégustation de vos boires ici présents. -

Désignait-il les trois flacons et spécifiquement celui trouble.

-Comme vous l’imaginez, le contenu de cette bouteille d’une rareté et au goût exquis m’a été offerte pour un travail très spécial dans les tréfond d’Eauprofonde, connaissant votre palais et vos papilles qui doivent être très développé, j’aimerais avoir votre expertise sur ce vin, qui doit naturellement être moins délicieux qu’à son ouverture, mais au moins vous en tirerez possiblement des saveurs et des effluves appréciables. -

Dit-il tout en sourire en continuant, donc vous m’avez dit…

-Au premier vol :
-- Une caisse de vin rosé, cuvé de Chutedesneiges et de brandy des îles Moonshae
- Une caisse de whisky de Mirabar
- Une caisse de nectar de Padhiver
- Une caisse de cidre, cuvée de maître Célian du Bief de Vilhon
- Une caisse d'Hydromel argenté d'Evereska (rare)
Au second:
- Une caisse de Vodka de Seausale
- Une caisse de vin blanc Alurdyath d'Eauprofonde (rare)
- Une caisse de vin Kaorph des Monts étoilés de la Haute-forêt (rare)
- Une caisse de vin ambré de Calimshan (rare en dehors du Calimshan)
- Une caisse de vin de Kung-Lu (kara-tur) (rare)

Est-ce bien cela?-

Demandait-il en ajoutant…

-Puis dans vos employés absents il y a Mélan Perlécaille, Arolio Grandechope, Pergue-Élian Vertefeuille, Arilyne Chênargent, Géral Crin-noir, Isabeau Plumacier, si je ne me suis pas trompé.-

Gäyana entra dans la pièces et remarqua les bouteille que Jehans annonça. Elle demanda alors

C'est breuvage ne sont-ils pas précieux ? Serait-il protéger autrement ? pour qu'il n'attire pas la convoitise du voleur ?

Puis voyant la bouteille de Jehans elle ajouta:

On pourrait utiliser ta bouteille si elle ce relève rare comme moyen d'attirer notre voleur en propageant une rumeur que un fu unique viens d'être découvert ?


Et oui si notre groupe n'allait pas au voleur , pourquoi ne pas faire venir le voleur a eux...

Jehans, Bartag approuve d'un hochement de tête l'énumération que tu viens de faire des éléments volés dans son échoppe et de ses employés absents en ce moment.

- C'est tout à fait cela, oui.

Lorsque tu sors une bouteille de "Sec arabelan", de la cuvée spéciale de 1336, tirée pour le couronnement d'Azoun IV, les yeux du marchand s'illuminent aussitôt et la convoitise se lit sur ses traits. Il s'approche de ta bouteille, étudie l'étiquette qui y est apposé avant de siffler entre ses dents.

- Voilà un vin rare ! Il n'en existe plus beaucoup, hélas.

Il te regarde mais l'étincelle d'émerveillement de ses yeux laisse la place à une lueur soupçonneuse. Tu n'as aucun mal à suivre son schéma de pensées. Comment toi, une sorte de "va-nu-pied" à ses yeux, tu as pu entrer en possession d'une telle bouteille ? Il est clair que pour lui, cette façon ne peut-être qu'illégale voire criminelle et que ton explication d'une récompense que l'on t'aurait faite ne vaut pas tripette. Il fronce un peu le nez, partagé entre son envie de gouter ce nectar et celui de n'en rien faire...mais finalement, la tentation est trop grande et il se redresse en souriant.

- Faisons donc un échange de bon procédé...

Il va vers sa cave à liqueur, l'ouvre et en sort trois verres. Les verres et le flacon à liqueur de la cave sont superbes, réalisés en cristal finement ouvragés, ils sont d'une qualité exceptionnelle. Bartag saisit la bouteille de liqueur de litchis en provenance de Kara-Tur et en verse dans deux des verres avant de vous les tendre. Il tend ensuite son verre vide afin de te permettre de le lui remplir avec ton sec arabelan.

Gäyana, le marchand effleure de ses doigts bagués les bouteilles de liqueur et secoue la tête.

- Certes, ce sont des liqueurs onéreuses mais pas aussi rares que vous pouvez le penser. elles sont coûteuses car elles viennent de loin mais je peux m'en procurer assez facilement, d’où leur présence dans mon bureau.

Quand tu proposes l'idée de te servir de la bouteille de Jehans pour attirer le voleur, le regard de Bartag s'illumine à nouveau.

- Mais c'est une excellente idée que vous avez là, dame Gäyana !

Il désigne la bouteille.

- Je pourrais faire voir la bouteille dans mon échoppe ,voire en faire fabriquer une et la faire passer pour une vraie, une si vous avez peur qu'on puisse vous la voler, messire Jehans...et faire courir le bruit d'une vente exceptionnelle d'une caisse de ce vin rare et commémoratif. Cela a de bonnes chances d'attirer le voleur...

Il plisse les yeux et se frotte le menton.

- Devrait-on faire en sorte que la caisse en question soit dans mon échoppe ou trouverez-vous un autre lieu plus propice à la capture de ce cambrioleur ?

En tout cas, l'idée semble réellement l'emballer.

Gäyana apportait un excellent point, son idée lui fit lever les yeux l’air ébahi en faisant des signes affirmatifs de la tête puis suite au marchand...

-Ho quelle bonne idée Gäyana et vous aussi Bartag, faire croire est une bonne astuce pour attirer le voleur. Pour être sincère, je ne pensait pas garder la bouteille, je ne connaissait même pas ce cépage donc autant finir ce qu’il en reste et la remplir avec une piquette de table. Elle servira là où nous trouverons qu’elle sera la plus apte à attirer le voleur, notre tours des victime n’est pas encore terminé, très loin d’être terminé en fait.-

Dit-il en emplissant le verre du marchand du reste du sec arabelan puis dit en levant son verre...
-À cette ruse, aux papilles puis a la nouvelle rencontre, messire Bartag, Gäyana.-

Puis portait le verre à ses lèvres prenant une très petite gorgé pour faire durer le plaisir puis tentait de saisir le maximum des saveurs et les nuance qu’elles pouvaient apporter. Son regard était dans celui de Bartag à savoir de ce qu’il penserait du sec arabelan qu’il avait effectivement reçu pour un travail accompli, la Bregan Arthe avait toujours été généreuse, mais de cette partie, Jehans en garderait le secret.

Il ne voulut pas parler des employés tout de suite, laissant le temps à la dégustation et à l’appréciation des boires, mais ensuite le rôdeur-roublard demandait au marchand les adresses des employés qui était absent pour compléter ses écrits.

(hrp : j'attends la réponse de Gäyana pour poursuivre. Wink

)

L'idée de coincer le voleur dans l'échoppe du marchand pourrait paraitre une bonne idées mais le voleur se laisserait il prendre au piège. Ou continuerait-il sa tourner des échoppe de spiritueux...

Réfléchissant quelle que peux elle demanda :

Lorsque on vous a voler pour la première et deuxième fois la garde a relever ce qui vous a était voler mais a du faire de même pour tout vos concurrent... Il devrait avoir un rapport de tout ce qui a était voler !

Elle ajouta:

si nous voulons le coincer, il faut nous assurer qu'il ne puisse pas s'échapper par fumé, rapetissement ou en se téléportant ou peut être Arrêter le temps mais seul de grand magicien sont capable de telle tour de force

Jehans, la liqueur de Kara-Tur fait voyager tes papilles autant que ton esprit. Ayant déjà vu des croquis de paysages orientaux, tu fermes les yeux et tu as la sensation d'y être. L'exotisme de ce lointain royaume excite ton imagination et tu imagines les demeures aux curieux toits recourbés, les vases aux décors somptueux et les gens aux tenues si différentes de ce que tu connais. Cette liqueur possède t-elle quelques vertus magiques ou son goût si délicieux suffit-il à faire voyager son goûteur ? Voilà une bonne question...
L'idée de remplacer le vin Arabellan par un vin tout simple enchante le marchand qui y voit là l'économie à faire pour se garder ses bonnes bouteilles.

- Oui, oui, excellente idée de remplacer un vin rare par de la piquette !

Dans l'euphorie du moment, il est vrai que penser que le voleur ne reviendra peut-être pas une troisième fois pour voler sa victime n'effleure pas l'esprit du marchand.

Gäyana, quand tu questionnes Bartag au sujet des rapports listant les objets volés, il acquiesce.

- Oui, bien entendu, vous devriez trouvez les rapports à la caserne, je suppose.

Il grimace lorsque tu mentionnes qu'il faudra un mage puissant pour permettre de contrecarrer les effets magiques permettant au voleur de s'introduire dans l'échoppe et manque carrément s'étouffer quand tu parles du sortilège d'arrêt du temps. Il est vrai que ce sortilège n'est pas du tout populaire et pour cause. Bartag secoue la tête.

- Je n'aime pas du tout l'idée de faire appel à un tel sortilège. Je trouve que l'on est particulièrement vulnérable lorsqu'il est actif et puis...cela coûte atrocement cher !

Même si le marchand est prêt à payer pour protéger ses cuvées rares, il semble avoir tout de même des limites aux finances qu'il peut dépenser. Du coup, l'idée qu'un de ses concurrents, victime comme lui du voleur, puisse payer à sa place le pousse à dire.

- Messire Jehans à raison, il vaudrait mieux que vous alliez interroger les autres victimes afin de savoir si l'une d'elle ne serait pas mieux placée pour attirer le malandrin. Vous ne croyez pas ?

Ah que ne fait pas faire la pingrerie...

Jehans avait réussi à estomper la mésentente du début avec le marchand et le rôdeur-roublard n’en était pas peu fier. Il s’était dépassé dans sa haine contrôlant ainsi ses pulsions assassines ce qui le rendait plus léger et surtout plus compétent dans son domaine. * Le contrôle Jehans, le contrôle.* Lui disait constamment le grugach. Il avait enfin atteint ce stade qu’il ne croyait plus accessible. Une corde de plus à son arc. Possiblement dû au magnifique breuvage de Kara-Tur. Les yeux fermés il voyageait dans ce lointain pays prenant soin de ne pas se laisser distraire par les bruits présents. Jamais de son existence il n’avait vécu un moment aussi agréable puis commençait donc à comprendre les subtilités de la vie en général. Comment était-ce possible qu’un seul boire puisse guérir des plaies ouvertes depuis si longtemps?

Quand il ouvrit les yeux, c’était presque un autre demi-drow. Son sourire en disait long sur le merveilleux moment qu’il venait de passer et dire qu’il n’avait pris qu’une très petite gorgée après avoir humé plusieurs fois avant de déguster.

-Splendide, magistral, Bartag, vous venez d’ouvrir en moi un monde extraordinaire, sérieusement, je n’aurais jamais cru qu’un boire puisse nous faire voyager ainsi, vous venez de me rendre possiblement accro et pour ce, je vous en dois une.-

Émerveillé, ébahit et très enjoué, Jehans avait des soleils dans les yeux. À la suite des dires il ajoutait…

-Il serait effectivement préférable que la bouteille et le leurre soient faits chez un autre marchant et l’idée de Gäyana est très bonne, même si très onéreuse, les frais pourraient être partagés entre tous les marchands de vin au lieu d’un seul, ainsi nous agrandirions nos chances de le coincer et vous, marchands de vivres plus paisiblement sans à avoir la peur de vous faire encore dérober des crus. C’est une possibilité à étudier, d’ici là nous avons encore beaucoup de questions à poser et beaucoup d’inspections a faire.-

Son regard se portait dans celui de Bartag et…

-Une bouteille de ce nectar de Kara-tur vaut combien Bartag?-

Au vue des élément que nous possédons, un plan ce dessine... Ne voulant pas paraitre trop abrupte envers le marchand elle ajouta: Sauf si mon collègue a encore des question a vous poser je pense que nous allons y allez nous avons encore pas mal de vos collègues a interroger pour voir si il sont disposer a participer a la capture du voleur puis s'arrêtant brusquement, elle chuchota:

Bien sur cela doit rester entre nous pour que cela ne s'ébruite pas... Et que le voleur ne soit pas informé de ce qui se trame!

Laissant la paroles aux personne de la pièce, la jeune gith respira l'odeurs résiduelle et inhabituelle du spiritueux qui venait d'être ouverte. Cette odeur était a la fois étrange et particulier. Sur son plan chaotique, de t-elle denrée aurait était a la fois étonnante et proscrit du fait de leurs particularité dissipé.

Les Githzerai était un peuple martial travaillant le corp et l'esprit, l'utilisation de t-elle boisson pourrait bien développer certain style étrange mais qui cependant pourrait ce relevait efficace... Comme dans les livres sur les monastères humains que Gäyana lisait quand elle était petite.

Jehans, il est vrai que tu peux être fier de toi. Alors que l'entretien avec le marchand avait si mal commencé, tu as su renverser la situation à ton avantage et c'est un véritable exploit, pour qui sait combien ta haine des humains est vivace. Cette maitrise de toi-même ne peut que t'apporter de bonnes choses et tu espères que cela continuera. Pour le moment, tu sembles bien partie pour en flattant ainsi Bartag pour l'excellence de sa liqueur. Ce dernier, se rengorgeant, tel un petit coq de basse-cour, sourit et hoche la tête.

- Mon ami, vous n'avez pas idée de tous les breuvages divins que notre monde peut receler. Si vous me laisser faire...et moyennant finances, bien entendu, je serais ravi de vous les faire découvrir.

Lorsque tu abordes la possibilité d'une dépense partagée pour pouvoir bénéficier d'un sortilège d'arrêt du temps, Bartag semble plutôt réceptif à l'idée.

- C'est vrai que cela pourrait s'avérer moins onéreux si nous le payons à plusieurs. L'idée est à discuter entre tous ceux qui ont été volés. Peut-être pourriez-vous organiser une réunion entre les victimes de ce voleur ?

Quand, enfin, tu demandes combien coûte une bouteille de cette liqueur de litchis, Bartag t'offre son plus beau sourire avant de t'annoncer la douloureuse.

- La bouteille de liqueur de litchis de Kara-Tur est à 50 po. Vous avouerez qu'elle les vaut largement.

Gäyana, a ta demande de ne surtout pas ébruiter votre plan pour capturer le voleur, Bartag lève main comme s'il s'apprêtait à prêter serment.

- Vous pouvez comptez sur mon entière discrétion. De toute façon, il ne serait pas dans mon intérêt de faire autrement.

Alors que tu converses avec le marchand, les délicates effluves de la liqueur viennent titiller tes sens olfactifs. Certes, tu te doutes que chez toi, ce genre de boisson attirerait la désapprobation mais cette odeur est vraiment attirante et Jehans a l'air de beaucoup apprécié le goût. Il est vrai qu'il est dommage de ne pas goûter les mets et les breuvages d'un monde que tu ne cesses de découvrir chaque jour. Comment expliquer à tes semblables ce dont il retourne si tu n'en fais pas toi-même l'expérience ? Voilà un argument intéressant et tentant... Bartag vous raccompagne à l'entrée de son échoppe où la clientèle est nombreuse malgré les prix élevés.

- Si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas à revenir me demander. La bonne journée à vous...

À l’idée de Bartag de faire une réunion avec tous les marchands, cela apportait des idées au forestier, il y voyait là une bonne façon de les faire coopérer sur une cause commune. Avec la tête il fit un signe d’affirmation ne voulant pas avaler trop rapidement le précieux nectar qu’il avait encore en bouche. Lorsque le marchand lui précisait le prix de la bouteille de Kara-Tur, Jehans restait surpris, car pour lui, un rustre forestier c’était la somme d’une vie pour un paysan et sa famille. Sur le coup il sentit en lui une forme de dégout puis ensuite il se dit que c’était dommage qu’un paysan ne puisse peut-être jamais goûter un aussi délicieux breuvage… Un éclair apparut en lui, un sentiment noble entremêlé d’une fourberie. Le rôdeur-roublard ressentit en lui l’envie de faire goûter les meilleurs spiritueux à ceux et celles qui n’en avaient pas les moyens. Riant de lui-même intérieurement se disant que c’était une utopie grotesque, il vit la possibilité se réaliser en image, comme s’il voyait le fils de sa vie. C’était étrange et en même temps fantastique. Si lui ne pouvait le faire, car le vol il se l’interdisait, il se demandait si Aryldinn Soufflenuit serait le type de voleur à faire une chose pareille. Voler des spiritueux hors de prix aux marchands fortuné pour ensuite les offrir au plus démunies. * Diantre, cela change l’enquête, en fait pas vraiment, cela change juste la façon de connaitre le voleur et c’est ce qui nous manque connaitre notre voleur; décidément, cette nuit il me faut enquêter sur ce dernier. Il va me falloir faire la tournée ce soir et cette nuit pas le choix.* Se dit-il se promettant de mettre les bouchés doubles.

Comme à son habitude, Gäyana et sa sagesse, spécifiait au marchand de garder le silence sur cette affaire. Puis il conclut…

-Bartag, je vous remercie pour tout et si nous concluons cette affaire soyez assuré que le nectar de Kara-Tur aura preneur, c’est justement le prix de la prime, je vais donc redoubler d’effort pour le retrouver. Soyez aussi assuré que lorsque nous aurons fait le tour de tous les marchands qui se sont fait voler, une réunion aura lieu, cela ne peut qu’être bénéfique pour tout le monde. Nous repasserons pour interroger vos employés, il y a un temps où s’est moins achalandé et que nous pourrions poser plus ample question? Mieux encore, avoir leurs adresses respectives serait de mise, nous pourrions passer chez eux sans les déranger ici même. Merci encore.-

Dit-il en se signant d’un abaissement de tête attendant que Bartag lui remettre les adresses. Il ne voulait pas boire d’un coup sec le restant du nectar et continuait de le siroter à petites gorgées, dégustant au maximum le breuvage exquis.

Merci de votre coopération salua la jeune Gith nous vous recontacterons pour voir si l'assembler des victime a bien lieux... Il était évident que ce marchand rejoindrait la cause mais pas dit que les autre victime soit du même avis... Peut être même d'autre chasseur était a sa poursuite....

Elle demanda a Jehans:

Bien, ici aussi on a eu pas mal d'information intéressante J'aimerai bien que on fasse un détour avant le prochain marchand pou aller au tribunal remettre le rechercher. J'ai comme un poids dans mon sac que j'aimerait me délaisser si tu voix ce que je veux dire

Bien que ce poids n'était pas énorme elle avait bien compris les moeurs use est coutume de la région est ce faire inspecter avec un tête dans le sac porterez pas mal de souci a sa crédibilité de plus, il pourrait ce renseigner su les consignes sur comment réclamer la mise...

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